Nounkounkan
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Nounkounkan en arabe : نونکونکان et en n'ko : ߣߎ߲ߞߎ߲ߞߊ߲߫ est une ville et une sous-préfecture de Guinée, rattachée à la préfecture de Siguiri et la région de Kankan.
Histoire[modifier | modifier le code]
Nounkounkan fut fondée au XVe siècle par Kouyafing Kossayan Magassouba, petit-fils de Mankandian Magassouba fondateur du royaume de Kolönkalan. Le petit village de Nounkounkan avec l'augmentation de la population est devenu aujourd'hui une ville connaissant une grande croissance économique et démographique. Village jusqu'au milieu des années 2010 où elle a acquis le statut de sous-préfecture.
Géographie[modifier | modifier le code]
Nounkounkan est située au nord est de la Guinée. Elle est traversée par le fleuve Niger. La sous-préfecture de Nounkounkan est composé de six districts : Nounkounkan, Sokoura, Banfèlè koro, Banfèlè koura, Landi Makonon et Balandou.
Population[modifier | modifier le code]
La population est majoritairement noire d'ethnie Malinké. La religion dominante est l'islam. La population s'élève à 30 000 habitants avec une diaspora d'environ 20 000 personnes.
Économie[modifier | modifier le code]
Les activités économiques tournent autour de l'agriculture, la pêche artisanale, l'élevage artisanal[1].
Personnalités originaires de Nounkounkan[modifier | modifier le code]
- Demba Magassouba, chef de département biochimie à l'université Gamal-Abdel-Nasser de Conakry.
- Faraban Magassouba, journaliste à la RTG.
- Mory Camara, ancien directeur national des Impôts.
- Mohamed Lamine Magassouba, directeur général de Jatropha.
- Mambi Magassouba, historien.
- Diarra Condé, Service des impôts.
Galerie[modifier | modifier le code]
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Ecole Nounkounkan.jpg École de Nounkounkan -
Mosquée de Nounkounkan.jpg Mosquée de Nounkounkan
Notes et références[modifier | modifier le code]
- République de Guinée, Institut national de la statistique, Annuaire statistique 2016, p. 53 [1]
