Nabil Haïdar
Apparence
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Nabil Haïdar, né en à Diourbel (Sénégal), est un écrivain sénégalais d'origine libanaise.
Nabil Haïdar a été plusieurs fois lauréat au concours de la meilleure nouvelle de langue française de RFI (Radio France internationale)[1], et les nouvelles primées ont été publiées aux éditions Hatier, collection « Monde noir poche », sous la direction de Jacques Chevrier.
Œuvres
[modifier | modifier le code]Il a publié quatre recueils de poèmes intitulés[2] :
- La Poésie d'El Nabelioun, aux éditions Pierre Jean Oswald, à Honfleur, France, en 1976. Ecrit sous le pseudonyme : Haïdar El Nabelioun.
- Le Baiser, imprimerie GIA, Dakar, 1976.
- Poèmes à une Femme, imprimeries GIA, Dakar, 1977.
- L'hirondelle de nos rêves n'est pas morte de froid, poèmes érotiques, Éditions Amal, Dakar, 1978.
- Silence Cimetière, et autres nouvelles, Nouvelles éditions africaines, Dakar, 1979.
- Le Déserteur, roman, Nouvelles éditions africaines, Dakar 1983, primé par la Fondation Léopold Sédar Senghor 1985[3]
- Les Cèdres Sauvages, roman, Editions KHOUDIA,2017.
Éditeurs :
- Éditions Pierre-Jean Oswald, Honfleur.
- Nouvelles Editions Africaines, Dakar, Abidjan, Lomé.
- Editions Hatier, Paris, France.
- Editions Khoudia, Dakar, Sénégal.
Prix littéraires
[modifier | modifier le code]- Fondation Leopold Sedar Senghor
- Radio-France International
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « Une nouvelle inédite de Nabil Haïdar : La vallée », sur Éthiopiques (consulté le )
- « Haïdar, Nabil Ali 1954 », sur Worldcat (consulté le )
- « Le Déserteur de Nabil Haïdar », sur Éthiopiques (consulté le )
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Pierre Klein, « Entretien avec Nabil A. Haïdar », prologue à Nabil A. Haïdar, Silence cimetière !, NEA, Dakar, 1979, p. 5-8
- Pius Ngandu Nkashama, « Haïdar El Nabelioun », in Littératures africaines de 1930 à nos jours, ACCT, 1984, p. 346