En haut de l'escalier

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En haut de l'escalier
Publication
Auteur Anton Tchekhov
Titre d'origine
Verkh po lestnitse
Langue Russe
Parution , dans
Les Éclats no 24

En haut de l’escalier (en russe : Verkh po lestnitse) est une nouvelle d’Anton Tchekhov, parue en 1885.

Historique[modifier | modifier le code]

En haut de l’escalier est initialement publié dans la revue russe Les Éclats, no 24, du , sous le pseudonyme L'Homme sans rate[1]. Aussi traduit en français sous le titre Les Degrés de l’échelle[2].

Résumé[modifier | modifier le code]

Le conseiller provincial Dolbonosov est de passage à Saint-Pétersbourg. Il est invité à une soirée chez le prince Fingalov où il reconnaît Stchépotkine, l’ancien percepteur de ses enfants. Ne connaissant personne, et faute de mieux, il se dirige vers le jeune homme d’un air condescendant.

Il lui demande à quel titre il est invité : « Je me trouve là comme vous », lui répond l’ancien étudiant qui lui apprend qu’il est chargé de mission dans un ministère pour huit cents roubles, secrétaire à la direction des chemins de fer pour mille cinq cents roubles et, pour couronner le tout, qu'il s’est marié à la nièce du sous-secrétaire d’État.

Impressionné Dolbonosov invite aussitôt à dîner le jeune homme.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Dictionnaire Tchekhov, page 86, Françoise Darnal-Lesné, Édition L'Harmattan, 2010 (ISBN 978-2-296-11343-5)
  2. Les Degrés de l’échelle, dans Œuvres de A.Tchekhov 1885, traduit par Madeleine Durand et Édouard Parayre, Les Éditeurs Français Réunis, 1955, numéro d’éditeur 431, page 85.

Édition française[modifier | modifier le code]

  • Les Degrés de l’échelle, dans Œuvre de A.Tchekhov 1885, traduit par Madeleine Durand et Edouard Parayre, Les Éditeurs Français Réunis, 1955, numéro d’éditeur 431.