Eduardo Mallea
Apparence
Eduardo Mallea
Naissance | |
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Nom de naissance |
Eduardo Alberto Mallea |
Nationalité | |
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Père |
Narciso Segundo Mallea (d) |
Membre de |
Académie argentine des lettres (en) |
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Genre artistique | |
Distinction |
Grand Prix d'Honneur de la Société argentine des écrivains (d) () |
Eduardo Mallea est un écrivain, essayiste et diplomate argentin, né le à Bahía Blanca, mort le à Buenos Aires.
Biographie
Eduardo Mallea commence des études de droit, qu'il abandonne en 1926 pour se consacrer à la littérature. Il est, en 1931, l'un des fondateurs de la revue Sur. En 1955, il est ambassadeur de l'Argentine auprès de l'UNESCO.
Son œuvre est en grande partie autobiographique, les thèmes de la solitude et de l'incommunicabilité inspirant plusieurs de ses romans[1].
Eduardo Mallea est enterré au cimetière de Recoleta.
Œuvres
- Contes pour une Anglaise désespérée (1926)
- Histoire d'une passion argentine (1935)
- La ville près du fleuve immobile (1936)
- Fête en novembre (1938)
- La baie de silence (1940)
- Tout vert périra (1941)
- Cendres (1941)
- Chaves (1953)
- Silbad (1957)
- Le ressentiment (1966)
- La barque de glace (1967)
- Le réseau (1968)
- L'avant-dernière porte (1969)
Références
- Claude Couffon, « Mallea », dans Le nouveau dictionnaire des auteurs : De tous les temps et de tous les pays, t. 2, Éditions Robert Laffont, (ISBN 2-221-07717-2), p. 2027