Discussion:Noyades de Nantes

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Discussion qui s'est éloignée du vrai problème[modifier le code]

Car il y a un vrai problème de neutralité dans cet article, il est évident que les titres "Causes" et "La crainte de l'épidémie" donnent tout de suite l'impression qu'il s'agissait d'actions qu'on peut "expliquer", "comprendre" et peut être même "admettre". L'article doit donc être restructuré. Les auteurs de ces crimes contre l'humanité savaient qu'ils commettaient des crimes. On ne tue pas des concitoyens de peur d'une épidémie ou famine, mais pour des raisons politiques, et c'est ce point précis que ces "explications" cherchent à éclipser. Cette formulation cherche à relativiser et donc à faire disparaitre des livres d'histoire ce qui fut bel et bien un crime contre l'humanité au sens propre du terme. On a aussi déjà entendu "les épidémies" comme "explication" pour les fours de crémation dans les camps d'un certain régime. Le débat sur Georges Clemenceau n'a rien à voir ici, nous sommes en 1793, plus d'un siècle avant cette polémique.--78.115.25.19 (discuter) 3 décembre 2019 à 19:16 (CET)--78.115.25.19 (discuter) 3 décembre 2019 à 19:33 (CET)[répondre]

Comment peut on lire de pareils propos justifiants des meurtres sauvages et gratuits sous couvert de risques supposés d'épidémies .... ? La volonté des révolutionnaires était de faire un carnage

voir les propos de Georges Clemenceau

« J’approuve tout de la Révolution.

J’approuve les massacres de Septembre où pour s’éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des morts.

J’approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronnienne, avant d’être jetées dans la Loire, avaient à la foi l’angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée.

J’approuve les horreurs de Lyon où on attachait des enfants à la gueule des canons, et les égorgements de vieillards de quatre-vingt-dix ans et de jeunes filles à peine nubiles.

Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu’on y touche.

Je défends que, sur un théâtre qui dépend de l’État, un dramaturge illustre vienne après plus de cent ans révolus, prononcer une parole de pitié qui serait un outrage aux mânes augustes de Robespierre et de Marat. »


Clemenceau à la Chambre des députés le 29 janvier 1891

Je ne vois pas ce que cette citation douteuse apporte. Khaerr (discuter) 14 février 2014 à 19:22 (CET)[répondre]
Cette citation est une invention postérieure par l'antidreyfusard Drumont, qui voulait décrédibiliser Clemenceau (sources ici (voir les commentaires) et ici). -- JanIIISobieski 10 décembre 2014 à 21:23 (CET)[répondre]