Discussion:Le Parfum

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c'est quoi un parralère?--Tengu84 28 septembre 2007 à 00:59 (CEST)[répondre]

question du message que l'auteur veut faire passer[modifier le code]

le roman parait traiter des odeurs etc mais il traite de la condition du mal ou plutôt de l'amoralité, et des moyens que les hommes se donnent de dépasser leur condition d'homme ( devenir des dieux) en cela le roman rejoint les mythes grecs avec l'hubris, mais aussi Babel etc

Ce serait intéressant de trouver une analyse en ce sens.

La question, de l'orgueil, de la considération sociale, de l'individu dans la société est également posée. Questions connexes; l'acquittement de certains criminels; caractère inné ou acquis de la délinquance; questions des phéromones et du subconscient; ...pourquoi certaines personnes inspirent un sentiment positifs et d'autres le contraire; recherche d'un principe supérieur; les scientifiques ont-ils toujours guider par de bonnes intentions...Brunehaut 3 décembre 2007 à 08:25 (CET)[répondre]

Comme dans tous les romans où le récit ne reste pas au niveau purement factuel, l'auteur prend forcément en considération la condition humaine et de ses personnages dans la société, à moins qu'ils ne vivent seuls (ce qui arrive à Grenouille lors de sa retraite en Auvergne). Ici, la monstruosité de Grenouille vient de l’hypertrophie de l'odorat, de l'absence de sens moral - due aux conditions de sa naissance, à son incapacité à nouer des liens avec les autres, notamment à cause de sa particularité de ne dégager lui-même aucune odeur, qui le fait déjà rejeter par sa première nourrice.
Ce roman est excellent, remarquablement bien traduit par Lortholary au point qu'on le croirait écrit en français, mais à partir d'un a priori proche du fantastique, qui à mon sens en limite un peu la portée. Le thème de la création artistique me paraît bien présent, mais dans un domaine de perceptions peu intellectualisé, de sorte que l'excellence esthétique des parfums créés par Grenouille n'est point perçue par son public, sur qui ils exercent un pouvoir de fascination d’autant plus incontrôlable qu'ils sont incapables de l'analyser. Cela ne va pas à mon sens sans quelques invraisemblances (on est hypnotisé par des sensations olfactives qu'on est par ailleurs incapable de percevoir), que j'accepte en faveur du plaisir de l'histoire.
L'ὕϐρις de Grenouille est celle sans doute de l'artiste qui réussit sans qu'on le comprenne, elle rappelle aussi Baudelaire et ce qu'il écrit sur les parfums, mais il ne faudrait quand même pas en conclure que tout est dans tout et réciproquement (comme on aurait tendance à y être conduit par une pensée floue et approximative comme celle de Baudelaire).
Je pense que l'on n'est pas fondé à affirmer que le père Terrier soit le narrateur : on a d'emblée un narrateur extra-hétérodiégétique (comme dirait Genette), qui semble être ici notre contemporain et paraît fort proche de l'auteur : il fait notamment sentir que l'absence d'hygiène encore au XVIIème siècle créait un monde de puanteurs que nous ignorons aujourd'hui. Le père Terrier est par ailleurs présenté sur un mode ironique et distancié, et je ne vois pas l'intérêt d'en faire le narrateur. Cette hypothèse est démentie notamment par le début du deuxième paragraphe :
A l’époque dont nous parlons, il régnait dans les villes une puanteur à peine imaginable pour les modernes que nous sommes.
Je trouve très chouette l'idée de relater la fin de la vie de la nourrice, mais elle est tout simplement le fait d'un narrateur omniscient - et d'un auteur qui prend plaisir à inventer des histoires.
--Francois C (d) 2 avril 2012 à 14:37 (CEST)[répondre]

narrateur[modifier le code]

Dans le texte il y a des indices concernant une époque future avec laquelle le narrateur fait des comparaisons; le père Terrier pourrait être le narrateur car il ne meurt pas dans le récit; et on ne voit pas sinon pourquoi on relaterait la fin de vie de la nourrice de même que les changements dans la société.Brunehaut (d) 1 février 2008 à 08:25 (CET)[répondre]

vocalulaire et champ lexical[modifier le code]

Une des forces du livre est d'avoir su mettre des mots sur les perceptions olfactives pour les décrire. Les mots utilisés varient selon la personne qui perçoit (ex de la nourrice odeur de lait chaud - diluition du caramel/sucre...)Logiquement les intervenants ne peuvent utiliser que des comparaisons qui leur sont accessibles selon leur expérience propre. Par ailleurs la lecture fait sentir au lecteur l'odeur 'réelle'; les mots sont des outils de la communication; derrière les odeurs se cachent les individus.Brunehaut (d) 9 juin 2008 à 08:45 (CEST)[répondre]

lien mort[modifier le code]

Le lien en fin de page "Une analyse du Parfum" (http://pedagogie2.ac-reunion.fr/lettres/Le_Parfum/sommaire.htm) est mort.

Renommage[modifier le code]

Bonjour.

Une petite discussion a lieu ici :

Discussion:Le Parfum, histoire d'un meurtrier#Renommage

sur le titre à donner aux articles consacrés au Parfum, à la fois le roman et le film.

Je suggère qu'on continue là-bas plutôt qu'ici pour éviter de disperser la discussion. Merci pour vos avis éclairés. — Hr. Satz 20 janvier 2023 à 14:11 (CET)[répondre]