Discussion:Joseph Delteil (poète)

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Copie de site[modifier le code]

Mail envoyé au site http://josephdelteil.org/biographie.htm

Bonjour,

un collaborateur anonymé a contribué sur l'encyclopédie libre et collaborative sur la page http://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Delteil en recopiant une partie du contenu de votre site sur Joseph Delteil. Autorisez-vous cette copie et la mise sous licence GNU (http://www.gnu.org/copyleft/fdl.html) de ce contenu? Si ce n'est pas le cas, la page sera supprimée.

Je vous remercie, par avance, de votre réponse.

Cordialement

Sebb, un collaborateur actif de Wikipédia

Relancé une deuxième début décembre 2005, sans nouvelle Xfigpower 7 décembre 2005 à 23:18 (CET)[répondre]

Paragraphe retiré en attendant mieux[modifier le code]

« Entré en littérature avec deux recueils poétiques, Le Cœur grec (1919) et Le Cygne androgyne (1921). Ses racines paysannes et occitanes en font un personnage à part à Paris où il s'installe en 1920. Parallèlement à son travail de fonctionnaire, il lit, écrit beaucoup et se lie d'amitié avec le poète Max Jacob et le peintre Robert Delaunay. »
Ce paragraphe pose plusieurs problèmes :
- « Entré en littérature » : s'il s'agit du commentaire de "Quelqu'un" (écrivain, artiste, critique publié, à défaut d'être connu), il est indispensable d'en citer la source. Sinon, ce n'est qu'un cliché qui n'a rien d'encyclopédique.
- « Ses racines paysannes et occitanes en font un personnage à part à Paris » : en quoi se distingue-t-il de n'importe qui d'autre obligé de quitter sa région pour aller travailler à la grande ville ?
- « Parallèlement à son travail de fonctionnaire » : quel emploi de fonctionnaire a-t-il occupé ? A-t-il été recruté près de chez lui ? Ou bien a-t-il été obligé de se rendre à Paris pour travailler ?
- « il lit, écrit beaucoup » : sait-on comment lui est venu son goût pour la littérature ?
Merci de votre attention. Cordialement, -- Arcane17 d 10 juillet 2008 à 12:03 (CEST)[répondre]

Paragraphe retiré et collé ici en attendant un sourçage indiscutable, merci ![modifier le code]

"La question de son racisme et son antisémitisme est ouverte, celle d'un français de l'entre-deux-guerres, lui qui se sentait profondément occitan cathare; n'a-t-il-pas écrit dans Don Juan "Ce juif errant de la chair", puis dans un texte sur sa province natale " C’est un pays original que notre Occitanie...les Juifs y ont toujours eu des colonies" (1965, les Cahiers du Sud), et surtout l'extrait sur les causes de la Grande Peste à Paris: « Élie-Élie était debout depuis mille ans devant la cornue de pourpre. (...) Il observait à la loupe le bouillon de culture du bacille de la peste. Son gras visage pareil à une motte de beurre était sérieux. Ses yeux faisaient de l’œil à son nez sémite, et sa moustache se jetait dans sa barbe comme un fleuve dans la mer. Son front était semblable au temple de Salomon. (...) Il était né à Vienne (Autriche), de père youpin mais de mère américaine. Les deux sangs judaïque et yankee s'accordaient dans ses veines comme dans la société moderne. (...) Fleur monstrueuse et eunuque, beauté hybride, il alliait en son corps la chair slave et les os neufs. Moïse et Rockfeller. ». Delteil n'épargnait personne: « les négresses aux bouches d'égouts », « les négrillons au nez écrabouillé », les Sénégalais « aux dents en bandoulières ». Et à la fin le Juif est découpé en morceaux par Delteil. Nous sommes en 1925 et Mein Kampf tout juste publié. André Breton ne s'y est pas trompé dans sa correspondance: « Merci pour le journaliste roumain, répondait Breton, mais j'ai déjà fort à faire avec toutes sortes d'emmerdeurs. Parmi lesquels, depuis quelques mois, j'ai le regret, Joseph Delteil, de vous compter. (...) La question serait de savoir si vous êtes un porc ou un con (ou un porc et un con). » "

Quand on peut poser ce genre de question, il me semble que c'est le minimum. --Spiessens (d) 3 juin 2012 à 22:28 (CEST)[répondre]