Discussion:Gerda Steinhoff

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Devoir de mémoire[modifier le code]

Selon les nombreux deocuments disponibles sur Internet, le systèmes des camps du Stutthof reçu de nombreux déportés juifs. A partir de 1944, il semble avoir en partie fonctionné comme camps d'extermnation. Lors de la fin de la guerre fin janvier 1945, fut ordonnée la marche de la mort. Les SS vident un à un les camps dépendant de Stutthof en Prusse orientale. Les Häftlinge sont poussés vers Königsberg et concentrés dans une usine près de la gare du nord de la ville. Le dernier appel fait état de près de 13 000 détenus. Sur le sort de la plupart d’entre eux, on n’a que des hypothèses et des suppositions, mais pas de témoignages avérés. Cette marche hivernale se solda par plusieurs milliers de morts.

A la veille de l'anniversaire du 8 mai 1945, il est bon de rappeler ce que furent ces femmes gardiennes SS et quel fut leur triste sort. Leurs collègues capturées par les anglo-amèricains furent elles aussi condamnées mais leurs exécutions eurent lieu loin de la foule, par pendaison en cordes longues et gibets à trappes assurant une mort rapide en quelques secondes. Ce fut un bourreau professionnel, Albert Pierrepoint qui fut leur exécuteur. Les pendaisons de Biskupia Gorka firent appel à la corde courte qui étrangle, les condamnés pouvant mettre jusqu'à 15 minutes à mourir agités d'horribles spasmes, en public et par des exécuteurs non-professionnels (anciens détenus).

Dans le cas de documentations sur d'autres procès et exécutions en Pologne de SS, il est indiqué que les corps furent livrés à la faculté de médecine proche pour servir de matériel de travaux pratiques aux étudiants. Les restes découpés ont dû finir incinérés. A l'horreur et l'infâmie de l'exécution s'ajoute celle des restes mortels devenus pièces anatomiques.

Plus jamais celà !

Raymond GIMILIO (d) 7 mai 2012 à 21:10 (CEST)[répondre]