Discussion:Famille de Dreux-Brézé
- Admissibilité
- Neutralité
- Droit d'auteur
- Article de qualité
- Bon article
- Lumière sur
- À faire
- Archives
- Commons
Cet article est indexé par les projets Généalogie, Île-de-France et Nouvelle-Aquitaine.
Les projets ont pour but d’enrichir le contenu de Wikipédia en aidant à la coordination du travail des contributeurs. Vous pouvez modifier directement cet article ou visiter les pages de projets pour prendre conseil ou consulter la liste des tâches et des objectifs.
| Avancement | Importance | pour le projet | |
|---|---|---|---|
| Bon début | Moyenne |  | Généalogie (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) |
| Faible |  | Île-de-France (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) | |
 | Nouvelle-Aquitaine (discussion • critères • liste • stats • hist. • comité • stats vues) | ||
Cet article ne comporte pas de liste de tâches suggérées. Vous pouvez saisir une liste de tâches à accomplir (par exemple sous forme d'une liste à puces), puis sauvegarder. Vous pouvez aussi consulter la page d'aide.
Lien douteux[modifier le code]
Après 1768 et la fin de la maison de Courtenay, la seule famille issue légitimement par les mâles des capétiens est la maison de Bourbon. Comment la maison de Dreux-Brézé, existante au XIXe siècle, peut-elle descendre de la maison de Dreux ?
Odejea (♫♪) 4 décembre 2007 à 14:17 (CET)
Il ne fait pas de doute que des liens ont uni pendant près de 150 ans les Brézé aux Dreux et aux Vendôme. Un transfert de propriété concernant la seigneurie de Beaussart, propriété de Catherine de Dreux la donne aux Vendôme eux-mêmes alliés aux Brézé. Les Dreux sont liés également par mariage aux Vendôme et aux Brézé. En revanche, Je n'ai trouvé aucune référence permettant d'affirmer en effet que ledit Pierre (de) Dreux, père de Thomas (de) Dreux, anobli par Louis XIV se rattachait bien à la descendance des Capétiens de Dreux.
Voir http://jeanjacques.villemag.free.fr/
On peut remarquer que Thomas et son fils Thomas ne font pas des mariages nobiliaires mais des mariages bourgeois, ce qui peut expliquer pourquoi l'échange de propriété entre La Galissonnière et le marquisat de Brézé ait eu besoin de l'approbation de Louis XIV.