Discussion:Chemin de fer secondaire

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Évaluation[modifier le code]

J'ai mis maximum, mais ce n'est qu'une proposition pour que l'on discute de cet article au sein du projet chemin de fer. Cordialement Quoique (d) 4 février 2010 à 12:10 (CET)[répondre]

Je n'aurai pas mis mieux. Trizek bla 4 février 2010 à 12:36 (CET)[répondre]
Le titre ne serait-il pas mieux au singulier ? Quoique (d) 4 février 2010 à 13:41 (CET)[répondre]
J'aurais plutôt mis une importance moyenne, comme pour Voie ferrée d'intérêt local. Pour moi, cet article est un simple article qui explicite les diverses acceptions d'une définition (ce qu'il fait assez mal actuellement, à mon goût). Il n'a pas vocation à être l'un des piliers du projet, comme Chemin de fer... --Claude villetaneuse (d) 4 février 2010 à 13:51 (CET)[répondre]

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Catégories

Le Chemin de fer de l'Est de Lyon était un réseau de chemin de fer à voie normale, appartenant aux départements français du Rhône et de l'Isère, et concédé à la société du Chemin de fer de l'Est de Lyon. Sa construction avait été décidée pour compléter le maillage du « grand » chemin de fer.
Le Chemin de fer de Somain à Péruwelz, exploité par la Compagnie des mines d'Anzin, était un chemin de fer minier.
La Compagnie du Chemin de fer Taulignan-Grignan-Chamaret (TGC)' exploitait un chemin de fer rural, aux installations minimales, comme de nombreux autres réseaux comparables.


Certains de ces types de chemins de fer peuvent encore se subdiviser selon qu'ils soient à traction autonome, à traction par câble ou qu'ils circulent sur des voies électrifiées, selon qu'ils soient « à adhérence » ou qu'ils soient « à crémaillère ».

Notons que pour certaines législations, seuls les chemins de fer à voie étroite assurant un service public régulier de transport de personnes se voient appliquer la dénomination de « chemins de fer secondaires »[1].

Le plus souvent, les chemins de fer secondaires ont des caractéristiques plus sommaires que les chemins de fer traditionnels, impliquent moins d'investissement pour les réaliser, ce qui se traduit par des vitesses ou des capacités plus faibles que pour les « grands » chemins de fer. Ce n'est toutefois pas systématique : le Réseau express régional d'Île-de-France est pour sa plus grande part considéré comme un chemin de fer secondaire, malgré des fréquences extrêmement élevées, une vitesse importante et des rames à très grande capacité...