Discussion:Chanson paillarde

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le passage sur la poésie et le romantisme est p-e de trop non ? Maston28 28 mai 2003 ・17:33 (CEST)

bof. C'est vrai que ça parle souvent d'amour...

Redéfinir la vraie chanson paillarde...[modifier le code]

On peut voir dans l'article un large paragraphe consacré à un titre "La quequette qui colle" dont les auteurs sont identifiés et l'origine trés récente. Il est triste de voir que des titres légendaires comme "Le pou et l'arraignée" ou bien "L'atilleur de Metz" sont dilués dans une culture contemporaine n'encourageant que la nouveauté... Pour moi Choum ne devrait pas se trouver dans les auteurs de chansons paillardes car à de très rares exceptions, le "De profundis morpionibus par exemple, il n'y a pas un auteur mais des générations de carabins, de pilliers de comptoirs ou de joueurs de rugby qui peu à peu donnent sa forme définitive à une chanson. Ce n'est qu'en étant polie par les voix populaires que la paillarde acquiet ainsi son aura mystique. Vive la vraie chanson paillarde!


Modification de terminologie[modifier le code]

Certains participants au projet Musique ont entrepris une modification de nature lexicale concernant les mots genre et forme, afin que l'emploi de ces deux concepts sur Wikipédia soit conforme à celui qui est le plus couramment retenu en musicologie. Pour plus de détails, merci de consulter cette section, et de vous reporter à la discussion associée. Yves30 6 fev 2005 à 00:00 (CET)

Documentation externe[modifier le code]

La référence est inutile; aucun lien n'y figure sauf au journal même. Si la documentation externe peut etre un site consacré à des recherches sur la chanson paillarde : http://www.chansons-paillardes.net

Redéfinir la vraie chanson paillarde... (suite!)[modifier le code]

Effectivement, la place consacrée à "La quéquette qui colle" est totalement disproportionnée. Tout à fait d'accord avec le commentaire figurant dans la discussion.

Outre Théophile Gautier qui a écrit une première version du "De profundis", on peut également trouver des chansons paillardes bien plus anciennes. Clément Marot, Ronsard et bien d'autres ont écrit des chansons paillardes mises en musique par de grands compositeurs tels Clément Janequin, Claude Arcadelt, Jacobus Clemens non Papa,... Voltaire, de Musset et Brassens en ont également écrites de qualité bien supérieure à celles mentionnées.

Quant aux grands classiques oubliés, "Le duc de Bordeaux" résulte d'une longue évolution: plusieurs couplets datent du XVIIe et XVIIIe siècles: en 1622 dans Le Parnasse satyrique du Sieur Théophile, en 1695 par la duchesse de Bourgogne repris dans Lettres historiques et galantes, de deux dames de condition publié en 1733, et dans une oeuvre anonyme, datée de 1711 et publiée par Jean Neaulme, à La Haye. "Et autre chose itou" date également du XVIIe (voir La fleur de la poésie francoise - 1543, Airs de cour - 1607, La fleur de toutes les plus belles chansons - 1614,... )

Il reste bien du travail à faire à la fois pour des historiens et des sociologues !