Discussion:Campagne d'Égypte

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Coupure malheureuse dans la déclaration[modifier le code]

Dans la partie "Campagne d'Alexandrie", il est à déplorer qu'on ait justement "sucré" la partie la plus significative de la déclaration napoléonienne : celle où il se déclare ami du sultan et exige que sur le passage des troupes françaises les villages arborent les deux drapeaux, français et ottoman, afin de marquer qu'il ne fait la guerre que contre les Mamelouks, et ce prétendument en accord avec le Sultan.

C'est par ce côté précis que la déclaration se montrait un chef d'oeuvre de désinformation, à une époque où les communications étaient lentes et peu fiables.

Et c'est celle qui témoigne, hors questions morales évidemment :-( , du génie de propagande de Napoléon. Il est à mon humble avis très dommage de l'omettre.

81.64.199.225 13 novembre 2006 à 20:30 (CET)[répondre]

Cette proclamation a en effet été amputée de ses passages les plus significatifs. On peut en trouver le texte intégral, non édulcoré cette fois-ci, dans le livre L'héritage occidental. Il est à noter que vu sa date de rédaction ladite proclamation fait intégralement partie du domaine public et - même si on n'en cite que des extraits totalement biaisés ici - a sa place en version intégrale dans Wikisources. 81.64.199.206 2 février 2007 à 00:20 (CET)[répondre]

Caviardage de la déclaration[modifier le code]

La déclaration de Bonaparte que j'ai lue, loin de prétendre que l'Egypte appartenait aux Mamelouks, leur en contestait au contraire la possession, au triple nom de Dieu, du sultan, et du passé glorieux de l'Egypte. Je ne sais pas qui l'a maquillée ainsi, mais cela sent la plaisanterie de mauvais goût. 81.65.26.17 21 mars 2007 à 21:18 (CET)[répondre]

Je constate moi aussi que cette déclaration non seulement est amputée arbitrairement de passages significatifs, mais que les emplacements des coupures n'ont pas même été indiqués par les "(...)" d'usage. 84.162.203.51 21 juillet 2007 à 12:49 (CEST)[répondre]

Contradiction : Napoléon et la peste[modifier le code]

J'ai remarqué une contradiction dans le rapport qu'à Napoléon avec la peste. Dans l'historique détaillé ("L'expédition de Syrie"), il est noté que Napoléon va au chevet des malades et touche leur plaies : « Afin de dissiper les craintes et de tranquilliser les esprits, il parcourt toutes les salles des pestiférés, parle aux malades, les console, touche leurs plaies en leur disant : « Vous le voyez, cela n’est rien ». Au sortir de l’hôpital, il répond à ceux qui l’accusent d’avoir commis une grande imprudence : « C’était mon devoir, je suis le général en chef ». »

Et dans la partie sur la propagande ("La propagande napoléonienne"), c'est tout simplement l'opposé : « Il n'a jamais touché ni même approché un homme atteint de cette maladie de peur de l'attraper ... ». Quelqu'un pourrait-il clarifier ce point ? Romainhk (QTx10) 22 décembre 2009 à 12:31 (CET)[répondre]

Un célèbre tableau au Louvre d'Antoine-Jean Gros représente Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa (http://www.photo.rmn.fr/cf/htm/CSearchZ.aspx?o=&Total=13&FP=34526177&E=2K1KTSG7NV6SZ&SID=2K1KTSG7NV6SZ&New=T&Pic=4&SubE=2C6NU002FAIW). Il est de 1804 Bonaparte est alors l'empereur Napoléon Ier, ce tableau s'inscrit dans une longue lignée d'autres à la gloire de l'empereur. Le fait de toucher les plaies des pestiférés est une référence symbolique aux rois de France que l'on désignaient comme thaumaturges (guérison par le toucher, notamment guérison des écrouelles). Il y a bien plus de chance que Bonaparte n'est jamais approché un seul pestiféré à Jaffa, et cette iconographie d'un Napoléon touchant voir guérissant les malades n'a servi qu'à nourrir la légende d'un empereur égal voir supérieur aux anciens rois dont on peut également douter des dons de guérison.

Le style niais et vieille France de l'article[modifier le code]

En passant, je trouve assez hilarant et grotesque le style pseudo-littéraire du rédacteur principal de l'article, qui se prend pour un historien du XIXème mais qui nous assène son imaginaire vieille France. "L'ennemi", "le brave Sulkowski", "le général", "ses braves de l’armée d’Italie" "grâce au peu d’attachement que la population avait conservé pour les chevaliers" "Excités par les cheikhs et les imams" "Bonaparte n’est point déconcerté par l’orage qui le menace" "Le plus religieux des prophètes" "ses collègues de l’Institut", etc., etc. Il faudrait quelques jours pour déniaiser cet article...--Globu (d) 7 octobre 2012 à 14:00 (CEST)[répondre]

@Globu Effectivement, le style de l'article était inadapté, désuet et partisan. J'ai tenté de changer cela par des reformulations. Restent les citations qui participent de cet effet et auxquelles je n'ai pas touché.--Kimdime (d) 23 janvier 2016 à 12:05 (CET)[répondre]