Discussion:Bontempi (musique)

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Son de bontempi[modifier le code]

C'est effectivement qq chose que j'ai souvent entendu dans le milieu musical (enfin peut etre un certains milieu ?), connaissant un peu les bontempi pour en avoir possédé un je ne pense pas que c'est NPOV juste une constatation :-) Comme il est écrit dans l'article bontempi était plutot orienté jouet que véritable instrument. Hbbk 12 septembre 2006 à 10:23 (CEST)[répondre]

+1 : en effet, musicien compositeur depuis 21 ans maintenant, je peux confirmer que l'expression "avoir un son de bontempi" est connue.

Je confirme l'utilisation de "son bontempi" pour des samples de synthé de qualité médiocre. Je pense que la demande de référence n'a pas lieu d'être pour une expression de l'ordre du jargon de musiciens.

+3 : Cela s'explique par le souffle produit par le ventilateur de l'appareil qui empêche d'en faire des prises de son de qualité de plus comme pour tout les instrument à vent employant des lamelles métalliques il s'use irrémédiablement, (les notes deviennent fausses). Et bien sûr l'expression 'son bontempi' je confirme qu'elle existe.

Bontempi n'est pas une marque de synthétiseurs, mais plutôt d'orgues électroniques. Pour la rigueur scientifique de cet "article", il faudra donc repasser... Par ailleurs, plutôt que de consacrer de nombreuses lignes à se demander si l'expression "avoir un son de Bontempi" est fréquemment utilisée dans le milieu de la musique, peut-être faudrait-il d'abord présenter la marque et la remettre dans son contexte: Bontempi est une marque italienne. Dans les années 1970 et 1980, l'Italie dominait, avec les Etats-Unis et le Japon, le marché des orgues électroniques: Crumar, Farfisa, Viscount, Galanti, Antonelli, Gem, Elka, Orla, Cavagnolo, et donc Bontempi, diffusaient dans le monde entier combos, orgues portatifs, et autres spinets. Certes, les Bontempi apparaissent comme des gadget au milieu d'instruments souvent beaucoup plus sérieux. Cependant, il faut comprendre que le public visé par Bontempi était d'une part populaire (à une époque ou un clavier coûte cher) et souvent enfantin. Le déclin est survenu dans les années 1980 lorsque les claviers japonais ont inondé le monde occidental, notamment les orgues Casio et Yamaha (série Electone, et Psr). Il y aurait beaucoup d'autres choses à dire, notamment au niveau de l'électronique, qui est malgré tout analogique (pour ce qui concerne les orgues des années 1970 et 1980). GL