William Beresford
Membre du 18e Parlement du Royaume-Uni 18e Parlement du Royaume-Uni (d) Essex Northern (d) | |
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Membre du 17e Parlement du Royaume-Uni 17e Parlement du Royaume-Uni (d) Essex Northern (d) | |
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Membre du 16e Parlement du Royaume-Uni 16e Parlement du Royaume-Uni (d) Essex Northern (d) | |
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Membre du 15e Parlement du Royaume-Uni 15e Parlement du Royaume-Uni (d) Essex Northern (d) | |
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Membre du 14e Parlement du Royaume-Uni 14e Parlement du Royaume-Uni (d) Harwich (d) | |
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Membre du Conseil privé du Royaume-Uni |
Naissance | |
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Décès |
(à 86 ans) |
Nationalité | |
Formation |
St Mary Hall (en) |
Activité | |
Père | |
Mère |
Frances Arabella Leeson (d) |
Conjoint |
Catherine Heneage (d) (à partir de ) |
Enfants |
Parti politique | |
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Arme | |
Grade militaire |
Le très honorable |
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William Beresford ( - ) est un homme politique conservateur britannique.
Jeunesse[modifier | modifier le code]
Il est le fils unique de Marcus Beresford et de son épouse Frances Arabella, fille de Joseph Leeson (1er comte de Milltown)[1]. Il fait ses études à St Mary Hall, Oxford, où il obtient un baccalauréat ès arts en 1819 et une maîtrise ès arts cinq ans plus tard. Il rejoint l'armée britannique et sert dans le 9th Queen's Royal Lancers, puis dans le 12th (Prince of Wales's) Royal Lancers, finissant comme major.
Carrière[modifier | modifier le code]
Il se présente dans le comté de Waterford sans succès en 1837[1]. Il est élu pour Harwich aux élections générales de 1841, et reste en poste jusqu'en 1847. Beresford et Charles Newdegate sont les whips conservateurs à la Chambre des communes après la scission du parti sur les Corn Laws. Ses relations avec Benjamin Disraeli sont tendues, Beresford s'inspirant souvent de Lord Stanley leader des Lords au lieu du leader nominal des communes. En tant que whip en chef, il dirige l'élection générale de 1852, largement connue pour sa vénalité (même selon les normes du moment), et est censuré par la Chambre pour «indifférence imprudente à la corruption systématique». Disraeli profite de l'occasion pour destituer Beresford, qui est brièvement remplacé comme whip par William Forbes Mackenzie. Mackenzie, cependant, perd son siège pour à peu près la même raison, et est à son tour remplacé par Sir William Joliffe. Disraeli transfère la gestion des élections à son avocat, Philip Rose[2]. Beresford est nommé secrétaire à la guerre en 1852 et, à cette occasion, est admis comme conseiller privé.
Famille[modifier | modifier le code]
En 1833, il épouse Catherine, la plus jeune fille de George Robert Heneage, et a deux fils et une fille.
Références[modifier | modifier le code]
- Robert P. Dod, The Peerage, Baronetage and Knightage of Great Britain and Ireland, London, Whitaker and Co., , 115 p.
- Blake, 322; 352.
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « William Beresford » (voir la liste des auteurs).
- Robert Blake, Disraeli, New York, St. Martin's Press, (lire en ligne)
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressource relative à la vie publique :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
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- Député du 14e Parlement du Royaume-Uni
- Député du Parti conservateur (Royaume-Uni)
- Membre du Conseil privé du Royaume-Uni
- Décès en octobre 1883
- Naissance en avril 1797
- Décès à 86 ans