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  1. Laurent Marchais, « Iga Swiatek accroît son avance au classement WTA après sa victoire à Indian Wells », sur L'Équipe (consulté le )
  2. Jacques Pessis, « L'Œil de l'INA : Raymond Devos, l'humour indémodable d'un centenaire », sur Le Figaro, (consulté le )
  3. Gabriel Gaspar, « 2008-2022 : la Banque centrale européenne a-t-elle lutté contre l'inflation ? », sur La Tribune, 2022-10-13cest07:29:00+0200 (consulté le )

Mollie Orshansky (9 janvier 1915 - 18 décembre 2006) est une économiste et statisticienne américaine qui a notamment mis au point les seuils de pauvreté.

Enfance et éducation[modifier | modifier le code]

Mollie Orshansky est née le 9 janvier 1915, troisième des six filles de Samuel et Fannie Orshansky, des immigrants juifs du Bronx, originaires d'Ukraine. Elle a été scolarisée au Hunter College ou elle s'est spécialisée en mathématiques et en statistiques en 1935. Ella asuivi des études supérieures en économie et en statistiques au département d'Agriculture de l'American University.[1]

Carrière[modifier | modifier le code]

En 1939, elle est recruté comme assistante de recherche au Bureau des enfants, où elle réalise des des études biométriques sur la santé, la croissance et de la nutrition des enfants. En janvier 1942, statisticienne au département de la santé de la ville de New York, elle étudie l'incidence des traitements de la pneumonie. En 1945, elle est recrutée au ministère américain de l'agriculture, où elle passe treize ans comme économiste de la famille, directrice de la division des statistiques des programmes et économiste alimentaire.

En 1958, elle rejoint la sécurité sociale américaine comme chercheuse en sciences sociales au bureau de la recherche et des statistiques. Elle était étudiait l'adéquation des revenus, du bien-être des familles et les modèles de revenus familiaux. En 1963, elle met au point l'indice de pauvreté utilisée par le gouvernement américain(voir Pauvreté aux États-Unis)[2]. Elle a utilisé des seuils de pauvreté basés sur les quatre plans alimentaires les moins chers du ministère de l'Agriculture, qui constituaient des régimes nutritionnels conçus pour une utilisation temporaire ou d'urgence en cas de manque de fonds. Elle a pris le cas d'une famille moyenne hypothétique consacrant un tiers de ses revenus à l'alimentation, en supposant qu'elle devait réduire fortement ses dépenses, les dépenses alimentaires et non alimentaires étant réduites au même rythme.[3][4]

Son intérêt pour la question de la pauvreté des enfants s'est forgé dans son enfance: "Si j'écris sur les pauvres, je n'ai pas besoin d'avoir une bonne imagination - j'ai une bonne mémoire".[5]

En 1976, elle reçoit le prix Distinguished Service Award pour ses travaux prionniers sur la mesure de la pauvreté des enfants et la création d'un d'indice de pauvreté acceptées au niveau national et de leur application à la politique publique. Elle a pris sa retraite en 1982 après plus de 40 ans au service du gouvernement fédéral..

Elle sera hospitalisée en 2001 et mourra en 2005 à l'âge de 91 ans[6].

Publications[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  1. « Social Security History », sur www.ssa.gov (consulté le )
  2. (en) Mollie Orhshansky, « Children of the poor », SSA policy papers bulletin,‎ (lire en ligne [PDF])
  3. (en) Mollie Orshansky, « Counting the poor : another look at the poverty profile », SSA policy Bulletin,‎ (lire en ligne [PDF])
  4. (en) « Mollie Orshansky, 1915 - 2006 », sur Jewish Women's Archive (consulté le )
  5. (en) « Mollie Orshansky: Her Career, Achievements, and Publications » [html], sur Office of the assistant secretary for planning and evaluation (consulté le )
  6. (en) Chan Sewel, « Mollie Orhsansky, Statistician dies at 91 », sur New York Times, (consulté le )