Utilisatrice:Claire Céclair/Brouillon
Après la mort de son père, il hérite du chateau de Magnanville qu'il revend plus tard à Philippe-Guillaume Tavernier de Boullongne en se réservant le droit de porter à vie le titre de Seigneur de Magnanville[1].
Théâtre de Société
[modifier | modifier le code]A partir de 1765, il prend en location le Chateau de la Chevrette, à Deuil la Barre. Il organise avec les membres de sa famille, notamment la Marquise de Gléon, un théâtre de société qui devient un des plus renommé de son temps. On y joue notamment la première adaptation française de Roméo et Juliette, écrit par François-Jean de Chastellux. Charles Pierre de Magnanville lui-même écrit une pièce fort appréciée : Les orphelines[2]. La troupe cesse son activité en 1779 après la mort de sa fille, Madame de Pernan et il cesse de louer le château[3].
Descendance
[modifier | modifier le code]Charles-Pierre Savalette de Magnanville épouse Marie-Emilie Joly de Choin dont il a cinq enfants :
- Charles-Pierre-Paul Savalette de Langes (1749-1797)
- Adélaïde-Thérèse, épouse Thyroux de Gerville.
- Louise-Sophie, épouse Dampierre d'Ornoy.
- Charlotte-Emilie-Olympe, épouse Dupleix de Pernan.
- Jean-Baptiste-François[4], mort en 1754 à l'âge de 4 ans[5].
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- La clef du cabinet des princes de l'Europe, ou: Recueil historique et politique sur des matières du temps, (lire en ligne), p. 187
- Friedrich Melchior baron Grimm, Correspondance littéraire, philosophique et critique, adressée à un souverain d'Allemagne ... par le Baron de Grimm et par Diderot, Longchamps [...] Buisson [...], (lire en ligne), p. 481
- Michel Bourlet, Les grandes heures du château de la Chevrette à Deuil-la-Barre, FeniXX réédition numérique, (ISBN 978-2-402-23905-9, lire en ligne)
- « La Correspondance historique et archéologique : organe d'informations mutuelles entre archéologues et historiens / Fernand Bournon et F. Mazerolle, directeurs », sur Gallica, (consulté le ), p. 73
- Gustave Bord, La franc-maçonnerie en France. 1, Les ouvriers de l'idée révolutionnaire : 1688-1771 / Gustave Bord, (lire en ligne), p. 342