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Utilisateur:Sara-Athènes-lfhed/Brouillon2

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Les Différentes types de mort de soldats au combat[modifier | modifier le code]

Lors de la première guerre mondial, différentes causes on engendrée la mort de soldats, on compte dans le bilan de l'armée d'orient 70 000 tués, disparus ou décédés de maladies, 44 500 blessés, 283 500 malades, dont 90 000 de maladies contagieuses, (près de 95 % des soldats devaient se battre contre la maladies entre 1915 et 1918, soit près de 360 000 victimes avec un corps médical mal équipé et peu nombreux). L’une des causes entre autre c’est faite au combat, en raison de différentes sortes de blessures.

Comme les blessures a la tête, partie la plus exposée et la plus vulnérable puisqu’elle dépasse des abris et des tranchées. Ces blessures étaient essentiellement dues aux éclats d’obus et au fait que les soldats portaient le képi hériter de la guerre de 1870 qui ne protégeaient d’aucune façon. On dénombre 11 à 14% des blessés le sont au visage qui formeras les rangs des gueules cassées.

Celles au Poumons, en raison des différentes armes chimiques employées, comme le chlore utilisées dés avril 1915 et le gaz moutarde à partir de 1917. La mort des soldat atteint par ces gaz étaient due a de graves lésions pulmonaires mais également des brulures de la peau et des yeux.

Les blessures au membres, bien quelle présentes peu de risque de mortalité, car les lésions provoquées par les éclats d’obus, les balles de mitrailleuse ou les grenades sont très importantes et nécessitent souvent une amputation.

Mais elles restent néanmoins une des causes de mort. Quand les plaies sont souillées par des vêtement sale ou des fragments de terre, l’apparition de la gangrène est favorisée, notamment la gangrène gazeuse qui avait presque disparu.

Les blessures au pied, trés rarement mortelle elle affecte 1% des combattants, causée par les conditions de vie dans les tranchées ( hygiène, froid, humidité) aux mauvais usage des bandes molletières trop serrées. Elle peut aboutir sous sa forme grave au « pied de tranchée » qui provoqueras une gangrène et une septicémie mortelle.

Et enfin les blessures a l'abdomen, les plus mortels et graves de toutes, en cas d’atteintes aux viscères. en raison de condition qui laissent peu de chance aux soldats blessés de survivre, peu de chance d’évacuation vers des ambulances et une impossibilité pour les médecins de pratiquer rapidement une laparotomie.