Utilisateur:Nincomp29/Brouillon

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Résistances[modifier | modifier le code]

  • Pénicillinase de haut niveau chez 50 % des E. coli.
  • Hyperproduction de céphalosporinase chez 5 % des E. coli.
  • Bêta-lactamase à spectre étendu chez 1 % des E. coli.

Classification des béta-lactamases[modifier | modifier le code]

Il existe plusieurs classifications pour les béta-lactamases. La première est la classification d'Ambler[1] où les béta-lactamases sont classées selon leur séquence en acides aminés. On y trouve 4 classes : A, B, C et D. Les classes A, C et D regroupent les béta-lactamases de type sérine protéase et la classe D regroupe les béta-lactamases de type métalloprotéase à zinc[2].

Les autres classifications sont des classifications fonctionnelles, qui prennent en compte entre autre la nature des substrats et l'affinité relative pour ces substrats. La plus récente est la classification de de Bush et Jacoby datant de 2009[3] et qui comprend 16 classes différentes.

  1. (en) « The structure of β-lactamases », Philosophical Transactions of the Royal Society of London. B, Biological Sciences, vol. 289, no 1036,‎ , p. 321–331 (ISSN 0080-4622 et 2054-0280, DOI 10.1098/rstb.1980.0049, lire en ligne, consulté le )
  2. (en) Barry G. Hall et Miriam Barlow, « Revised Ambler classification of β-lactamases », Journal of Antimicrobial Chemotherapy, vol. 55, no 6,‎ , p. 1050–1051 (ISSN 1460-2091 et 0305-7453, DOI 10.1093/jac/dki130, lire en ligne, consulté le )
  3. (en) Karen Bush et George A. Jacoby, « Updated Functional Classification of β-Lactamases », Antimicrobial Agents and Chemotherapy, vol. 54, no 3,‎ , p. 969–976 (ISSN 0066-4804 et 1098-6596, PMID 19995920, PMCID PMC2825993, DOI 10.1128/AAC.01009-09, lire en ligne, consulté le )