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La médecine iatrophysique ou iatromécanique ou physiatrie est un courant médical du XVIIe siècle et XVIIIIe siècle, qui apparait en réaction contre la tradition scolastique et galénique de la médecine universitaire. Inspiré de Descartes et de Newton, ce courant envisage principalement le vivant et le corps humain comme une machinerie mécanique. Il utilise des moyens (instrumentation) et des méthodes (mesures et expérimentations) pour appréhender le vivant avec des notions de physique et de mécanique. Ce courant, limité par son approche simpliste, se termine à la fin du XVIIIe siècle. Toutefois il prépare l'avènement des sciences modernes, en achevant la transformation des philosophies de la nature en sciences de la nature.

Le terme iatrophysique a pu être (rarement) utilisé pour désigner la physique médicale au sens moderne du terme (à partir fin XIXe).

Voir mécanisme

Contexte[modifier | modifier le code]

Traditions universitaires versus indépendants, salons et académies (royales, princières).

Renaissance et Baroque. Humanisme. Vésale anatomie, machine corporelle. Francis Bacon.

Galilée, Descartes (univers rationnel à lois mécaniques), Newton. Harvey, circulation du sang. Victoire des circulateurs contre les anticirculateurs. corps machine hydraulique.

Médecine et physique au début des Lumières (Gr-S, 62 ->). Observation -> expérience.

Méthodes et techniques[modifier | modifier le code]

Borelli (1608-1679). Etudes de mouvements. grenouilles décapitées.

Thermomètre.

balances, aréomètres. pendules

Microscope. Grmek s. p.29. lien étroit avec la iatromécanique. Les microscopistes rendre visible la composition du corps en machines minuscules.

Malpighi.p.30

Van Leeuwenhoek.

Injections endovasculaires. destructions parenchyme -> préparations anatomiques -> momies parfaites donnant l'ipression d'êtres vivantes et capables de parler. (Grmek-S, la machine du corps, 8-36).

Métrologie.

Chronométrie.

baromètres, manomètres, pompe pneumatique.

Electricité.

Technique graphique.

Mathématiques et statistiques.

Grandes fonctions[modifier | modifier le code]

Grmek-S 80-91. et 106-115.

analogie et formations d'hypothèses. Grmek-S 80-91. et 106-115.

Glandes et cerveau. Willis. Grmek -S. p.27-28

Coeur : ressort, piston de pompe. / artères et veines : tuyaux hydrauliques.

Poumons : soufflet. contraction des intercostaux et mouvement des côoes.

Digestion : mouture, broyage-trituration.

Reins : filtre.

Ostéomusculaires : cordes et leviers. fibres musculaires

fin 18e, -> fluide magnétique, chaleur conçue comme matière, milieu subtil de l'éther lumineux (Hofmann ?).

Médecins principaux (liste ?)[modifier | modifier le code]

Grmek-S 157-167.

Iatrophysiciens ou iatromécaniciens.

Santorio (1e moitié 17e).

Bellini.

Borelli.

Boerhaave (1668-1738). solidisme. théorie des fibres. 99-101.

Hofmann (1660-1742).

William Croone, John Mayow, Johann Bernouilli.

Giorgio Baglivi (1669-1707) 97-99.

Julien-Offray de la Mettrie, l'homme-machine (1747).

Notes et références[modifier | modifier le code]


Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • C. Lichtenhaeler
  • Daumas p.1178
  • B. Belhoste
  • Grmek Payot
  • Grmek Seuil
  • Lecourt Iatromécanisme
  • Iatromécaniciens E.U 8 Frustration, 18 Vie.