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Utilisateur:Marins-granvillais/Brouillon

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Test pour Corsaires granvillais[modifier | modifier le code]

Dès le début du XVIe siècle, depuis leur abri, simple havre protégé au nord par la Roche et à l’ouest par la Chaussée, les Granvillais arment des navires au long cours, à la grande pêche à Terre-Neuve et sur le Grand Banc et participent aux expéditions maritimes lointaines vers le Nouveau Monde et plus particulièrement vers le Brésil [Note 5] et vers les Indes orientales. L’activité commerciale et la sécurité des granvillais sont constamment remises en cause par une multitude de conflits et de guerres. Encouragés par le roi et munis d'une lettre de marque, les Granvillais se lancent dans la Guerre de Course, en guerre et le plus souvent en guerre et marchandises.

  • Barthélémy Desvergées (1762-1811), matelot, prisonnier, évadé des pontons anglais, suspecté et emprisonné à son retour par le Comité de Salut public, libéré le 5 novembre 1794[Note 6],
  • L’Aimable-Grenot, frégate corsaire, 1747-6 mai 1749[7], armateur Leonor Couraye du Parc, 390 tonneaux, trois mats, 2 ponts, 2 gaillards, tirant d'eau chargé : 16 pieds, tirant d'eau non chargé : 14 pieds. Armé de 40 canons à sa première course[8], puis de 28 canons lors de la seconde campagne, équipage en course 390 hommes. Les deux campagnes avaient rapporté à la couronne 670 000 livres. L’Aimable Grenot fait naufrage le 6 mai 1749 sur les rochers des Ouvras (site de la Natière), dans la baie de Saint-Malo (Île-et-Vilaine).


Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. texte complémentaire.
  2. à partir du 3e chapitre[texte texte (page consultée le 16 avril 2018)]
  3. « blablablablabla » Machin, Le bidule, librairie Truc, , 245 p., un bidule est un machin…
  4. « blablablablabla » Einstein, Podolsky et Rosen 1935, p. 779.
  5. « En avril 1544, l'Autruche (100 tonneaux) est armé pour un voyage au Brésil et commandé par Olivier Vasselin. C'est le seul armement sur lequel nous ayons une donnée précise. Mais il ne dut pas être isolé car les registres paroissiaux nous apprennent que le 16 décembre 1615, un enfant du pays des neigres fut baptisé[4] par l'abbé Désilles, curé, à la requête de noble seigneur Jacques de Saint-Marie d'Agneaux, gouverneur de Granville ; ses parrains étaient Jacques Le Mengnonnet et Roberde de la Motte. »
    (in Histoire de Granville, p. 89)
  6. « Barthélémy Desvergées[5] était embarqué sur le corsaire la Liberté commandé par le capitaine Luc Leredde, en mars 1793. Il avait été transféré comme équipage de prise sur un navire anglais capturé ; mais le 15 avril 1793, cette prise fut récupérée par un corsaire anglais et Barthélémy Desvergées fut emprisonné sur les pontons de Plymouth ; d'où le récit de son évasion par Pierre Cardot[6]. »

Références[modifier | modifier le code]

  1. texte complémentaire.
  2. [Accueil marins granvillais (page consultée le 16 avril 2018)]
  3. « Les corsaires granvillais », évocation de la guerre de course à Granville, sur marins-granvillais.fr, (consulté le )
  4. Archives départementales de la Manche, registres d'état civil 5 Mi 862 1601-1606, 1608-1619, vue 144/199 [lire en ligne].
  5. généalogie de Barthélémy Desvergées, Familles granvillaises [lire en ligne].
  6. Deux évasions mouvementées (1794), Marins granvillais [lire en ligne].
  7. Adramar, archéologie maritime, « L’Aimable Grenot, une frégate granvillaise de 400 tonneaux. » (consulté le )
  8. « Navires au départ de Granville, L'Aimable Grenot 1747 », sur www.migrations.fr (consulté le )

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (en) Albert Einstein, Boris Podolsky et Nathan Rosen, Can Quantum-Mechanical Description of Physical Reality Be Considered Complete?, vol. 47, , 779 p..