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Utilisateur:MarMoLeEDL/Brouillon

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Brouillon du Quartier de la Forêt (Selva)

Territoire

Les rues à l’époque del Bando (de l'Avis)

L’Avis de Violante de Bavière (1730) détermine la subdivision territoriale des dix-sept quartiers (contrade) de Sienne en se référant aux palais et à leurs propriétaires de l’époque, s’appuyant sur les constructions plus que sur les routes. Il est encore aujourd’hui considéré comme la disposition de base pour déterminer les limites réelles des dix-sept quartiers. Selon l’avis relatif à la nouvelle division des frontières des quartiers, le territoire de la Contrada della Selva est délimité par les rues et les palais suivants :


Brouillon du Quartier de l’Oie (Oca)


Brouillon du Quartier de l’Aigle (Aquila)


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Ajouts à la page "Histoire du marbre" :

Respect des principes = 5/5

Ajout de 5 éléments = 5/5

Citation des sources = 5/5

Vocabulaire = 5/5

Qualité du français = -0

TOTAL = 20/20

Excellente contribution. Les éléments sont clairement expliqués. Je remarque qu'une partie de votre ajout a été supprimée par un autre wikipédien, qui écrit dans sa justification que c'est un enjeu controversé. Vous pourriez choisir de répondre en ajoutant des sources, si vous tenez à maintenir votre ajout. Sinon, vous pouvez ne rien faire, ce qui correspond à accepter le retrait. Ce type d'interaction est tout à fait sain dans Wikipédia.


J'aimerais contribuer à un article qui porte sur l'histoire du marbre.

Dans le premier paragraphe de la page sur L'histoire du marbre, j'aimerais ajouter en gras ma contribution numéro 1 : Le marbre est utilisé depuis l'Antiquité comme matériau pour la sculpture et pour l’architecture. La consistance ferme et dense du marbre lui permet de prendre un beau poli, et sa translucidité associée au haut indice de réfraction des cristaux de calcite, principal composant des vraies marbres, permet à la lumière de « pénétrer » dans la superficie de la pierre avant d’être réfléchie, conférant à ce matériau (et surtout aux marbres blancs) une luminosité spéciale. Contribution numéro 1 Certains marbres ne sont pas unis et contiennent des veinages. Selon le taillage ou la coupe du marbre, l'artiste utilise ces veinages pour créer des motifs.[1]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Dans cette section, j'aimerais ajouter en gras trois contributions dans le paragraphe intitulé Moyen-Âge : En Italie en revanche, le marbre continue d'être très utilisé durant tout le Moyen Âge, de nombreux monuments grandioses en témoignent. L'architecture paléochrétienne du Haut Moyen Âge italien continue celle de l'Antiquité, et le marbre en fait naturellement partie, elle se mêle de quelques influences byzantines. Durant le Bas Moyen Âge en revanche, l'Italie se convertit aux nouveaux gouts architecturaux plus septentrionaux, venant d'Italie du Nord, de France et d'Allemagne : l’architecture romane, puis l'architecture gothique, qui dans leurs régions d'origine n'utilisent que peu le marbre. Mais l'Italie filtrera et adaptera profondément ces nouveaux apports avec sa propre identité artistique, héritée de la Rome antique. Les formes, les principes et les décors romains antiques s'imprégneront dans ces nouveaux styles comme pour les italianiser. C'est alors que le marbre, perçu comme italien par essence, trouvera l'occasion d'une expression renouvelée dans l'art médiéval italien, préparant déjà le terrain de la Renaissance. Contribution numéro 2 L'influence des Croisades se fait sentir dans l'architecture. Les pèlerins et les Normands se sont par exemple inspirés de l'arc brisé dans certaines mosquées en Sicile et au Caire.[2] Les monuments religieux médiévaux de Pise, Lucques, Sienne, Florence sont parmi les nombreux exemples éclatants.

Marbres modernes[modifier | modifier le code]

Dans cette section, j'aimerais ajouter en gras ma contribution numéro 5 dans le paragraphe intitulé Marbres modernes : Vers les xve et xvie siècles le goût pour le marbre reprit de la vigueur, grâce à la Renaissance italienne (Rinascimento) qui se répandra en France puis dans le reste de l'Europe. Les règnes glorieux des Médicis souverains de Toscane, avait relevé l’usage du marbre depuis la fin du Moyen Âge. Michel-Ange avait reconnu et prouvé que l’étude de l’Antiquité était le vrai guide du bon goût dans l’art de la sculpture. L’érection de l’église Saint-Pierre à Rome, montra l’heureux parti qu’on pouvait tirer des marbres antiques. Pise, Florence et Rome devinrent célèbres. Les Médicis firent redécouvrir le marbre dans toute l’Europe. Contribution numéro 5 Au début de 1339, le plancher de la cathédrale de Sienne en Italie a commencé à être travaillé avec de la mosaïque de marbre. L'ouvrage est complété au XVe siècle. C'est une oeuvre artistique qui exprime soixante scènes et est encore aujourd'hui une des plus visitée.[3]

Altération et dégradation du marbre[modifier | modifier le code]

Contribution numéro 3 Les couleurs du marbre peuvent être altérées par des bactéries, causant l'apparition de zones rose à la surface du marbre et indiquant une bio-détérioration. Cette dégradation est causée par des colonies de champignons ou par l'exposition aux algues. Des altérations sévères ont été constatées sur la façade de la Certosa de Pavie.[4] Contribution numéro 4 L'augmentation de la pollution à l'ère moderne (concentration de substances toxiques comme à Rome et Athènes par exemple) et les phénomènes atmosphériques (grêle, vents violents, pluie) jouent un grand rôle dans ces dégradations des marbres anciens.[5]

Sources et références[modifier | modifier le code]

  1. Sophie Mouquin, « Les marbres : noblesse de la matière, heureuses « curiosités » de la nature », Artefact. Techniques, histoire et sciences humaines, vol. 4, no 4,‎ , p. 347–359 (ISSN 2273-0753, DOI 10.4000/artefact.523, lire en ligne, consulté le )
  2. Charles Blanc, Histoire de la Renaissance artistique en Italie, Firmin Didot, (lire en ligne)
  3. Jules Labarte, L'Eglise cathédrale de Sienne et son trésor d'après un inventaire de 1467, V. Didron, (lire en ligne)
  4. (en) Franco Palla et Elena Tartamella, « Chromatic alteration on marble surfaces analysed by molecular biology tools », Conservation Science in Cultural Heritage, vol. 7,‎ (ISSN 1973-9494, DOI 10.6092/issn.1973-9494/1245, lire en ligne, consulté le )
  5. Giangiacomo Martines et A.-M. Bosc, « Dégradation et restauration des monuments en marbre », Nouvelles de l'Archéologie, vol. 13, no 1,‎ , p. 26–33 (DOI 10.3406/nda.1983.1170, lire en ligne, consulté le )