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Vocabulaire du terrorisme islamique[modifier | modifier le code]

Pour terrorisme[1]

pourvocabulaire de l'EI[2][3]

US[4]

« Les têtes pensantes de l’islamisme [...] ont mis une bombe sous chaque mot du vocabulaire. »[3]

Ainsi, le président Obama refusait d'« associer "terrorisme" et "islamisme" ». Pour les Républicains, ce refus est « un aveu de faiblesse, une incapacité à désigner l'ennemi et une façon d'éviter le problème. »[5]

Pour Lynne Franjié, le terme "islamique" possède comme trait sémantique /politique/. La différence avec le terme "islamiste" est lié à son aspect violent. Pour elle, « force est de constater que ces trois équivalents dont l'objet de flottements en français et en anglais. »[6]

Pour Lynne Franjié, « des syntagmes tels que "terrorisme islamique" et "violence islamique" (...) tendent à concurrencer "terrorisme islamiste" et "violence islamique". »[6]

Pour Pascal Bruckner, il est interdit de parler d'"islamisme" ou d'"islam radical" dans certaines universités américaines.[7]

« Les sciences humaines se méfient de cette terminologie [d'islamisme] et préfèrent parler d’islam radical. [...] Elles insistent sur la dimension politique de l’islamisme. L’appellation d’islamisme, imposée par les moyens d’information, nécessite donc beaucoup de prudence. Elle recouvre au mieux une mouvance aux contours flous... »[8]

Pour Michel Tardieu, le terme "islamisme" est devenu « aujourd'hui par abus de langage un -isme de rejet »[9]

Pour Richard Prasquier, « parler d’islamisme radical, ce n’est pas parler de l’islam, ce n’est pas non plus parler d’islamisme, ce dernier terme étant entendu comme synonyme d’islam politique ». Pour l’auteur, le terme de « salafisme djihadiste » est souvent préféré par les spécialistes.[10]

« Utilisé de plus en plus fréquemment dans le langage courant, le terme islamisme est chargé d’une forte ambiguïté et est sujet à maintes confusions. »[11]

« En langue arabe également, islamisme, qui se traduit par islamiyya, n’a pas forcément une connotation fondamentaliste ou violente, et désigne à la fois l’islamisme et ce qui est islamique en général »[11] Sauf en Algérie, « la langue arabe n'a pas forgé d'unité lexicale pour exprimer le concept actualisé d'"islamisme" ». Cette langue préfère utiliser des énoncés comme "fondamentalisme islamique" ou "extrémisme islamique"[6]

« l’islamisme ne saurait toutefois pas être assimilé au terrorisme. S’il est vrai que cette idéologie portait le germe de la dérive terroriste, cette dérive n’était pas nécessaire. »[11]

Pour Edgar Morin, ces termes possèdent un sens particulier pour« médias occidentaux » qui tient à « [réduire] tout islamique à un islamiste et tout islamiste à un terroriste potentiel, ce qui empêche de percevoir le visage complexe de l'islam »[12]

Michael Barry « [aimerait] bannir complètement le terme islamiste. » et souhaiterais parler d'« extrême droite islamique »[13]

Pour Jenny Raflik, « La thèse du "choc des civilisations" [...] contribuait à transformer l'action terroriste en djihad et la lutte antiterrorisre en guerre défensive. Insuffkée par la politique américaine, l'évolution du vocabulaire faisant passer la terrorisme du domaine de la criminalité à celui de la guerre... »[14]

Cette guerre des mots concerne aussi la dénomination du groupe "état islamique". Cette guerre est, pour Alain Dodier, du « domaine de la sémantique saupoudrée de propagande (ou inversement). »[15]

Pour Pierre André Taguieff, « L'islam n'est pas l'islamisme, mais ce dernier n'est pas étranger à l'islam. Il en constitue l'un des visages. »[16]

Pour Pierre André Taguieff, « Parler de "l'islam" ou de "l'islamisme" est une commodité de langage, qui donne prise à des interprétations essentialistes naïves ou intéressées »[16]

Pour Pierre André Taguieff,« Les islamistes ont intérêt à faire croire que les anti-islamistes sont "islamophobes", qu'ils seraient donc des "racistes" anti-musulmans, et, plus largement, que tout examen critique de l'islam ou du monde musulman exprime une "islamophobie" plus ou moins dissimulée. »[16]

Notes de lecture.

al-Fatiha[modifier | modifier le code]

Selon The Quran: An Encyclopedia, rédigé par 43 auteurs musulmans et universitaires non-musulmans : "The Prophet interpreted those who incurred God’s wrath as the Jews and the misguided as the Christians".[17] Pour le traducteur du Coran Jacque Berque, cette interprétation est celle de "beaucoup de commentateurs" même si il préfère conserver une portée générale dans la traduction.[18]

Lecture : A.-M. Delcambre, l'islam des interdits[modifier | modifier le code]

p.18

Mahomet a commis des meurtres politique[19]

p.19

Depuis les années 1950, les biographes musulmans ont cherché à rendre leur biographie acceptable pour la cnscience occidentla en attenuanr la violence[20]

P.22

"Il y a deux sens au mot Djihad mais on ne peut nier que dans l'histoire de l'islam, c'est le sens matériel et guerrier qui l'a largement emporté"[21]

idee de guerre sainte 250 verset[22]

p.25

assasinat et martyre, justifié des coran et sunna[23]

p.26-27

assasinne opposant et poete : nombreux meurtre[24]

_________________________

Antoine Moussali, judaisme, christianisme et islam : etude comparée, édition de Paris, 2000. Cette extrait est cité par Delcambre dans l'Islam des interdits, p. 23[25]

"C'est le sens de guerre sainte qui, dans le Coran, prime sur le Djihad intérieur (effort sur soi-même). La différence entre grand Djihad  (effort sur soi-même) et petit DJihad (guerre sainte) remonte au IXe siècle, avec la fin de la premiere vague de conquéte islamique"

_________________________

femm

Mansour fahmy, la condition de la femme en islam, these sorbonnr, 1913

mecque mahomet monogame

medine polygame[26]

39

dans cette seconde periode, beaucoup de restriction pour femme[27]

40

comportement vetement

voile : prescription coran et sunna[28]

41 peur du sensualité[29]

43 l'homme peut se servir de la femme[30]

"le femme en tant que telle ne vaut rien, c'est la mere qui est valorisée"[31]

"la femme est inférieure"

égalité pour les croyante si si si

57

les bon chretien son t les nazareen[32]

68

islam des origines condamne musique[33]

__________________________________________

71

science : principalemtn mise en pratique des sciences théorique grecque traduite par les chrétien syriaque[34]

"esprit scientifique" musulman = mythe ; les scientifiques et penseur (avicenne et averroes) étaient majoritairement critiqué par les juriste[35]

72

l'age d'or est né d'un cosmopolicme[36]

refus raison[37]

73

selon le prix nobel de physique, abdis salam 79 "De toutes les grandes civilisations de la planète, la communaite islamique est celle sui a fait à la science la place la plus restreinte"[38]

interdit du doute d'ou gout pour math et non philo[39]

100

A partir de l'époque Abbasside, on cherche à transformer Mahomet de chef politique et guerrier en chef religieux.

Taqiya[modifier | modifier le code]

Selon les hadiths, le mensonge est autorisé à certains cas en Islam et particulièrement dans le cadre de la guerre[40] et a été autorisé par Mahomet pour assassiner ses adversaires.[41] Pour Mahomet, « La guerre est tromperie ».[42] Cette tromperie sera conceptualisée et utilisée dès les premières conquetes de l'islam.[43]

S. Aldeeb R. Ibrahim S. Mukaram
Titres universitaires Docteur, Thèse sur la religion musulmane et son rapport au droit, "habilité à diriger des recherches" de Bordeaux III, Master de recherche, doctorant Docteur en étude proche-orientale.
Fonctions universitaires juriste, responsable du droit arabe et musulman à l'Institut suisse de droit comparé (établissement autonome de droit suisse) pendant presque 30ans, professeur des universités, enseignant entre autre à la Faculté de droit et de science politique d'Aix-en-Provence, à la Faculté internationale de droit comparé de Strasbourg, à Faculté de droit de Cergy-Pontoise A donné des cours dans diverses universités comme Le National Defense Intelligence College. Enseignant à l'université libanaise, Professeur à l'université américaine de Beyrouth, directeur du département de litterature arabe et des langues proche orientales.
Autres expert reconnu par la suisse et à l'étranger dans le droit musulman Reconnaissance par le LA Time et la presse comme un spécialiste, Directeur du centre des études moyenne-orientales de l'université américaine de Beyrouth.
Publications Nombreuses Plusieurs ouvrages dans de grandes maisons d'édition (Broadway Books, doobledays), publications dans des revues à peer reviews comme Middle East Quarterly. Nombreuses
Revue 2 revues déja citées + une évocation d'un de ses ouvrages dans une revue de science humaine, comme un "précieux manuel sur les fondements juridiques des sociétés musulmanes" Une ici : [1] Une dans Archives de sciences sociales des religions (vol 48)
Citations Préface de Mohamed Charfi, universitaire tunisien Cité par le Dr Michael Ryan, par Alex Peter Schmid (The Routledge Handbook of Terrorism Research p. 293), par Pierre-André Taguieff (La nouvelle propagande antijuive... note 173) Selon l'Université américaine de Beyrouth, "Makarem was considered by academics as a reference on mysticism", Citation par Fuad I. Khuri (imams and Emirs: State, Religion and Sects in Islam).

La taqiya comme stratégie de conquête a fait l'objet d'une polémique entre Raymond Ibrahim et Michael Ryan[44] dans la revue Jane's Islamic Affairs Analyst en 2008. Raymond Ibrahim conclut cette polémique par la publication d'un article dans la revue Middle East Quarterly[45]. Celui-ci constate l'existence d'une taqiya "tromperie active" dans le cadre du djihad en vue de conversions ou à la guerre.[45] Cette vision s'appuie, pour l'auteur, sur des textes coraniques et dans la tradition musulmane.

M.A Amir Moezzi : Le Coran silencieux et le Coran parlant[modifier | modifier le code]

A propos de la mise en place traditionnelle du Coran "Or, la recherche critique soumettant les sources islamiques et non-islamique de toutes sortes à l'examen historique et philologique depuis près d'un siècle et demi, offre de l'histoire de la rédaction des écritures saintes de l'islam un tableau beaucoup plus complexe et problématique" (P.15)

la vulgate d'Uthman mis plusieurs siècle a étre acceptée par tous (p. 16) : critique d'un coran falsifié, entre autre par les chiites

Mise en place du Coran : période de grandes violences (p.16-17)? Les sources religieuses sunnites ont eu tendance à cacher et atténuer cette violence afin de légitimer l'arrivé au pouvoir d'Abu Bakr alors que la recherche historique possèdent suffisement de sources attestant de cette violence et de cet absence de consensus. (p.19) Dans le shiisme, les sources présentent Ali comme successeur désigné par Mahomet dans la tradition des succession de prophètes. (19)

Pour les chiites, le coran non falsifié contenait des références claires à Ali ainsi que des noms d'adversaires de Mahomet (19). Cette falsification expliquerait pour les shiite la faible présence du personnage Mahomet dans le Coran (20) La croyance shiite dans un Coran complet sauvegardé par Ali et rapporté à la fin des temps est majoritaire jusquau Xe siècle, date à laquelle les shiites ont "été contraint" d'adopter la version officielle sunnite. (20).

Pour Amir-Moezzi, une étude historique ne se basant que sur les écrits sunnites ne correspondraient pas aux critères d'une recherche scientifique. Bien que teinté d'idéologie (comme les premiers écrits sunnites), les sources chiites concordent davantage avec la recherche historico-critique. (21) Moins connues que les sources sunnites, ces textes ont fait l'objet de moins d'études dans le monde de la recherche. (23+27)

I.Le livre de Sulaym ibn Qays

Ce livre est un des premiers livres chiites évoquant cette violence de la période des débuts de l'islam (27) il présente la version chiite du complot d'umar et d'abu bakr pour prendre le pouvoir. (29) Ce texte (bien que sa rédaction ai pris du VIIIe au Xe siècle) possède des fragments datant de l'époque des imams (34). "La fiabilité des sources sunnites pose problème" (54) Pour Amir Moezzi, le point de vue des vaincus converge avec les données historiques connues et transparaît dans certains écrits sunnites "malgrès la censure". 54

2.

l'orthodoxie a essayé a posteriori d'occulter le polémiques sur le textes coranique des debuts (64) Les codex de Sanaa, au dela des changements orthographiques et lexicographiques, des variations dans l'ordre des sourates ou la découpe des versets qui rapproche davantage ce manuscrit des recensions alide (futurs shiites) que de la vulgate uthmanienne. (69) Plusieurs éléments internes au textes coranique interrogent les chercheurs sur la mise par écrit du Coran. Ainsi, certains mots de celui-ci sont déjà considéré comme obscures au VIIe siècle. (72) La jurisprudence islamique, développé au IIe siècle de l'Hégire, voit se développer des critères en contradiction avec le texte coranique, ce qui interroge sur le statut ou la mise à l'écrit des premiers COran (72). La plupart des traditions liées à la collecte du Coran naissent à l'époque ommeyade, quelques dizaine d'années après les faits " quelques dizaines d'années qui comptent pour plusieurs siècles tant entre les deux époques, les énormes conséquences des guerres civiles et des grandes et fulgurantes conquetes ont boulversé l'histoire et la mentalité des premiers musulmans." 74

Les traditions musulmanes sur la collectes du Coran possédent de nombreuses zones d'ombre. Le terme Coran désigne alors toutes paroles provenant de Mahomet, la disctinction entre le corpus du Coran et des Hadiths étant plus tardives. 75 De même, le terme collecte jama'a a été rendu ambigu par les lexicographes musulmans pour y rajouter l'idée de mémorisation. Cette évolution permet de résoudre des contradictions internes aux traditions et d'occulter les luttes entourant la mise à l'écrit du Coran. 76

PLusieurs recensions comme pour le Coran permet une amélioration du "niveau linguistique" 77 La présence de ces recension coranique différentes est à l'origine de critiques faites à Othman et rapportées par les traditions de suppressions ou de modifications du texte.77 Pour Prémare, c'est au temps d'Abd al-Malik que se met en place la doctrine musulmane. Quand au texte coranique, les inscriptions du dôme du rocher contiennent encore des variantes textuelles. 83 De nombreux auteurs, rapportés par les traditions même sunnites, critiquèrent l'authenticité de la version uthmanienne. C'est notamment le cas de la sourate 12. Ces critiques sont encore plus présente dans le monde shiite. Pour eux, la version originale complète du Coran a été falsifiée et réduite 85 Cette thèse de la falsification du Coran se retrouve dans de nombreux courants non-alides 211

Ce n'est qu'au Xe siècle que certains shiite commencèrent à accepter la version uthmanienne du Coran pour des raisons aussi bien doctrinale que politique (prise du pouvoir par des shiites) 86

3.

Les parties les plus altérée du Coran, pour les shiites, sont celles qui touche à la famille directe de Mahomet, qui selon certains Hadiths, serait avec le Coran, ce que Mahomet a appelé les "objets précieux". 103 La disparition des nom et donc du contexte des écrits coranique rendrait celui-ci muet, silencieux que seul l'imam peut rendre parlant. 103 Cette doctrine mène vers une approche plus secrete de la lecture coranique dans le shiisme 104 Dès le Ier siècle de l'Hégire, de nombreux livres d'explication du Coran son écrits 104 Ces ouvrages contiennent souvent des extraits du Coran de Ali, absents du Coran uthmanien. Ceux-ci sont caractérisé par la présence de nombreux noms de personnages 114

Tant sur les conflits des débuts de l'islam que sur la mise en place complexe du Coran, tant sur l'aspect politique de la mise en place des hadiths que sur la censure sunnite des premiers textes de l'islam en vue de fonder une orthodoxie les écrits shiites sont "corroborés par un grand nombre de recherches modernes touchant les domaines historique et philologique" 208 Amir Moezzi date de l'arrivé des Ommeyades (traditionnellement opposé à Mahomet et à l'islam) la transition d'un islam religieux à un islam politique.209 De nombreux écrits sunnites des premiers siècles contiennent des références voire une défense de la famlle de Mahomet. 209

A propos des hadiths, pour Amir Moezzi, "afin de justifier ces exactions, le pouvoir califal mis au point un système complexe de propagande, de censure et de falsification historique. Il altéra tout d'abord le texte coranique et forgea tout un corpus de tradition attribuée faussement au prophète". P211

Deroche : La voix et le Calame[modifier | modifier le code]

« Lorsque l’on analyse les points de vue traditionnels, on y distingue une volonté collective tenace, dont nous pouvons observer le cheminement de ‘Uthmān à al-Bukhārī, en faveur d’une simplification de la situation en ce qui concerne le Coran, ou pour être plus précis, en faveur d’un texte légitimement unique »[46]

Les sources anciennes montrent une multiplicité de traditions [47]

« Certes, on connaît des manuscrits qui sont réputés être le « coran de ‘Uthmān » et pourraient donc, en bonne logique, nous fournir une information directe sur le texte au moment même de sa fixation. Il s’agit malheureusement de pieuses reliques qui appartiennent toutes à une période plus récente »

L'examen des fragments sensés étre postérieur à Othman montrent que l'écriture manque encore de précision. L'absence de diacritique sur toutes les lettres laisse "la porte ouverte aux divergences"[48]

"Lorsqu’al-Zuhrī meurt en 742, il a déjà derrière lui une quarantaine d’années de « coexistence » avec des manuscrits coraniques beaucoup plus précis que le codex parisino-petropolitanus. [...] Al-Zuhrī peut donc tout à fait avoir perdu de vue le caractère très défectif de l’écriture de ces manuscrits et avoir de ce fait « injecté » dans le récit de la mise par écrit sous ‘Uthmān des éléments plus récents qui, de fait, avaient apporté une solution aux nombreux points défectueux"[49]

En restituant diacritique et vocalisation, "on peut admettre que le texte conservé dans les manuscrits les plus anciens, à une exception notable, correspond à celui de ‘Uthmān". Néanmoins, " Il n’est pas sûr que les copistes et lecteurs de ces copies aient été tous d’accord entre eux – ni qu’ils l’auraient été avec le lecteur contemporain."[50]

« La nature de l’intervention du calife ‘Uthmān serait donc différente de celle que la tradition lui attribue. Son implication dans un effort pour faire prévaloir une des transmissions textuelles ne paraît pas faire de doute : nous avons vu que le reproche qui lui était fait d’avoir détruit des corans qui ne correspondaient pas, semble-t-il, à celle qu’il entendait soutenir représente d’un des éléments forts des récits de la mise par écrit. Les données dont nous disposons n’interdisent pas en revanche de penser qu’il a pu jouer un rôle dans la mise en place d’un modèle qui donna une identité visuelle à un courant de transmission déjà xistant, représenté notamment par les ṣuḥuf de Ḥafṣa et qui avait reçu l’adhésion d’un certain nombre de fidèles. » "L’action du calife ‘Uthmān a été décisive pour la formation et la sauvegarde de la vulgate." "La « vulgate ‘uthmānienne » en revanche, soutenue par l’autorité califienne –  par ‘Uthmān d’abord, puis par les Omeyyades et les Abbassides, contrôlée et éditée sur la durée, a débouché sur un texte stable dont les manuscrits coraniques contemporains du parisino-petropolitanus contiennent les éléments fondamentaux."[51]

Isa : reportage[modifier | modifier le code]

charfi (3:25) si jesus est si important, c'est qu'il n'a pas de père. Comparé à Adam.

considéré comme "Esprit de Dieu" ("difficile à interpréter")

Djait (4.48) kalima = proche du logos de jean, provenant du souffle de Dieu

El-Badawi (6.24) : proche du logos. Mais le Coran se considère comme verbe et espret "jesus est au même niveau que le Coran" Mahomet est moins important, simple messager.

Hilali (8.5) Tres forte présence description physique dans Hadith, certaine grâce

Michael Marx (8.43) Grande différence entre coran et trad musulmane. Aucune mention crucifixion dans les hadith (à la diff. du retour).

Pons (10) Jesus juge le monde à la fin des temps (dans les Hadiths). Personne très importantes

Hilali (10.43) Jesus à la fin des temps extrêmement présent dans hadiths

Pons (12:33) récompense matérielle de Dieu à la fin des temps (par jardins des oliviers ou +tardif en atterrissant sur mosqué de damas

Reynolds (13.07) Jesus remettra l'islam en place et luttera contre chretiens et juif (trad début de l'islam)

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/07/19/01016-20160719ARTFIG00175-pourquoi-il-est-si-difficile-de-definir-le-terrorisme.php
  2. Romain Caillet, « Jihadologie - Les mots du jihadisme - Libération.fr », sur jihadologie.blogs.liberation.fr (consulté le )
  3. a et b « Charlie, l'islamisme et le vocabulaire », Bibliobs,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. lefigaro.fr, « Comment l'équipe Trump bouscule le débat sur l'islam en Amérique », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le )
  5. « Pourquoi Obama se refuse à parler de "terrorisme islamiste" et "d'islam radical" », L'Obs,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. a b et c Lynne Franjié, La Traduction dans les dictionnaires bilingues, p. 231-233.
  7. Pascal Bruckner, Un racisme imaginaire: La querelle de l'islamophobie, Grasset, (ISBN 9782246857587, lire en ligne)
  8. Claude PRUD’HOMME, Vincent MORINIAUX et al., Document d’accompagnement duprogramme d’histoire et géographie, mars 2007.
  9. Gilles Veinstein, Syncretismes Et Heresies Dans L'orient Seldjoukide Et Ottoman: XIV- XVIII Siecle, Peeters Publishers, (ISBN 9789042915497, lire en ligne), p. 4
  10. PRASQUIER Richard. « Oui, l’islamisme radical et le nazisme sont deux idéologies comparables ». Le Monde, 18 octobre 2012, p. 24
  11. a b et c Marie Yaya Doumbè Brunet, Crime contre l'humanité et terrorisme, thèse de doctorat de l'université de Poitiers, 2014.
  12. Edgar Morin, Au rythme du monde: Un demi-siècle d'articles dans Le Monde, chap "Société-monde contre terreur-monde".
  13. Ben Salama, Au nom de l'islam: enquête sur une religion instrumentalisée, p. 38.
  14. Jenny Raflik, Terrorisme et mondialisation. Approches historiques, Editions Gallimard, (ISBN 9782072599675, lire en ligne)
  15. Eléonore de Vulpillières, « Daech, ISIS, Etat islamique : le vocabulaire au service de la guerre », Le Figaro,‎ (ISSN 0182-5852, lire en ligne, consulté le )
  16. a b et c Pierre-André Taguieff, « 17 thèses sur l'islamisme », Le Huffington Post,‎ (lire en ligne, consulté le )
  17. Leaman, Oliver, ed. (2006). The Qur'an: an EncyclopediaRoutledge. p. 614. ISBN 0-415-32639-7.
  18. Le Coran : essai de traduction, poche, 864 pages, Éditions Albin Michel (2 octobre 2002), p.16.
  19. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  20. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  21. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  22. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  23. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  24. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  25. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  26. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  27. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  28. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  29. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  30. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  31. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
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  39. Anne-Marie Delcambre,, l'islam des interdits, p.18.
  40. Sahih Muslim, Livre 32, Hadith 6303.
  41. Sahih al-Bukhari, Volume 5, livre 59, hadith 369
  42. Sahih al-Bukhari, Volume 4, livre 52, Numéro 268.
  43. Bonner, Michael, Jihad in Islamic History, Doctrines and Practice, 2006.
  44. Michael Ryan, « Interpreting taqiyya », Jane’s Islamic Affairs Analys,‎
  45. a et b (en-US) Raymond Ibrahim, « La Taqiyya et les règles de la guerre islamique », Middle East Quarterly,‎ (lire en ligne, consulté le )
  46. M. François Déroche, « Cours : La voix et le calame. Les chemins de la canonisation du Coran a », Histoire du Coran. Texte et transmission,‎ 2015-2016 (lire en ligne)
  47. M. François Déroche, « Cours : La voix et le calame. Les chemins de la canonisation du Coran a », Histoire du Coran. Texte et transmission,‎ 2015-2016 (lire en ligne)
  48. M. François Déroche, « Cours : La voix et le calame. Les chemins de la canonisation du Coran a », Histoire du Coran. Texte et transmission,‎ 2015-2016 (lire en ligne)
  49. M. François Déroche, « Cours : La voix et le calame. Les chemins de la canonisation du Coran a », Histoire du Coran. Texte et transmission,‎ 2015-2016 (lire en ligne)
  50. M. François Déroche, « Cours : La voix et le calame. Les chemins de la canonisation du Coran a », Histoire du Coran. Texte et transmission,‎ 2015-2016 (lire en ligne)
  51. M. François Déroche, « Cours : La voix et le calame. Les chemins de la canonisation du Coran a », Histoire du Coran. Texte et transmission,‎ 2015-2016 (lire en ligne)