Aller au contenu

Utilisateur:Firleiouwka/retour

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

_____________________________________________________________________________________ Après quatre années, et à l'avenir, il m'arrivera, peut-être, de passer en tant que lectrice. En revanche, je ne reviendrai plus jamais en tant que rédactrice. Merci à ceux qui furent chaleureux à mon égard.
--Françoise Maîtresse (d) 24 avril 2012 à 09:06 (CEST)

______________________________________________________________________________________

Retour ?[modifier | modifier le code]

Je crois m'être désintoxiquée de mon addiction à Wikipédia. Depuis des mois, je travaille pour moi. Mais Wikipédia me manque dans la mesure où sur Wikipédia, j'y faisais mes gammes. Vous savez comme le solfège pour la musique et les imposées pour le patin à glace. J'avais des tas de sources en tête, mais j'étais obligée d'aller relire de les mettre en place et ce travail était enrichissant.

Mais le côté sombre de Wikipédia : ceux qui reviennent sans cesse sous de multiples faux-nez y compris un ancien administrateur banni, et qui m'a toujours poursuivie, détestée. Puis, le sieur Mir****** que je n'ai pas dénoncé et qui était le faux nez d'un autre sur l'article BDSM. Il discutait de moi avec son pseudo d'origine. Quelle naïveté, comme si le fait qu'ils discutent ensemble me persuaderait qu'ils n'étaient pas clone l'un de l'autre.

Puis il y a encore Les autres ceux qui ont des suiveurs. Ils disent blanc et une armée arrive derrière eux pour dire blanc. Ils prétendent être les grands maîtres de l'encyclopédie. Et quand ils ont quelqu'un dans le nez, Ils vont le pousser à bout jusqu'à ce que le pauvre bougre explose et sorte un mot venant du cœur. Le mot d'insulte qui le fera définitivement expulser de Wikipédia. Et le harceleur crie victoire soutenue par son indéfectible cour Cherchez l'erreur ! Ces mêmes individus cherchent aussi à refaire des articles en n'en possédant pas la culture. Ils disent, je vais me documenter et je reviens. Comme si moi je prétendais refaire l'article sur le communisme en disant je vais lire et je reviens refaire l'article.

Heureusement que certains administrateurs ne son plus dupes.

Puis il y a celui qui avait retiré une source de Gilles Deleuze. Il écrivait « depuis quand Gilles Deleuze a avoir avec le masochisme ? » et il prétendait qu’il fallait chercher les sources sur « Osez le BDSM guide érotique» ; Mon péché irrévérencieux contre cet individu est que j'ai répondu en citant les ouvrages. Depuis, il me voue une haine mortelle et à chaque fois qu'un Wikipédien me contrarie, il vient le soutenir. Par exemple l'article que j'avais créé : monstre sémiologique (sado masochisme) article mis en pàs quelques heures après sa création. Même pas le temps de finir de l'écrire. Pourtant on ne parle que de ce monstre sémiologique et dernièrement encore sur France Culture Mauvais genre émission où j'étais présente. Alors lorsque j’en aurai fini avec mon travail actuel est-ce que j’aurai le courage de revenir faire mes gammes… On verra bien, peut-être qu’avec l’ancienneté, j’aurais enfin la paix. Certains articles subissent un manque cruel, le sadisme, le fétichisme et le tout ce qui tourne autour le l’extase


Retour[modifier | modifier le code]

  • Je décide de revenir, après quelques tâtonnements je constate que tout est plus calme me concernant.

L'administrateur qui me poursuivait n'est plus là. Les fonez sont plus calmes.

  • WP:RA L'intervention dans cette rubrique n'est pas ma tasse de thé. Mais j'interviendrai à la minute même où l'un des ex fonez harceleur changeait une virgule sur ce que j'écris ceci concerne Euskaral et son principal pseudo, Mir**, non dénoncé et son principal pseudo. Enfin Wikipédia:Faux-nez/GoAskAlice

Ayant cependant des occupations par ailleurs, je ne m'implique à la mesure de mon temps libre.

Pour finir, aux spécialistes du harcèlement moral: Je suis à cet effet de marbre. Aucune chance de d'obtenir mon éviction de Wikipédia en me faisant céder à l'insulte. Je n’ai jamais cédé à l’insulte, même lorsque j’étais poussée à bout. Et, de ce fait je n’ai pas la moindre minute de mise à l’écart.