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Agence - Kobe Matthys[modifier | modifier le code]

Agence est une association[1] fondée par l'artiste belge Kobe Matthys en 1992, à Bruxelles[2]. C'est un outil de réflexion visant à étudier les relations entre l'art et la législation en vigueur sur la propriété intellectuelle[3]. Agence s'interroge sur l'adaptation de cette dernière aux différentes formes d'art et de pratiques. Et sur l’influence éventuelle qu'elle pourrait avoir sur les singularités inhérentes aux pratiques artistiques. Pour cela, Agence se base sur l'étude d'une liste de controverses juridiques liées à l'art, qu'elle est en train constituer[4].

Origines du projet:[modifier | modifier le code]

Kobe Matthys a une approche conceptuelle, influencée par des artistes tel que Dan Graham, ou le collectif Fluxus[5].

Le projet à débuté à Francfort lors de ses études d'art à la Staatliche Hochschule für Blidende Künste. A cette époque, Kobe Matthys effectuait des expérimentations dans le domaine de l'improvisation (théâtre...). Il analysait, par exemple les résultats obtenus, lorsqu'un des éléments de la série des instructions initiales variait. Cela l'a amené par la suite, à considérer la propriété intellectuelle ainsi que l'ensemble de l'appareil juridique qui l'accompagne, comme une instruction, ou une "règle du jeu" et il s'est donc intéressé aux influences que celle-ci pouvait exercer sur les pratiques artistiques.

Base philosophique de la propriété intellectuelle[modifier | modifier le code]

L'étude des cas pratiques est une manière pour Agence, d'aborder la question des fondements philosophiques et historiques sur lesquelles se basent la propriété intellectuelle.

Dans la Convention de Berne, une distinction est faite entre les notions de "nature"[6] et de "culture"[7]. On peut considérer la nature (objet) comme l'ensemble des caractéristiques innées communes et universelles à tous les être d'une espèce[8] et ayant une immuabilité relative. La culture quand à elle serait propre à l'être humain et serait acquise par l'éducation. C'est un changement, une transformation, une appropriation, pouvant aller jusqu'à la privatisation par un individu, ou un groupe donné (sujets qui agissent) de la nature par la pensée, l'action, l'expression[9]... Ceci aboutit au particulier, au singulier, à l'original. C'est l'évolution, dans laquelle un ordre nouveau se mêle à l'ordre naturel. Donc, théoriquement la distinction entre nature et culture est relativement aisée.

Dans la réalité matérielle de la production artistique, l'un étant enchevêtré dans l'autre, les critères qui permettent de faire la distinction entre les deux sont bien plus complexes à définir. On pourrait avoir tendance à définir comme naturelle et à universaliser une chose qui a une valeur culturelle, singulière, propre à un groupe et n'appartenant qu'à une société donnée. Ou inversement, on pourrait définir une chose naturelle comme culturelle et à se l'approprier consciemment, ou non, pour une raison ou pour une autre.

C'est sur cette distinction complexe des fondements de la notion de propriété intellectuelle, d'une part le naturel, le droit réel et d'autre part le culturel, ou le droit personnel que la justice et donc la société doivent se prononcer et opérer un "classement". Les concepts de nature et de culture ne sont pas directement utilisés par la justice. On va plutôt rencontrer les notions d'idée/d'expression, d'objet/de sujet, de fruit de la création/de conséquence de l’évolution, d'humain/de non humain[10], d'originalité/de banalité, d'individuel/de collectif...

Les cas répertoriés par l'Agence ont un statut difficile à définir et mettent en évidence cette complexité. Ils s'opposent à une classification évidente sur laquelle s'appuie la propriété intellectuelle. Selon Kobe Matthys, c'est du doute et du questionnement que naît l’intérêt des controverses.

Base juridique de la propriété intellectuelle[modifier | modifier le code]

Les fondements de la propriété intellectuelle se sont établis lors de l'essor de l'imprimerie, sur ce qui deviendra plus tard le copyright et les droits d'auteur. La propriété intellectuelle se développa donc, dans un premier temps, pour la création et la production littéraire et fut ensuite étendue aux domaines scientifiques et artistiques.

La propriété intellectuelle est divisée en propriété littéraire et artistique et en propriété industrielle. Elle permet de protéger tous les produits obtenus à partir d'un travail intellectuel[11] ayant, ou non un support matériel (les marques, les brevets, les publications scientifiques, les programmes informatiques, les recettes de cuisine, les œuvres d'arts...). Ceux-ci sont légalement tous rapportés à la même notion "d’œuvre originale" selon la Convention de Berne[12] qui s'appliquent quasiment dans le monde entier. Ils sont donc «protégés» par un même ensemble de règles générales, indépendantes des médiums. Dans la pratique, la propriété intellectuelle est le seul élément, dans le domaine artistique auquel on se rattache, en cas de litige.

Agence se demande si les textes de lois basés sur l'écrit sont adaptés aux singularités de chaque domaine artistique. Comment fait-on pour protéger, un mouvement en danse par exemple? Théoriquement, celui-ci doit être décrit à l'écrit pour pouvoir être protégé par la propriété intellectuelle. Mais encore, qui bénéficie des droits du motif d’un ballet, l'auteur, le compositeur, ou le chorégraphe? Elle s'interroge également sur le développement et la précision des outils à disposition de la justice pour répondre à la complexité des problèmes posés par une expression artistique. La loi peut-elle s'appliquer de la même manière si l'on a à faire à un brevet, à une marque, par exemple? La justice parvient-elle à discerner les subtilités qui peuvent constituer une mélodie de jazz?

Mais encore, sociologiquement, il y a une multiplicité de cultures et donc une grande diversité de pratiques artistiques. Les réponses amenées par la justice que l'on peut considérer comme une contrainte extérieure à la pratique artistique, influencent-elles ces pratiques et permettent-elles de préserver les singularités de ces pratiques? Si une pratique est traitée comme les autres, cela peut-il avoir des conséquences sur elle? Une mélodie musicale, par exemple, peut être protégée pour son texte (paroles), ou sa mélodie (partition). Qu'en est-il alors de l'improvisation?

Par ailleurs, le droit introduit une hiérarchie entre l'artiste (culture) et l’œuvre (nature) façonnée par le premier[13]. Le droit définit donc la propriété et les caractéristiques de l’œuvre. La propriété intellectuelle aurait tendance à se baser sur les représentations pour mettre en évidence les différences entre les pratiques artistiques. Ceci aurait tendance à réduit les arts à une simple question de subjectivité.

Est-ce une conséquence des pratiques artistiques contemporaines (Pop art, l’art conceptuel, le minimalisme, la critique institutionnelle, le land art, etc.) qui questionnent cette subjectivité[14]? Qu'est-ce que l'art, qu'est-ce qu'une œuvre d'art, qu'est-ce qui fait l'art et qu'est-ce qui lui permet d'exister...? Ces artistes considèrent souvent que leur travail est indissociable du pouvoir des institutions, des musées, du public, des industries culturelles et des médias, de la dépendance au marché de l'art... Ceci met-il en danger l’autonomie de l'art, mais l'art peut-il être autonome?

D'autre part, la singularité d'une pratique artistique ne se définit-elle pas plus par la pratique elle-même? L'intervention, la transformation (culture/sujet/artiste) ne sont-elles pas elles-mêmes la forme d'art, plus que le simple résultat de cette pratique (nature/objet/œuvre)? Cependant, est-il concevable et comment fait-on pour protéger une chose "immatérielle" telle qu'une action, une idée, une expression? C'est grâce à la réflexion et à l'innovation qu'une nouvelle perception du monde est rendue possible et que le monde avance et évolue. Mais comment stimule-t-on d'une part cette création et reconnait-on d'autre part la paternité d'une œuvre incontestablement basée sur les innovations antérieures? Selon la convention de Berne, œuvre et auteur sont imbriqués car le critère de protection principal est l’"originalité" de l'œuvre, qui dépend de l'auteur. Mais toute œuvre est inspirée de celles qui la précèdent. La propriété intellectuelle protège les innovateurs actuels, tout en permettant l'utilisation de leurs découvertes par les innovateurs futurs. Le travail juridique appliqué à ce domaine nous montre que la protection des productions de l'esprit a donc des effets paradoxaux. Agence questionne la manière dont les règles de la propriété intellectuelle agissent sur l’évolution et la continuité des pratiques[15].

« Si l’œuvre est un « bien immatériel », et si, mieux encore, elle est analysée comme une production de la personne, il en résulte logiquement que c’est une personne qui s’incarne dans une œuvre et logiquement encore que cette œuvre doit être protégée sur le même mode que la personne qui lui a donné naissance. En d’autres termes, l’œuvre incarnant l’identité du sujet, n'est donc en quelque sorte, que le sujet lui-même » Bernard Edelman.

Enfin, on peut se demander si la notion de "nature" n'est pas définie culturellement? Exemple de questionnement posée lors d'une des exposition d'Agence: "que se passe-t-il si l'idée n'est pas incluse dans la notion de culture?"

Ces questions amènent donc d'autres questions (ex: Qu'est que l'idée?), une relecture de l'art, de son histoire et de son évolution. Mais également la question de l'adaptation de la propriété intellectuelle à l'art, par qui, comment (ex: OGM, numérisation des bibliothèques...)? Le copyleft serait-il plus adapté...? L'artiste intègre-t-il ces contraintes à sa pratique? Y-a-t-il une colonisation, standardisation, un classement, ou encore une régularisation de l'organisation des arts? Chaque cas a ses particularités et donc des solutions singulières. La réflexion engagée par Agence peut être étendue à d'autres domaines que ceux des arts. L'amélioration ne peut se faire qu'en s'affranchissant de la culture, en étendant ses horizons et en repérant sa singularité, afin d'avoir une nouvelle vision...

En pratique:[modifier | modifier le code]

Agence depuis sa création inventorie des controverses. Elle les désigne sous le nom de "chose" et de "quasi-chose" lorsque les verdicts des procès, ou la médiation les concernant ne sont pas encore rendus. Ce sont des jurisprudences[16] en lien avec la propriété intellectuelle d’œuvres artistiques. Le terme "chose" sous-entend un affranchissement de la classification "nature"/"culture" utilisée par la propriété intellectuelle. Ces dossiers sont regroupés sous la forme d'une liste[17]. Ils comportent un numéro et un nom permettant leur identification. Chacun étant étudié de manière singulière, ils ne sont pas classés, mais cartographiés dans un réseau, ou une arborescence mettant en évidence les liens pouvant éventuellement les rapprocher.

Agence a effectué des recherches dans des domaines relativement courants, dans un premier temps. Puis, elle a évolué vers l'examen de pratiques artistiques de plus en plus singulières et même de pratiques minoritaires dans des pratiques majoritaires... ex: numéros avec des animaux de cirque, ouvrages rédigés à l'aide d'écriture automatique résultant de l'intervention d'esprits chez des médiums, la technologie et les machines[18], l'enregistrement de chants d'oiseaux... La propriété intellectuelle attribuée à ces formes d'expression n'est pas considérée juridiquement équivalente à celle des humains. L’“artisanat” ou la conception d’objets utilitaires, quel que soit le degré de satisfaction qu’ils offrent, ne bénéficient pas de la protection des droits d’auteur, à la différence des œuvres d’art...

Agence[19] s'intéresse aussi à la réciprocité et à la collectivité. C'est à dire à l'enchainement des actions, donc à une vue d'ensemble et non aux éléments isolés. Les listes regroupent un mélange d'intentions (humains, parfois non humain). Agence s'est intéressée à ses débuts aux collectivités humaines, comme les fanclubs (ex: Harry Potter, Tween pics) notamment et aux interactions entre auteurs et spectateurs, lecteurs...

Matériellement[20], l'ensemble constitue une archive composé de boites en bois, une par "chose", comportant les pièces présentées lors des audiences (objets, copies des textes du jugement, livres, coupures de presse, photos, vidéos...). La mention "spécimen" est apposée sur ces pièces, pour des raisons pratiques[21], mais également en référence à leur valeur matérielle potentielle, ou encore aux spécimens[22] que l'on peut admirer dans les musées d'histoire naturelle.

Lors des expositions, Kobe Matthys sélectionne des "choses" qui peuvent être regroupées selon un ou plusieurs critères en lien avec le thème choisi[23]. Ce dernier se présente souvent sous la forme d'une question telle que: "comment ce qui est commun peut-il s’insérer dans le champ artistique[24]? Comment des collectifs parviennent à s’inclurent au cœur des pratiques artistiques? Comment les corps peuvent-ils être inclus dans les pratiques artistiques? Comment les non-humains peuvent-ils parfois s’inclure dans les pratiques artistiques...?"

Le contenu de certaines des choses sélectionnées sont présentés sur des tables éclairées par des suspensions lumineuses, alors que d'autres restent dans les boites sur des étagères[25]. Les pièces de ces dernières sont consultables sur demande[26] et sous supervision du "gardien des "choses", personne désignée et ayant un rôle actif dans leur présentation[27].

Les "choses" sont en outre, matière à des assemblées publiques. Ces débat/performances[28], se déroulent dans des gradins[29] facilitant les échanges. L'artiste y invite différents intervenants: artistes, auteurs, chorégraphes, danseurs, designers, juristes, historiens, chercheurs, dramaturges, thérapeutes, philosophes... Cette approche singulière permet de prolonger la réflexion en dehors du palais de justice[30], d'approfondir les connaissances sur le sujet et éventuellement de proposer une alternative, sans pour autant donner de conclusion. Chacun repart avec la sienne, voire avec de nouvelles questions à leurs issues.

Les choses font également l'objet de publications et de conférences[31].

Le travail est en constante évolution et de nouveaux domaines et questionnements apparaissent constamment. A l'heure actuelle, le numérique est une nouvelle source d'étude et de questionnement pour Agence. Auparavant, les sites hébergeant des contenus étaient responsables de ce qu'ils mettaient en ligne. Récemment, la loi a été inversée. C'est maintenant à l'ayant droit de réclamer le retrait du contenu, s'il ne souhaite pas le voir apparaitre. Ou encore une interrogation sur le fonctionne et des limites du peer to peer...

A l'avenir, Agence devrait faire évoluer les expositions vers des "rétrospectives"[32]. Actuellement l'Agence recherche à combiner plusieurs séries ensemble.

Agence garde une distance par rapport aux éléments qu'elle présente. Elle ne tranche jamais. Le doute laissé en suspens favorise la réflexion. C'est une manière de rendre le spectateur actif.

Site Internet de Agence: http://www.agentive.org/[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

propriété intellectuelle

Convention de Berne

Fluxus

Références:[modifier | modifier le code]

Expositions:[modifier | modifier le code]

Musée de la danse (Rennes, 2012), KaaiStudio (Bruxelles, 2012), Résidence aux Laboratoires d'Aubervilliers (2011-2012), Objectif-Exhibitions (Anvers, 2011), The Showroom (Londres, 2011), Contemporary Art Museum (St. Louis, 2010), "Animism" ExtraCity et M HKA, Anvers (2010), Kunsthalle Bern, Generali Foundation, Vienne, Haus der Kulturen der Welt (2009-2012), "Grand Domestic Revolution", Casco, Utrecht (2011- 2012), "Speech Matters", Biennale de Venise (2011), "Les vigiles, les menteurs, les rêveurs. Erudition concrète" (Le Plateau, Paris, 2010), Contemporary Art Museum in St. Louis (2010),  "PhotoCairo 4: The Long Shortcut" (CiC Cairo, 2009); 5th Berlin Biennial (2008), "Anna Kournikova Deleted by Memeright Trusted System" (HMKV, Dortmund, 2008), "on the way to: From/To Europe" (Shedhalle, Zürich, 2006), Biennale de Paris (2006), "Projekt Migration (Kölnischer Kunstverein, Cologne, 2005), "Bartleby" (HAU, Berlin, 2004) .

Agence a aussi contribué aux publications: De Witte Raaf, jan-fev 2010 F.R. David (De Appel, Amsterdam, 2009), dotdotdot 17 (New York, 2008), Starship Magazine, été 2008, Casco Issues XI: An Ambigous Case (Casco, Utrecht, 2008), Brakin. Brazzaville-Kinshasa (Jan van Eyck Academie, Maastricht & Lars Müller Verlag, Baden, 2006), The Manifesta Decade (MIT Press, 2005). .

Notes:[modifier | modifier le code]

  1. ASBL (association à but non lucratif)
  2. « Rencontre avec Kobe Matthys, de l'agence Agence », sur radiopanik.org,
  3. Écologie de l'art: rapports entre l'art et la société, son environnement...
  4. « Kobe Matthys : collectionneur de controverses artistiques », sur unidiver.fr,
  5. Collectif qui s'est intéressé aux problématiques du geste artistique et aux rapports entre l'art et la société.
  6. « Nature et Culture », sur Anciens cours de philosophie du Lycée Ouvert de Grenoble
  7. « La culture », sur PhiloLog
  8. règnes minéral, végétal, animal...
  9. exemple: l'art, les techniques, les sciences...
  10. l’Agence aborde la question de savoir si des pratiques non humaines peuvent être considérées comme créatives par définition. Ou si un fait humain qui aurait été provoqué sans intention peut être considéré comme une performance par exemple?
  11. immatériel
  12. Ces accords ont-ils inscrit la production artistique dans l'économie de marché mondiale?
  13. Le droit de propriété est supérieur au droit d'expression.
  14. (en) « Art and Thingness, Part III: The Heart of the Thing is the Thing We Don’t Know », sur e-flux.com,
  15. « Aide à la recherche et au patrimoine en danse 2011. »
  16. appartenant au domaine publique
  17. 2000 "choses" environ à l'heure actuelle
  18. « Agence, Assemblée (Générique & Spécifique) », sur grandcafe-saintnazaire.fr
  19. Le nom de l'association a été inspiré par le philosophe psychanalyste Félix Guattari.
  20. « Agence - Assemblée (Générique & Spécifique), Le Grand Café », sur vimeo.com
  21. éviter tout problème juridique
  22. général et non spécifique, ou singulière
  23. « Agence Assemblée (Générique & Spécifique) », sur Grand Café. Centre d’art contemporain. Saint-Nazaire, (consulté le )
  24. prolongement de la réflexion engagée par Marcel Duchamp
  25. mise en scène liée aux archives, cabinets de curiosité, ou bureaux des objets trouvés
  26. accès administratif limité avant tout pour raison pratiques
  27. intermédiaire/guide entre Agence et le public
  28. numérotés également
  29. mise en scène liée aux assemblées, aux parlements, ou aux palabres...
  30. sans pour autant le remettre en cause son verdict
  31. notamment lors de congrès de juristes
  32. ceci est relatif, car la liste est en constante évolution. De plus, pour chaque exposition, des "choses" locales appartenant au pays dans lequel les expositions sont montées sont ajoutés.