Utilisateur:Elapied/Laboratoire
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MIND[modifier | modifier le code]
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1974-1976
1977-1980
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1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
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2016 Caen : Galerie Art-Culture-France
2010
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2011
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- • Rouen : Galerie Rollin
2012
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2013
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Forêt domaniale de Pafos[modifier | modifier le code]
La forêt de Pafos est la plus grande forêt domaniale de Chypre. Sa superficie s'élève à 600 km², une superficie qui constitue 6,5% de la superficie totale de l'île. Il couvre toute la partie ouest de la chaîne de montagnes Troodos et se compose principalement de forêts de pins trachées avec en toile de fond le Latzia endémique touffu. Dans la forêt de Paphos se trouve également la vallée du cèdre doré avec son costume de cèdre chypriote. Les exceptions sont les 2 zones fermées, l'un des villages de Kampos de Tsakkistra et Tsakkistra et l'autre du village de Milikouri avec le monastère de Kykkos.
La forêt de Paphos a été déclarée la principale forêt de l'État, ainsi que toutes les forêts non privées de l'île, par les Britanniques, tandis que son exploitation était limitée par diverses lois en 1940. Depuis l'époque de la domination ottomane dans divers établissements côtiers, pour peur des pirates dans la forêt. Les villages spécifiques, cependant, sont devenus particulièrement dommageables pour la forêt, car la plupart des habitants étaient des bergers et des bûcherons. Les troupeaux du monastère de Kykkos étaient également un gros problème. Un total de 2 000 personnes vivaient dans la forêt de Paphos à la fin du 19 esiècle, avec 200 000 moutons et chèvres qui y paissent, causant d'énormes dégâts. En 1880, le pâturage et l'exploitation forestière en forêt sont totalement interdits, mais cela ne tarde pas à créer un mécontentement parmi les habitants, de sorte qu'ils sont supprimés un peu plus tard. En 1898, l'exploitation forestière a été complètement interdite, le Département des forêts étant le seul responsable. En 1913, le pâturage n'était autorisé qu'avec une autorisation spéciale du Département des forêts. Après la proclamation des forêts de Chypre dans les parcs d'État en 1940, le pâturage a été complètement interdit. Avec une décision du gouvernement, ils ont commencé à se déplacer un par un hors de la forêt vers des zones côtières avec des terres arables afin que leurs habitants cessent d'être nocifs pour la forêt et deviennent des agriculteurs productifs, car ils ont reçu plusieurs champs autour des nouveaux villages. Les premiers villages à déménager furent les anciens Pachyammos, Haleri et Kalokapi en 1931, qui se sont unies et ont fait l'actuel village de Pachyammos. L'année suivante, Kokkina et Paliabela ont suivi. Dans ces cas, les propriétés des habitants ont été expropriées au prix de 7 livres par maison et 3 dans les champs dans leurs anciens villages, alors qu'ils ont reçu des terres égales dans leur nouvel emplacement. En 1937, ils transférèrent les habitants du petit village de Philémon à Limnitis. En 1950, ils ont déplacé les habitants des villages d'Agios Mercourios et de Frodisia vers d'autres villages mixtes. En 1953, les villages de Dimmata, Livadi et Gialia se sont déplacés à proximité des terres qui leur ont été données. En fait, en ce qui concerne les 3 derniers villages, les nouvelles implantations ont été construites par les Britanniques eux-mêmes, avec une architecture et un urbanisme purement anglais, utilisant la brique caractéristique. Ces nouveaux villages sont Nea Digmata, Neo Livadi et Gialia d'aujourd'hui. Les 2 zones délimitées par la forêt, l'une avec les villages de Kampos de Tsakkistra et Tsakkistra et l'autre avec le village de Milikouri et le monastère de Kykkos ont la distance de sécurité requise de la forêt alors qu'elles avaient plusieurs zones agricoles autour, il y avait donc pas de problème avec ceux-ci. En fait, le village de Kampos était l'un des plus coopératifs car c'était le village prééminent des bûcherons forestiers.
Espèces À partir de 1879, les Britanniques ont créé le Département des forêts et diverses stations forestières ont été construites pour protéger la forêt. Il y avait au total 18 Stations Forestières, dont 7 fonctionnent aujourd'hui, car avec l'épaississement du réseau routier et l'émergence des moyens de Communication et des Moyens Motorisés il n'était plus nécessaire d'en occuper certaines. Ces stations étaient Livadi, Frodisia, Agios Mercouri, Strombos, Ippi, Pera Vassa, Platani, Mavres Sytzes, Gefyrka. De plus, la deuxième station forestière la plus importante de la forêt de Paphos, Agia, est temporairement fermée depuis 1967. La principale est la station forestière de Stavros de Psoka où se trouve le centre administratif. Les gares de Lysos, Gialia, Pyrgos Tellirias, Kampos Tsakkistra, Agios Nikolaos et Panagia sont également ouvertes. Le bois fourni par la forêt est également important, car il répond aux besoins de l'île tandis que de grandes quantités de bois de Chypre sont exportées vers l'Égypte et le Soudan. Rien que dans la forêt de Paphos, il y avait 14 scieries. Plusieurs fois, bien sûr, des incendies de forêt se sont déclarés, principalement en 1924, 1956, 1964 et 1974, ces derniers étant provoqués par le Napalm des Turcs en Turkantarsie etInvasion turque de Chypre en 1974. Aujourd'hui, ces zones ont été reboisées et la forêt de Paphos est très bien protégée. Cependant, la République de Chypre a adopté diverses mesures pour la protéger. [1]
La forêt de Paphos est le seul habitat de l'espèce sauvage chypriote en voie de disparition ( Ovis orientalis ophion ). La population sauvage estimée était de 25 en 1884, contre environ 1 200 en 1992, et a probablement encore augmenté depuis. [1]