Utilisateur:De Meherenc de Saint Pierre/Brouillon

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La famille de Méhérenc de Saint Pierre (olim Bouchard) est une famille d’origine très ancienne et d’extraction chevaleresque de la noblesse Française et d’Europe du Nord qui est toujours subsistante en nombre et adaptée à notre époque.
Blason: d’argent au chef d’azur à la bordure de gueule Devise :fais honneur à tes armes ou n’en parle jamais

Chapitre I : Origine Agnatique[modifier | modifier le code]

De part les traditions diverses, mais non totalement prouvés à ce jour:


Cette très ancienne lignée, qualifiée de noblesse immémoriale d’après toutes traditions, portait le nom de Bouchard, d’origine franque (burchard ou burghardt ?) venant des pays de Souabe et Bavière, établie en île de France et proche du Paris ancien (d’après les recherches récentes).



Voir : Dynastie des comtes carolingiens des Bouchardides, soit celle des Bouchard ou Bouchart (wikipédia…), ayant donné les comtes de Melun, de Corbeil, de Vendôme et de Paris sous Hugues Capet, ainsi que les Bouchard de Montmorency, ayant quitté leur patronyme Bouchard au 13 siècle.


Les Bouchard de Méhérenc ont toujours affirmé être « des vrais Bouchard » dont ils avaient gardé les armes primitives (textes médiévaux et traditions anciennes rapportées).

Il est vrai qu’il existe de fortes similitudes de champs, de métaux et couleurs avec les armes des Bouchard de Vendôme.

Chapitre II : Fusion avec la maison de Méhérenc.[modifier | modifier le code]

La tradition rapporte qu’un Bouchard, chevalier, aurait au 12e ou 13e siècle épousé la dernière descendante des Méhérenc, compagnons Vikings de Rollon, et possessionnés par lui à l’origine d’un grand fief de Haubert soit haute justice à Trévières et paroisses alentour, appelé le fief de Méhérenc, Maïherenc, Mesherenc, Meharent, Myharenc, Méhérent etc.

Le siège de ce fief est présumé avoir été une maison forte touchant l’église romane de Trévières et avec une cour fortifiée.

Un texte ancien des archives de Caen, dûment transcrit et transmis par un historien spécialiste,  rapporte que les Bouchard de Méhérenc  étaient seigneurs et patrons de cette paroisse, ainsi que celle de Mandeville début 14e siècle.

C’est alors que les Bouchard de Méhérenc ont délaissé leur nom Bouchard pour ne garder que Méhérenc du fait de leur fief, bien qu’établis au châtel fortifié des Londes, (aujourd’hui Les Tourailles) de construction de type Normand viking.

En s’alliant aux familles importantes de la région et la plupart d’origine Scandinave, ils ont donné naissance à de nombreuses branches Méhérenc, dont les Méhérenc de Saint Pierre semblent les seuls descendants de nos jours.

Chapitre III: Les Méhérenc.[modifier | modifier le code]

Méhérenc semble un nom d’un compagnon de Rollon , envahisseur conquérant (Hrolf), envahisseur de la Normandie,  d’origine Danoise (Mehren, nom existant encore en Scandinavie) donné par ce premier duc selon les traditions nombreuses et coutumes, à son fief de Haubert au 10ème siècle mais aucune preuve écrite n’existe à ce jour.

NB: L’origine Maihering, du franc «la terre de l'homme fort » à été évoquée?


Les Méhérenc sont seigneurs et ont la prééminence dans l’église de Trévières, bourg important du Béssin. On peut se poser des questions sur leur parenté ou identité avec les seigneurs de Trévières, dès l’origine. Ils en sont par ailleurs descendants par les femmes, et très directement (Escrammeville). Cela est prouvé. Les ascendances vikings sont certaines.


Le nom Méhérenc est repris, PAR ALLIANCE selon toutes les traditions, et textes associés, par les Bouchard ou Bochart, Bochard etc ….


Hors ce qui précède, et qui peut être contesté difficilement, il est souvent cité, par la famille et les généalogistes , pour information légitime, et sous toutes réserves, comme ascendants ou membres des deux familles:



BOUCHARD et BOUCHARD DE MEHERENC.


1)     Un chevalier Bouchard fut tué à Bouvines en 1214 en sauvant le roi Philippe-Auguste sous la bannière de Matthieu Bouchard, second baron de Montmorency, dont la famille s’est orthographiée parfois Bochard Maurence….

2)     Des chevaliers Bouchard de Méhérenc ont combattu par trois fois, en Flandre au 13ème siècle pour le service du roi, leur suzerain direct.

3)     Raoul Bouchard de Méhérenc fut le héros de la bataille Cassel en 1328.


Les Méhérenc sans Bouchard sont cités à part dans des textes plus anciens au 12ème siècle :

-         1198 Gaufridus de Méhérenc et son frère (archives à Londres).

-         1204 Ouen de Méhérenc, chevalier ayant combattu avec le Roi de France dans ses expéditions lointaines


Toute filiation ou parenté formelle ne sont pas littéralement prouvées à ce jour, et laissent un champ à la recherche.car il semble évident que, sauf exceptions, les familles de chevalerie de cette époque, encore nombreuses aujourd’hui (300 familles environ), ne sortent pas du néant ou du hasard, ni de rares anoblis ou intégrés, mais sont généralement les descendantes des familles comtales carolingiennes ou d’envahisseurs comme les Vikings, parfois en ligne féminine, exception à la loi salique, ce qui a fait leur force et pérennité.

La famille porte donc, c’est certain et prouvé, et par alliance, très probablement, le nom Bouchard de Méhérenc au début du 13ème siècle, en gardant les armes Bouchard. Nos ancêtres ont toujours insisté sur ce fait.

La filiation certaine, prouvée et continue, date de 1372, en fait 1328, ce qui est le cas normal de la plupart des familles d’extraction chevaleresque, authentifiées par les Honneurs de la Cour, de niveau équivalent, et apparentées très fortement avec le temps.

Le nom Bouchard est délaissé, mais pas oublié, début 15ème, au profit de Méhérenc et des autres seigneureries dans ses différentes formes orthographiques déjà citées. La période de transition et d’évolution des noms dure plus d’un siècle.

Par la suite les Méhérenc deviennent extrêmement nombreux et donnent en particulier les branches et seigneurs suivants, issus tous, de (preuves à l’appui) :

-         1372 Raoul Bouchard de Méhérenc époux d’une demoiselle d’Escrammeville ( de la lignée des Bacon, seigneurs de Molay-Littry et comtes de Villiers-Bocage) voit ses seigneureries partagées par accord entre ses deux fils, qui, ayant épousé deux sœurs de la famille de Thaon (d’origine Viking), laissent à  Henry le fils puiné, le fief très amoindri de Méhérenc, et celui des Londes (Les Tourailles) à Renouf, l’ainé, qui continuera la famille qui se répartira en de nombreuses branches et seigneureries sous le nom Méhérenc, durant trois siècles, puis Méhérenc de Saint Pierre après.

Les Méhérenc ont été seigneurs de:*les noms en majuscule concernent les actuels Méhérenc de Saint Pierre

-         *MEHERENC , LES LONDES, FLOTTEMANVILLE, MANNEVILLE, VIERVILLE, Laubel, Hautmesnil, La Conseillere, Le Quesnois, La Groudière, Varreville, Montmirel, Le Mont Egron, Neuville,  Les landes, La Poterie, Houtteville, Bellefontaine, La Vacquerie. Marquis de Saint Christophe, Comtes de Varenne, Barons de Houdenc etc… en Normandie.

-       Titrés barons et marquis de Saint Pierre à la cour de Versailles, sous Louis XIV, en Normandie,  Ile de France (seigneurs de Saint Jean de Bauregard), et Bretagne ( seigneurs de QUINFFIO, KERVIDEN, LE BOIS LA SALLE, PLEGUIEN etc)

les possessions anciennes de la branche ayant donné la lignée ainée agnatique : les Méhérenc de Saint Pierre, seule subsistante en France.

Chapitres IV  : Les Méhérenc de Saint Pierre.[modifier | modifier le code]

Depuis le XVIIème siècle à nos jours.

C’est la branche devenue ainée, issue des Méhérenc de Flottemanville : la seule existante en France et la seule authentique par primogéniture mâle. Il y aurait des Méhérenc en Allemagne et aux Pays Bas, suite aux émigrations protestantes. Les  « branches Canadiennes » sont des descendants par les femmes des Méhérenc de Montmirel au 16ème siècle, parmi bien des familles…


(le protestantisme a été, et reste une religion répandue dans une partie de la famille , et a donné lieu à des immigrations en  Hollande , en Allemagne, et aussi Canada et USA.)


1)      Pierre de Méhérenc, écuyer seigneur, baron de Saint Pierre, chef de nom et d’armes, partage en 1600 la succession de ses parents, Jean sieur de Flottemanville et de Mlle de Marguerye, d’une famille très ancienne aussi. Il porte le titre de chevalier, seigneur et baron de Saint Pierre. Il épouse en 1628 Jehanne du Fau, veuve de Jean d’Espinay, personnage puissant et très riche aussi, qui aurait été chanoine et titulaire de nombreux bénéfices…Pierre de Méhérenc achète en 1641, après avoir habité le château fortifié de Lauzier, le domaine de Quinffio à Inguignel dans le Morbihan, et de grandes terres alentour. Il veut en transformer le manoir en un château fort :  il est vrai que l’époque est troublée….


2)      Son fils Gabriel (1629), est titré seigneur marquis de Saint Pierre, de La Haye, de La Houssaye, et de Quinffio ou Cunffio. Il a été écuyer de la grande écurie, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi. Il était propriétaire du château de Saint-Jean de Beauregard où il résidait, ainsi que dans son hôtel de L'ile Saint-Louis à Paris . il assista aux états généraux de Bretagne en 1655 et fut maintenu dans sa noblesse par le conseil d’état en 1669. Il avait épousé en 1659 Madeleine de Tiercelin de Brosse, fille du marquis de Brosse et de Charlotte d’Auxy-Monceaux. Il fut tué en duel par son voisin Alain de Guer, marquis de Pontcallec en 1675 dans des circonstances étranges et au cours d’une période très troublée , source de légendes et complaintes de Bretagne.


3)     Son fils, Michel-Henry, chevalier seigneur, marquis de Saint Pierre, de Kerivoy et Quinffio, capitaine au régiment Marivaux cavalerie, né à Paris en 1660 épousa Thérèse le Chaponnier, héritière du Bois de la Salle et s’installa en Bretagne.

4)     Jean Michel Auguste de Méhérenc, chevalier, chef de nom et d’armes, seigneur marquis de Saint Pierre résida en sa seigneurerie  du Bois de la Salle et épousa Mlle de la Fonchais et en eut 22 enfants, dit-on, dont 17 au moins sont répertoriés.

5)     Auguste Bonable de Méhérenc, vicomte puis marquis de Saint Pierre, chevalier de Saint-Louis contre-amiral, bienfaiteur public de toute les populations locales durant les famines précèdent la révolution, fut le seul homme à survivre cette révolution, qu’il combattit farouchement, et épousa Anne-Célèste Barbier de Lescoet, fille du marquis et de Mlle de Penancoet de Keroualle-Quillimadec, après les crimes, et horreurs de la révolution. Il ne resta qu’un seul héritier à cette très nombreuse famille.

6)     Auguste Rolland de Méhérenc, marquis de Saint Pierre, à qui son épouse Melle du Mottay donna quatre fils, à l’origine de quatre branches dont trois portent le nom, à ce jour, bien assuré. Ils se marièrent souvent avec des villes familles de l’ouest surtout, et s’établirent en Bretagne et alentours, et, tout en gardant un contact avec Paris, s’y fixèrent au 19ème siècle à l’écart des régimes de l’époque qui déplaisaient, comme bien des anciennes familles élevées, en développant l’agriculture et la foret dans de nombreux domaines fonciers et forestiers restés pour la plupart dans la famille à ce jour.


La famille se distingua, donnant de très courageux et héroïques soldats et officiers durant les guerres, surtout les deux guerres mondiales, la résistance, et la guerre d’Algérie, fidèle en cela à sa devise.

Aujourd’hui on dit « les Saint Pierre », mais le nom Méhérenc, reste utilisé pour les documents officiels, entre autres. Et c’est très bien ainsi. Dommage pour Bouchard !

Chapitre V : Alliances principales par époques.[modifier | modifier le code]

Ce sont les alliances avec des familles constituées et connues, même localement, ayant donné une descendance, masculine ou féminine, porteuse du nom, ainsi que les époux des demoiselles de Saint Pierre. En majuscules, les branches d’ascendance directe des Méhérenc de Saint Pierre actuels.

Ce choix peut être modifiable et n’a pas de critères absolus, et de moins en moins ?. On y rajoute les descendants à la deuxième génération des cousins ayant porté un intérêt particulier à la famille *.

1)     XIII-XVIème siècles :

d’ESCRAMMEVILLE, de THAON, SUHARD du CHASTELIER, de LA HAYE, de MALHERBE (familles Normandes, notoirement d’origine Viking, proches de Rollon), de MAUNY, BESNARD, de Briqueville, de Grosparmy, du Bosc, d’Aigneaux, de Gournay, de Hacquetot, de Cabazac, du Mesnil, etc etc…

2)     XVI- XVIIIème siècles :

ESCAGEUL, de MARGUERYE, du FAU, de TIERCELIN de BROSSE (mère Auxy-Monceaux), LE CHAPONNIER, de KERANGAR KERSAUZON, de MARSILLY, DESCLOS de LA FONCHAIS, du MOTTAY, de Roscollin, de Cacqueray, etc.

3)     XIX ème siècle :

de ROBIEN, de LESPINAY, de MONTIGNY, de MONTBRET, de la NOUE, de Tinguy, de Quelen, de LESTAPIS, ESPIVENT de LA VILLESBOISNET, Catuelan, du BREIL de PONTBRIAND etc.

4)     XXème siècle

Bazin, de Vial*, Brillat-Savarin*, de Menou, de Beauregard, de LA FONCHAIS, de LA SABLIERE, de MAILLARD, HINGANT de SAINT-MAUR, de VITTON de PEYRUIS, de VILLEDIEU, de WAZIERS, BRINCARD, de GASTINES,  HENTSCH, de PANEVINON de MARSAT, de KERJEGU, (de KERANFLEC’H KERNEZNE), de la GUERRANDE, de Chavagnac, de LA MOTTE, de SILGUY, de la BERRURIERE de SAINT LAON, de ROUGÉ, de Poulpiquet etc etc…

5)     XXIème siècle

Chapitre VI : Fiefs et propriétés familiales.[modifier | modifier le code]

Propriétés, demeures et châteaux familiaux marquants du Moyen-âge à nos jours. En majuscules, les possessions toujours entre les mains des Saint Pierre à la fin du 20ème siècle, ou à leurs descendants.

1)     Moyen-âge

-         Manoir fortifié des Tourailles (ex Les Londes) à Trévières (14) transformé en ferme (cour de 5000m2) reprenant l’enceinte d’origine et ses tours, chapelle seigneuriale et vestiges. Il est dans la famille au 14ème siècle. Du manoir fortifié de Méhérenc ou Mesherenc, il était resté des vestiges, avant les bombardements de 1944 contre l’église romane, selon plusieurs sources, dont Laheudrie.

-         Château de Varreville à Maisy (14) quasi intact, mais hélas quasi détruit par les bombardements de 44.

-         Manoir de Flottemanville à Trévières (14). Peu de restes.

-         Manoir fortifié de Montmirel (14) encore habité en partie. Haras.


Ces trois derniers mi-manoirs, mi-châteaux,  étaient des constructions de trois étages flanquées de deux hautes tours de défense asymétriques et protégées par des fortifications etc….Plusieurs autres manoirs fortifiés de ce type ont été construits ou possédés par les nombreuses branches Méhérenc en Normandie.


2)     XVème-XVIIIème siècles

-         Château de Saint Christophe de Chaulieu (61)

-         Manoir et domaine de Quinffio (56)

-         Château de Kerviden (56)

-         Manoir de Flottemanville (14)

-         CHATEAU DU BOIS DE LA SALLE (22)

-         Château de Saint Jean de Beauregard (91) etc….


3)     XIXème-XXème siècles


-         Château de MONDOMAINE (37)

-         CHATEAU DU PALLY (85)

-         MANOIR DE MENEZ KAMP (29)

-         Manoir de l’Aumosne  (Baie du Mont Saint-Michel, 35)

-         CHATEAU ET DOMAINE DE KERANDRAON-GOURNOIS (56)

-         Château de Beaumanoir (22)

-         CHATEAU DE QUELENNEC (22)

-         MANOIR DE KERTUGAL (22)

-         CHATEAU DE BAISNAT (80)

-         Château de Javercy (28)

Etc….

Chapitre VII Personnages marquants.[modifier | modifier le code]

1)   RAOUL BOUCHARD, chevalier tué glorieusement à Bouvines au service du roi Philippe-Auguste, son suzerain direct, en 1214, sous la bannière de Matthieu Bouchard, second baron de Montmorency.

2)   PHILIPPE BOUCHARD, « armiger ? » son fils ou petit-fils, rendit aveu au roi à Tours (village Normand) pour son fief de Méhérent à Trévières.

3)   En 1328, le fils de ce dernier, RAOUL BOUCHARD, Seigneur de Méhérenc à Trévières (Normandie), guerroya au temps de Philippe VI de Valois contre les Flamands dans la vallée de Cassel (Aout 1328) et en fut récompensé. Tout ce qui précède provient de l’ouvrage de l’historien Edmond de Laheudrie (Histoire de Trévières)  avec de nombreuses sources très fiables, des recherches de l’Abbé Guérin et l’Histoire des Gaulles. La famille a été fortement perturbée par la Guerre de Cent Ans, puis les Guerres de Religion mais à résisté. Elle a souvent tenté de rester à l’écart des conflits et divergences (avec raison) et a maintenu son rang.

4)   ADRIEN DE MEHERENC Sieur de la Conseillère, théologien protestant exilé à Hambourg qui a beaucoup inquiété le pouvoir monarchique de devenu catholique .

5)   Plusieurs chevaliers de l’Ordre de Malte aux 16ème et 17ème siècles, membres de la cour du roi, où une partie de la famille a résidé ou a été habituée durant plus de deux siècles (XVIIè-XIXè).

6)   PIERRE DE MEHERENC Chevalier ou écuyer, dit LE BARON DE SAINT PIERRE, de la branche de Flottemanville s’installa en Bretagne par mariage avec Jeanne du Fau, « veuve » de Jean d’Espinay, et y acheta le domaine de Quinffio qu’il voulait transformer en forteresse en 1641 ! 7)   Son fils GABRIEL de MEHERENC DE SAINT PIERRE, né en 1629, chevalier seigneur, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, homme de cour, titré MARQUIS DE SAINT PIERRE, épousa Madeleine de Tiercelin de Brosse, fille de Geoffroy de Tiercelin, marquis de Brosse, chevalier de Saint Michel, et de Charlotte d’Auxy-Monceaux, habitait la château de Saint Jean de Beauregard, proche de Versailles. Il fut tué en duel, par le marquis de Pontcallec, probablement en raison de sa parenté et de sa proximité avec le duc de Chaulnes, gouverneur de la Bretagne en 1675 au moment de la révolte des bonnets rouges….

7)   Son fils GABRIEL de MEHERENC DE SAINT PIERRE, né en 1629, chevalier seigneur, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, homme de cour, titré MARQUIS DE SAINT PIERRE, épousa Madeleine de Tiercelin de Brosse, fille de Geoffroy de Tiercelin, marquis de Brosse, chevalier de Saint Michel, et de Charlotte d’Auxy-Monceaux, habitait la château de Saint Jean de Beauregard, proche de Versailles. Il fut tué en duel, par le marquis de Pontcallec, probablement en raison de sa parenté et de sa proximité avec le duc de Chaulnes, gouverneur de la Bretagne en 1675 au moment de la révolte des bonnets rouges….

8)   HENRY JOSEPH, né en 1717, chevalier de Saint Pierre, capitaine général, lieutenant des maréchaux, chevalier de Saint Louis.

9)   RENE AUGUSTE ANICET titré comte de Saint Pierre, capitaine de Vaisseaux du roi, commandant de plusieurs vaisseaux célèbres, tué à la bataille de Quiberon en 1795 à la tête de 900 Chouans, enterré à la Chartreuse d’Auray. Martyr de la révolution.

10) AUGUSTE HENRI, né en 1742, vicomte de Saint Pierre, cousin du précédent, capitaine commandant au Conti Dragons, admis aux honneurs de la cour, chevalier de Saint Louis, fusillé lâchement à Auray en 1795 comme immigré, après la bataille de Quiberon….martyr de la révolution. Enterré à la Chartreuse  d’Auray.

11) AUGUSTE BONABLE, frère ainé du précédent, chevalier marquis de Saint Pierre, seigneur du Bois de la Salle et de Pléguien, capitaine des vaisseaux du roi, ayant participé à de multiples batailles navales célèbres (Ouessant), et à la Guerre d’Indépendance Américaine (batailles de Savannah, Chesapeake etc) puis nommé Amiral sous la restauration. Chevalier de Cincinnatus et ami de Washington. Membre de l’état-major à la bataille de Quiberon. Réfugié à Jersey pendant la révolution et bienfaiteur public sous la restauration.

12) JOSEPH MARIE, ecclésiastique et personnage étrange, fils de René Auguste Anicet, abbé de cour, vicaire général de Chartres à 28 ans et réapparu après la révolution comme aumônier général des écoles militaires sous Napoléon…..

13) GENEVIEVE dite VEFA de SAINT PIERRE, forte personnalité, assez excentrique : exploratrice (USA, Canada), druidesse, femme de lettre, religieuse, chasseresse, journaliste, objet d’un livre à succès et faisant partie du patrimoine culturel Breton. Reçue à diner à la Maison Blanche par Théodore Roosevelt. Etc, car  du 19ème siècle jusqu’à la Première Guerre Mondiale et ensuite la famille à été à sa hauteur dans les armes, les guerres, l’agriculture, la politique locale, la forêt et le développement régional, et mériterait aussi d’être cité ….

Chapitre VIII : La famille au XXIe siècle.[modifier | modifier le code]

En 2020 la famille de Méhérenc de Saint Pierre est composée de plus de trente porteurs du nom pouvant le transmettre selon les règles habituelles, et le nom authentique semble assuré, après avoir connu des périodes très hautes au Moyen-âge et la menace d’extinction  au début du 19ème siècle ,une seule personne , Auguste Rolland ( fils de l'amiral ) qui a eu quatre fils.

La famille, très active, réside toujours principalement dans le quart Nord-Ouest de la France dont Paris, mais à contracté des alliances internationales (Europe, Amériques). L’attache en Bretagne est encore forte et les résidences nombreuses.

En dehors des activités traditionnelles (foret, agriculture, clergé, 3 armées, protection des patrimoines) toujours présentes, la famille s’est diversifiée dans des secteurs plus récents dont le tourisme, l’immobilier, la haute banque, la mode, l’industrie, l'action sociale et la protection de la nature, etc…et manifeste une forte énergie pour relier le futur aux traditions avec discrétion. Il a été constitué une association qui à été très efficace. L’esprit de famille est resté très présent car soutenu par la branche ainée.

Chapitre IX : Bibliographie, sources[modifier | modifier le code]

1)     Archives :

-       Archives Nationales de Paris

-       Archives de la Marine à Vincennes

-       Archives de Normandie à Caen

-       Archives de Saint-Brieuc,

-       Archives de l'ANF


2) Ouvrages Généraux :

-   recherche de Montfaut 1463

-    Catalogue des Gentilshommes de France - Laroque et Barthélémy

-       Grand Armorial de France - Jougla de Morenas

-       La Noblesse Française Subsistante – Régis Valette

-       Filiations Bretonnes - La Messelière

-       Armorial de Cincinnati

-       Catalogue de La Noblesse Française- Seréville et Saint-Simon

-       Bottin Mondain

-   Dictionnaire de la Noblesse de France – La Chesnaye-desbois


3)     Recherches Personnelles :

    -  Manuscrit de 1784 adressé par la famille à Chérin

    -  Recherches du Cte Alphonse de Méhérenc de Saint Pierre

    -  Recherches du Cte Régis de Méhérenc de Saint Pierre (Recherches d'archives, Généalogies,articles, création d'Association familiale etc...

- Recherches et traitements d'archives par Monsieur Jean-Claude le Bloas (ami de la famille)

    -  Recherches et activités de divers membres de la famille :

-  Yann, marquis de Saint Pierre

-   Mme Nicole Brillat-Savarin

-    Arnaud de Vial

-   Cte Hubert de Saint Pierre


4)     Livres :

  - Véfa de Saint Pierre : Une amazone Bretonne- Claire Arlaux

  - Pontcallec- Pierre de la Condamine

  -  Trévières- Edmond de Laheudrie

  -  L'aventure des Normands – François Neveux

  -  Les Origines Franques – Stéphane Lebeq

  - Le Bessin – Société Historique de Trévières (six tomes).

- Thèse universitaire de Isabelle Touze 2012 Noblesse protestante base Normandie de 1520 à l'édit de Nantes

- Thèse universitaire Sorbonne -Paris 2017,Veronique Petit-Bancquart, Protestantisme Nobiliaire bas-normand dans la tourmente (1661-1787, généralité de Caen)

Extrait de l’armorial du Mortainais par Pitard

Château du Bois de la Salle 2021
Château du Bois de la Salle 2021
château du Bois de la Salle gravure 17ème siècle