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Au début de la Grande Guerre, La France mobilise tous les hommes aptes au combat, mais certains d'entre eux vont ignorer les combats contre l'Empire Allemand. Ils vont faire des profits de cette guerre, ou bien laisser les autres se faire tuer à leur place en allant à "l'arrière". Plusieurs termes sont utilisés pour nommer ces indignes "profiteurs de guerre" ou encore "embusqués".

L'origine des expressions[modifier | modifier le code]

Les embusqués[modifier | modifier le code]

Au début de la Première Guerre mondiale, la France mobilise tous les hommes sauf quelques uns qui profitent de la guerre. La grosse partie de la population subissait des sacrifices, exposait leur vie à la guerre, les soldats ne pouvaient pas voir leur famille et ils mangeaient peu.

Mais une minorité a profité de cette guerre, économiquement ou politiquement, et s'est enrichie pendant les années de la Grande guerre.

Ces hommes sont des traîtres de la société française, on les appelle les embusqués.

Les embusqués préfèrent éviter la Grande Guerre afin de ne pas se soumettre aux directives de l'Etat et les balles qui pourraient les toucher, la boue, le froid, et tous ces défauts de la Guerre.

Les combattants embusqués cherchent à s'embusquer c'est une stratégie pour éviter le danger.


je crée une note de bas de page.[1]

les profiteurs de guerres[modifier | modifier le code]

Les profits ont marqué l’époque de la Grande Guerre, puisqu’aux « Poilus » qui n’hésitaient pas à faire le sacrifice de leur vie étaient opposés par une rumeur très insistante les « planqués de l’arrière » qui s’enrichissaient sur leur dos... Cette rhétorique extrêmement violente a rencontré un immense écho parmi les troupes et la population civile[réf. souhaitée], au point de persister bien après le date de la fin de la Guerre, et surtout d’amener à s’interroger sur la solidité de la nation et l'honneur de la patrie face à l’adversité.

En ces temps de guerre et de sacrifice de sa vie il n’est pas question, pour beaucoup, que certains engrangent des bénéfices. Les militaires énoncent des revendications, demandent des comptes, prennent conscience de leur « supériorité virile » sur « ceux de l’arrière »[réf. souhaitée]. C’est ainsi que les soldats des tranchées accablent les petits commerçants et aux intermédiaires situés à proximité du front (outre de porter leur haine sur ceux restés « à l’arrière »), comme en témoigne cet échange du roman de Barbusse, Le Feu : « - On voit que vous n’risquez pas vot’argent, vous. - Non, nous ne risquons que not’peau. »[réf. nécessaire] A l’arrière, justement, la vie est devenue chère, le rationnement s’est imposé, à l’origine d’un ressentiment contre ces mêmes « profiteurs de guerre », ces riches, anciens ou nouveaux, qui étalent leur puissance dans l’atmosphère festive des boîtes privées et des grands restaurants, souvent dénoncés, toujours impunis - car ils ont des appuis au gouvernement, et au Parlement[réf. souhaitée]. La presse, la littérature, le théâtre s’emparent du sujet, répercutent la rumeur à ce moment là, la population française connaît les infamités[Quoi ?] des profiteurs de guerre, ainsi elle sera à dos de ces mêmes profiteurs et du gouvernement.

Les véritables profiteurs ont « joui des circonstances pour s’enrichir entre 1914 et 1918 »[À attribuer], par fraudes diverses, dissimulations, et mensonges. « Si les archives révèlent la nature infondée des accusations, on peut parler de faux profiteur. »[À attribuer] Ceux qui ont profité du conflit sans faire l’objet de dénonciations écrites peuvent se voir qualifiés de « profitants », de bonne ou mauvaise foi, sans preuve mais avec de réelles soupçons.

comment la guerre était elle évitée par les embusqués ?[modifier | modifier le code]

L'embuscage est une statégie afin d'éviter le danger.L'embusqué s'engage dans la guerre par peur des critiques qui s'abbateront sur lui, mais dès l'arrivée sur le front l'embusqué trouve quelques moyens pour se protéger. Les différentes catégories d'embusqués sont:

-Le "filon" ,il profite de quelques avantages tels que le matériel ou des moments de compensation. Cela lui permet de se reposé encore.

-Une autre catégorie d'embusqué vise à obtenir une sortie plus ou moins temporaire du front car étant en temps de guerre les soldats ont besoin de souffler mais les permissions sont assez rares voir inexistantes ce qui pousse les combattants à de telles actes. Les soldats tentent des stages d'instruction ou encore ils sollicitent des permissions agrigoles. Ces retours temporaires à l'arrière ne sont pas annodins, ils sont encadrés par des procédures très complexes, le soldat doit prouver ses compétences professionelles auprès de sa hiérarchie militaire et,en même temps,être demandé par le sevice de l'arrière qu'il souhaite rejoindre. Le rêve de tous soldats du front c'est la "bonne blessure", celle qui permet d'être invalide et d'être évacué vers un hôpital pendant une période indéterminée.Parfois les soldats se font cette bonne blessure seul( ils se coupent un doigt de la main ou du pied), ou s'inventent des maladies ou encore la folie. Les soldats arrivant à sortir de la zone de combat, apportent beaucoup de soin (ou plûtot de négligence) à entretenir leur blessure qui retarde la guérison et diffère le retour au front.

-Et enfin la dernière catégorie est celle qui consiste à occuper de manière permanente des postes de l'intérieur( bureaux...). De même pour avoir des positions dans les bureaux par exemple il faut que le soldat passe devant une commission spéciale de réforme qui lui donne l'accès ou non aux postes d'intérieurs

La vision de La France[modifier | modifier le code]

Le peuple[modifier | modifier le code]

Un embusqué accepte d'aller au front temporairement sous certaine,dès leur retour vers l'arrière, l'embuqué négocie une citation ou encore une médaille, afin de prouver à sa famille,à la société et à sa nation qu'il a eu des actes de bravoure et qu'ils aient le sentiment du devoir accompli.

Mais le phénomène d'embusqué a suscité un scandale considérabe dans l'opinion publique. Pendant la Guerre, les Allemands ou encore les espions sont les véritables ennemis des français,ce qui n'est pas toujours évident pour le peuple, l'embusqué a une image négative avec aucune valeur, a contrario du "poilu" ou de la "marraine de guerre". Pour la nation,une caricature se créee: c'est un traître,un lâche,un simulateur et un imposteur qui voudrait ressembler à son homolgue poilu mais qui usurpe ces quelques points de valeurs afin de passer pour un héros.

Les médias[modifier | modifier le code]

Les journaux du front s'y mettent aussi et critique l'embusqué pour sa déloyauté,sa débilité physique et par son manque de pilosité (ce qui fait en autre partie des symboles des "poilus") Ces mêmes "poilu" savent très bien qu'ils ont une grande estime car il y a les embusqués. Pour ne pas confondre les héros des lâches, les combattants ont retenu trois critères pour les distinguer des embusqués:

-La distance par rapport au front

-l'exposition au danger

-et la durée de présence au front

L'infanterie est dans la hiérarchie d'armes où il y a eu le plus de perte (23% de pertes, 4% dans l'artillerie) Et encore en dessous les "embusqués du front" sont gatés car ils profitent de tous les avantages honorifiques de la vie d'avant sans connaître la terrible vie du combat des tranchées. Dans ces tranchées, "embusqué" devient même une insulte, et une célèbre phrase en est sortie des rangs des combatttants: " On est toujours l'embusqué de quelqu'un"

La politique[modifier | modifier le code]

L'Etat français va s'emmêler dans l'affaire des embusqués avec une création d'une ligue des droits de l'homme contre les embusqués pour "une égalité devant le péril militaire". Une pression supplémentaire va atteindre les embusqués celle, en novembre 1915, de la création de la Ligue nationale contre les embusqués dont les objectifs sont de réaliser l'égalité de tous les citoyens devant l'impôt du sang. Georges Clemenceau le président de la république de l'époque s'investit beaucoup et lance en 1915 la "grande embuscade nationale": c'est un carnet des embusqués qui dénonce tous les méfaits de l'embuscage. Puis à Paris la police découvre un réseau d'mebuscage qui a profité à plusieurs soldats, un médecin propose contre une somme d'argent une hospitalisation directe pour prolonger la permission, la convalescence ou encore une réforme à la commision spéciale de ce même médecin. L'embuscomanie provoque dans les camps politiques opposés des insinuations réciporoque que le camps opposé abriterait des embusqués. Elle provoque aussi des bagarres dans les rues entre ceux en permissions et et les mobilisés, voir pire elle est aussi un accélarateur des mutineries.

L'Etat français ayant propagé des circulaires ministérielle les retours à l'arrière deviennent rares ou très dur d'accessibilité, il a supprimé des postes militairesen superflux ou alors à remplacé tous ceux de l'arrière par des femmes, des vieillards ou encore des mutilés. Grâce à des lois d'homme politique(Dalviez et Mourier), les mobilisés de l'intérieur sont remplacés à l'arrière afin de sevir dans la zone des armées ou le front.Après les lois Dalbiez 350000 hommes sont récupérés de l'arrière et 27500 (l'équivalent de deux divisions d'infanterie) après celle de Mourier. Le gouvernement de Clemenceau apparaît comme le plus déterminé dans cette "chasse aux embusqué"

D'autres modèles[modifier | modifier le code]

Le mode britannique[modifier | modifier le code]

En Angleterre, afin que tous les hommes partent au combat, l'amiral Charles Penrose Fitzgerald créa une "chasse aux flemmards": Il incita les femmes à remttrent aux hommes des plumes blanches symbole de honte, de lâcheté et d'anti-patriotisme. Et d'après des enquêtes les plumes étaient courantes à la sortie des stades et dans les ports, elles traumatisaient beaucoup l'homme qui l'a reçevait. Pour l'Angleterre, Les femmes sont donc représentées comme les gardiennes de l'honneur masculin,associé au courage militaire.

La vision belge[modifier | modifier le code]

L’enrichissement des profiteurs de guerre est une trahison envers la souffrance commune du peuple belge car ce sont les sacrifices consentis par « tous » les « vrais » Belges pendant l’occupation qui ont fait l’héroïsme de ce peuple.Cette catégorie est la plus importante. Elle est constituée de petits commerçants, bouchers, cafetiers, etc., mais aussi de chef d’entreprises et d’industriels plus ou moins importants.C'est bien contre ces enrichis de guerre que les journaux et les citoyens francophones s’acharnent le plus, parce qu’on craint qu’ils n’échappent à la justice. Le retentissement de l’affaire Coppée auprès de l’opinion publique en témoigne. Évence Coppée, grand patron de charbon­nages, avait laissé tourner ses usines avec l’accord du gouvernement belge, afin que la population ne meure pas de froid. Mais cela signifiait de facto que l’occupant prélèverait une partie de la production. En 1924, après cinq ans de batailles judiciaires, Coppée est finalement blanchi.Aux yeux du peuple il restera non seulement coupable, mais deviendra le symbole d’une justice plus sévère envers les petits qu’envers les grands. La Belgique a donc un vision proche de la France mais fera moins de bruit que les profiteurs français.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. la voici

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

http://www.histobiblio.com/Les-profiteurs-de-guerre.html

http://www.histoire-politique.fr/index.php?numero=03&rub=dossier&item=24

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Emmanuelle Crosnier ,Extrait du "Dictionnaire de la Grande Guerre",sous la direction de Jeans yves Le Naour ,larousse 2008 paris
  • Charles Ridel , "La chasse aux embusqués" dans l'histoire n°325 novembre 2007