Aller au contenu

Tunnel de Saint-Martin-d'Estréaux

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Martin-d'Estréaux
Géographie
Pays France
Commune Saint-Martin-d'Estréaux
Itinéraire ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache
Altitude 418 m
Coordonnées 46° 12′ 43″ nord, 3° 47′ 47″ est
Exploitation
Exploitant Société nationale des chemins de fer français (SNCF)
Trafic ferroviaire
Caractéristiques techniques
Longueur du tunnel 1380 m
Nombre de tubes 1
Nombre de voies par tube 2
Construction
Début des travaux 1852
Fin des travaux 1857
Géolocalisation sur la carte : Loire
(Voir situation sur carte : Loire)
Saint-Martin-d'Estréaux
localisation

Le tunnel de Saint-Martin-d'Estréaux, est un tunnel ferroviaire de la ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache. Il est situé sur le territoire de la commune de Saint-Martin-d'Estréaux, dans le département de la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Situation ferroviaire

[modifier | modifier le code]

Établie à une altitude moyenne de 418 mètres et long 1 383 mètres, le tunnel de Saint-Martin-d'Estréaux est située au point kilométrique (PK) 386,400 de la ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache, entre la halte de Saint-Pierre-Laval (fermée) et la gare de Saint-Martin - Sail-les-Bains (fermée)[1].

Le tunnel est rénové en 2014-2016, pour permettre une circulation à 110 km/h[2].

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Reinhard Douté, Les 400 profils de lignes voyageurs du réseau ferré français, vol. 2 : lignes 601 à 990, Paris, La Vie du rail, , 239 p. (ISBN 978-2-918758-44-0), « [750/3] Moulins - Roanne », p. 96.
  2. « Le tunnel de Saint-Martin-d’Estréaux rénové », Le Pays,‎ (lire en ligne, consulté le ).

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • James Ladame, Chemin de fer de Calais à Milan, ligne directe par Belfort, Berne, la Gemmi et le Simplon.... Les Grands tunnels des Alpes et du Jura, Paris, Ladame, , 293 p. (lire en ligne), Tunnels exceptionnels de la France, chap. 1 (« Tunnels de Saint-Martin-d'Estréaux »), p. 144-149.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]