Santiago Zannou
Santiago Zannou connu sous le nom de Santiago Ahuanojinou Zannou né en 1977 à Madrid, est un réalisateur espagnol.
Biographie[modifier | modifier le code]
Enfance et études[modifier | modifier le code]
Santiago Ahuanojinou Zannou, est né en 1977 à Madrid d'un père béninois et d'une mère espagnole[1]. Il passe son adolescence à Majorque. Sa vocation pour le cinéma s'est révélée lorsque son frère aîné a travaillé sur la musique d'un court-métrage[2]. Il étudie au Centre d'études cinématographiques de Catalogne (CECC) (es) à Barcelone[1],[3],[4].
Carrière[modifier | modifier le code]
Après qu'il rencontre Juan Manuel Montilla, un rappeur madrilène, au cours d'un voyage à Madrid, Santiago décide d'écrire son premier long métrage intitulé "El truco del manco" sortie en 2008, pour lequel il remporte le prix du meilleur nouveau réalisateur lors de la 23ᵉ édition des Goyas[5]. Il avait déjà réalisé deux courts métrages dont : Cara sucia en 2004, pour lequel il est nommé dans la meilleure catégorie court métrage de fiction aux Goya, et Mercancías en 2005[6],[7].
Filmographie[modifier | modifier le code]
2011 : La puerta de no retorno
2009 : El alma de la Roja
2005 : Mercancías
2004 : Cara sucia
Distinctions[modifier | modifier le code]
2009 : Prix Goya du meilleur nouveau réalisateur
Références[modifier | modifier le code]
- « Personnes | Africultures : Zannou Santiago A. », sur Africultures (consulté le )
- BackOffice Lilabox, « La Porte du non retour (La puerta de no retorno) », sur Le Cinematographe (consulté le )
- (es) « Santiago Zannou », sur El Español, (consulté le )
- (es) Elsa Fernández-Santos, « Una nueva vida para Zannou y Langui », El País, (ISSN 1134-6582, lire en ligne, consulté le )
- (es) lainformacion.com, « Santiago Zannou recorre la historia de la selección en ”El alma de la roja” », sur La Información, (consulté le )
- « Santiago Zannou : un rôle à jouer - Jeune Afrique.com », sur JeuneAfrique.com (consulté le )
- « Cinéma africain : le Bénin bien présent au Fespaco 2013 », sur aCotonou.com (consulté le )
