Voir la source de Physique

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{{Infobox Discipline}}

La '''physique''' est la [[science]] qui essaie de comprendre, de [[Modélisation|modéliser]] et d'expliquer les [[Phénomène physique|phénomènes naturels]] de l'[[Univers]]. Elle correspond à l'étude du monde qui nous entoure sous toutes ses formes, des lois de ses variations et de leur évolution.

La physique développe des [[Modèle|représentations du monde]] expérimentalement vérifiables dans un domaine de définition donné. Elle produit plusieurs lectures du monde, chacune n'étant considérée comme précise que jusqu'à un certain point. La modélisation des [[Système physique|systèmes physiques]] peut inclure ou non les processus [[Chimie|chimiques]] et [[Biologie|biologiques]].

La physique telle que conceptualisée par [[Isaac Newton]], aujourd’hui dénommée [[physique classique]], butait sur l'explication de phénomènes naturels comme le rayonnement du [[corps noir]] ([[catastrophe ultraviolette]]) ou les [[Tests expérimentaux de la relativité générale#Avance du périhélie de Mercure|anomalies de l’orbite de la planète Mercure]], ce qui posait un réel problème aux [[physicien]]s. Les tentatives effectuées pour comprendre et modéliser les phénomènes nouveaux auxquels on accédait à la fin du {{s-|XIX}} révisèrent en profondeur le modèle newtonien pour donner naissance à deux nouveaux ensembles de théories physiques. Il existe donc aujourd'hui trois ensembles de théories physiques établies, chacun valide dans le domaine d’applications qui lui est propre :
* la [[physique classique]] ([[Mécanique des milieux continus|milieux solides, liquides et gazeux]]), toujours d'actualité, s’applique, par exemple, à la construction des immeubles, des centrales électriques et des avions. Elle utilise les anciennes notions de [[Temps (physique)|temps]], d'[[Espace (notion)|espace]], de [[matière]] et d'[[Énergie (physique)|énergie]] telles que définies par Newton ;
* la [[physique quantique]] (monde microscopique des particules et des champs) s’applique, par exemple, à la technologie utilisée pour la production des composants électroniques (la [[diode à effet tunnel]] par exemple) ou aux [[laser]]s. Elle se fonde sur de nouvelles définitions de l'énergie et de la matière, mais conserve les anciennes notions de temps et d'espace de la physique classique. La physique quantique n'a jamais été prise en défaut à ce jour ;
* la [[relativité générale]] (monde macroscopique [[Astrophysique|des planètes, des trous noirs et de la gravité]]) s’applique, par exemple, à la mise au point et au traitement de l'information nécessaire au fonctionnement des systèmes [[Global Positioning System|GPS]]. Elle se fonde sur de nouvelles définitions du temps et de l'espace, mais conserve les anciennes notions d'énergie et de matière de la physique classique, ces deux dernières étant contredites par la physique quantique. La relativité générale n'a jamais été prise en défaut à ce jour {{Note|groupe=Note|texte=[[Yvonne Choquet-Bruhat]] a apporté la première preuve mathématique de l'existence de solutions aux [[Équation d'Einstein|équations d'Einstein]]. Ses travaux sont utilisés pour les [[Observatoire d'ondes gravitationnelles|détecteurs d'ondes gravitationnelles]].}}.

La physique classique, fondée sur des théories antérieures à la relativité et aux [[Théorie des quanta|quanta]], reste correcte quand :
* la discontinuité des niveaux d'énergie ne se manifeste pas de façon quantitativement significative ;
* les [[vitesse]]s sont très inférieures à la [[vitesse de la lumière]] dans le [[vide (physique)|vide]] ;
* le [[champ gravitationnel]] est suffisamment peu intense.
Elle doit être remplacée par la physique quantique quand la première condition n'est pas remplie (par la [[Mécanique quantique relativiste|physique quantique relativiste]] quand la deuxième ne l'est pas non plus). Elle doit être remplacée par la [[relativité restreinte]] quand seule la deuxième condition n'est pas remplie, et par la relativité générale quand la troisième ne l'est pas. Il n'existe actuellement aucune théorie physique aboutie s'appliquant aux situations où la première et la troisième conditions ne sont pas remplies ([[gravité quantique]]), mais de telles situations ne se produisent pas dans la pratique et sont même actuellement hors de portée de l'expérimentation.

La physique classique est en continuité avec la relativité restreinte (elle en est un cas particulier pour les vitesses faibles devant la vitesse de la lumière), avec la relativité générale (elle en est un cas particulier pour les champs gravitationnels suffisamment peu intenses) et avec la physique quantique (elle en est un cas particulier quand la discontinuité des niveaux d'énergie peut être négligée), mais on sait que la relativité générale et la physique quantique sont contradictoires. Leur remplacement par une théorie cohérente est aujourd'hui le principal problème de la [[physique théorique]], par souci de cohérence logique et parce que la première et la troisième conditions ne sont pas remplies dans l'[[Univers primordial]] ([[Big Bang]]) ni à proximité d'un [[trou noir]].

Les divisions anciennes en vigueur à la fin du {{s-|XIX}} : [[mécanique (science)|mécanique]], [[Théorie du calorique|calorique]], [[acoustique]], [[optique]], [[électricité]], [[magnétisme]] sont complétées ou remplacées par : 
* la taille des éléments de structure au centre de la modélisation : [[Particule élémentaire|particules élémentaires]], [[Noyau atomique|noyaux atomiques]], [[atome]]s, [[molécule]]s, [[macromolécule]]s ou [[polymère]]s, grains de matière… ;
* les caractères des interactions à l'origine des [[Phase (thermodynamique)|phases]] ou [[État de la matière|états]] de la matière : [[État plasma|plasma]], [[fluide supercritique]], [[gaz]], [[liquide]], [[État solide|solide]].

La physique est née avec les expériences répétées de [[Galilée (savant)|Galilée]] qui n'accepte, au-delà des principes et des conventions issus des schémas mathématiques, que des résultats [[métrologie|mesurables]] et [[Reproductibilité|reproductibles]] par l'[[méthode expérimentale|expérience]]. La méthode choisie permet de confirmer ou d'infirmer les [[hypothèse]]s fondées sur une [[théorie]] donnée. Elle décrit de façon quantitative et modélise les êtres fondamentaux présents dans l'Univers, cherche à décrire le mouvement par les [[force (physique)|forces]] qui s'y exercent et leurs effets. Elle développe des théories en utilisant l'outil des [[mathématiques]] pour décrire et prévoir l'évolution de systèmes.

{{Sommaire|niveau=2}}

== Terminologie ==
Le terme ''physique'' vient du [[grec ancien|grec]] {{grec ancien|φυσική}} / {{Lang|grc-latn|physikế}} adopté dans le monde gréco-romain, signifiant « connaissance de la nature ». En [[latin]], la ''physika'' ou ''physica'' gréco-romaine est étymologiquement ce qui se rapporte à la nature ou précisément le savoir harmonieux et cyclique sur la [[nature]] dénommée {{grec ancien|φύσις|[[phusis]]}}. Dans un sens général et ancien, la physique désigne la connaissance de la nature qui se perpétue en restant essentiellement la même avec le retour des saisons ou des générations vivantes. L'ouvrage ''Physica'' d'[[Aristote]] (384-322 {{av JC}})<ref>{{latin|In Aristotelis Physica commentaria}}.</ref> reprend cette terminologie.

Le terme ancien est perpétué par la tradition de la philosophie antique. Selon [[Platon]]{{référence nécessaire}}<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Stéphane Marchand |titre=Éditorial |url=https://www.cairn.info/revue-cahiers-philosophiques-2017-4-page-5.htm |site=Cairn.info |date=13 Mars 2018 |consulté le=14 Janvier 2022}}.</ref>, la physique est l'une des trois parties de l'enseignement de la [[philosophie]], aux côtés de l'[[éthique]] et de la [[logique]]. Selon son élève [[Aristote]], la philosophie se divise en [[théorie|philosophie théorétique]], [[philosophie pratique]] et [[Poétique (Aristote)|philosophie poétique]] ; la physique est une des trois parties de la philosophie théorétique, aux côtés des [[mathématiques]] et de la [[théologie]]. Quand Aristote écrit un livre sur ''[[Physique (Aristote)|La Physique]]'', ce qui échappe à la triple catégorisation et ne peut être catalogué dans la physique est dévolu à la [[métaphysique]], c'est-à-dire, au sens étymologique, à ce qui va au-delà de la physique.

Au {{s-|XII}}, le mot savant physique est attesté en [[ancien français]] sous la double forme ''fusique'' dès 1130 ou ''fisique''. Il a un double sens : 
* la [[médecine]] se nomme ''fusique''. Son praticien, un médecin ou autrefois un apothicaire, est dénommé ''fisicien'' dès 1155. En anglais le terme subsiste avec la graphie savante : ''a physician''.
* la ''fisique'' est aussi la connaissance des choses de la nature. Le praticien ne soigne-t-il pas avec les dons de la nature, les herbes et les plantes, les substances minérales, animales ou végétales ?

À la fin du ''quattrocento'' ({{s-|XV}}), il apparaît en tant qu'adjectif. Loys Garbin le cite dans son vocabulaire latin-français publié à Genève en 1487, où il désigne « ce qui se rapporte à la nature » mais le substantif s'affirme comme ''science des choses naturelles''. L'adjectif reste d'emploi rare avant le {{s-|XVII}}. Le mot physique désigne alors les « connaissances concernant les causes naturelles » , son étude apporte l'expression « [[philosophie naturelle]] » selon un corpus universitaire gardé par [[Isaac Newton]], auteur des ''[[philosophiae naturalis principia mathematica|principes mathématiques de philosophie naturelle]]''. C'est le sens de [[René Descartes]] et de ses élèves [[Jacques Rohault]] et [[Sylvain Leroy|Régis]]<ref>Selon ''[[Dictionnaire de la langue française|Le Littré]]''.</ref>. Elle correspond alors aux [[sciences naturelles]] ou encore à la [[philosophie naturelle]].

Des chaires de philosophie naturelle sont établies dans certaines [[université]]s, notamment au Royaume-Uni (Oxford, Édimbourg, etc.). À Paris, on compte par exemple une chaire de philosophie naturelle au [[collège de Clermont]], occupée notamment par [[Ignace-Gaston Pardies]]. [[James Clerk Maxwell|Maxwell]] occupe quelque temps une semblable chaire à Édimbourg où l'enseignement reste un fourre-tout indigeste.

Au {{s-|XVIII}}, la physique désigne clairement en français la science expérimentale.

La signification ancienne de cette physique ne convient plus aux actuelles [[Sciences exactes|sciences dites « exactes »]] que sont la physique, la chimie et la biologie, cette dernière étant la plus tardive héritière directe des sciences naturelles<ref group="Note">En français, l'expression « sciences naturelles » a une signification plus restreinte qu'en anglais ou en allemand, langues dans lesquelles elle a gardé son sens plus général englobant la physique actuelle et la chimie.</ref>.

== Histoire ==
{{Article détaillé|Histoire de la physique}}

=== Antiquité ===
{{Article détaillé|Histoire de la physique#Antiquité}}

{{...}}

=== Moyen Âge ===
{{Article détaillé|Histoire de la physique#Moyen Âge}}

{{...}}

=== Époque moderne ===

[[Fichier:Galileo.arp.300pix.jpg|thumb|Portrait de [[Galilée (savant)|Galileo Galilei]] par [[Giusto Sustermans]] en 1636.]]

Le mot physique prend son [[Sens (linguistique)|sens]] moderne, plus restreint que le sens originel, au début du {{s-|XVII}} avec [[Galilée (savant)|Galilée]]. Selon lui, les lois de la nature s'écrivent en langage [[mathématique]]. Il découvre plusieurs lois, comme l'inertie et la relativité des vitesses qui contredisent le sens commun.

L'élève de Galilée, [[Evangelista Torricelli]], montre que la science ne se contente pas de calculer des trajectoires balistiques, mais elle peut aussi expliquer des phénomènes singuliers qu'on lui soumet et mettre au point des techniques. Les fontainiers de [[Florence]] ne parvenaient pas à hisser par une seule puissante pompe aspirante l'eau de l'[[Arno (fleuve)|Arno]] à des hauteurs dépassant trente-deux pieds, soit une dizaine de mètres. Torricelli, consulté par ses maîtres artisans dépités, constate avec eux le fait troublant, mais en procédant par expérience, il découvre le vide et détermine les capacités maximales d'élévation d'une batterie de pompes.

À l'[[Ancienne université de Paris|université de Paris]], l'[[aristotélisme]] fournit un classement des natures et causes des phénomènes observés, et ordonne la Nature de manière rigoureuse dans les cours de philosophie naturelle jusque dans les années 1690, à partir desquelles il est progressivement remplacé par un [[cartésianisme]] sophistiqué, notamment grâce à l'ouverture du [[collège des Quatre-Nations]] et les cours d'[[Edme Pourchot]].

Les pionniers de la modélisation scientifique parmi lesquels le Français [[René Descartes|Descartes]] et plusieurs expérimentateurs des Pays-Bas ou d'Angleterre contribuent à diffuser les bases de la physique mathématisée qui atteint son apogée en Angleterre avec [[Isaac Newton]].

Dans la première édition du ''[[Dictionnaire de l'Académie française]]'', datant de 1694, le nom « physique » est désigné comme la « science qui a pour objet la connaissance des choses naturelles, ex : ''La physique fait partie de la philosophie'';''la physique est nécessaire à un médecin'' ». L'adjectif « physique » est défini, en outre, comme signifiant « naturel, ex : ''l'impossibilité physique s'oppose à l'impossibilité morale'' ». Ce n'est que dans sa sixième édition (1832-1835) que le sens moderne de « physique » apparaît, le terme est défini comme la « science qui a pour objet les propriétés accidentelles ou permanentes des corps matériels, lorsqu'on les étudie sans les décomposer chimiquement. ». Enfin dans sa huitième édition (1932-1935), la physique est définie comme la « science qui observe et groupe les phénomènes du monde matériel, en vue de dégager les lois qui les régissent.»

''[[Dictionnaire de la langue française|Le Littré]]'' donne des définitions apparemment précises. En tant qu'adjectif, il définit les phénomènes physiques comme « ceux qui ont lieu entre les corps visibles, à des distances appréciables, et qui n'en changent pas les caractères » et les propriétés physiques, comme « qualités naturelles des corps qui sont perceptibles aux sens, telles que l'état solide ou gazeux, la forme, la couleur, l'odeur, la saveur, la densité, etc. ». Les sciences physiques sont définies comme « celles qui étudient les caractères naturels des corps, les forces qui agissent sur eux et les phénomènes qui en résultent ». En tant que nom, la physique est définie comme « science du mouvement et des actions réciproques des corps, en tant que ces actions ne sont pas de composition et de décomposition, ce qui est le propre de la chimie ».

La notion actuelle de science en tant qu'« ensemble ou système de connaissances sur une matière » date seulement du {{s-|XVIII}}. Avant cette époque, le mot « science » signifiait simplement {{Citation|la connaissance qu'on a de quelque chose}} (science et savoir ont la même étymologie) et la notion de scientifique n'existait pas. À l'inverse, le terme {{Citation|philosophie}} désigne dans son sens ancien « l'étude des principes et des causes, ou le système des notions générales sur l'ensemble des choses », les sciences naturelles étaient donc le résultat de la philosophie naturelle (voir l'exemple du titre de la revue ''{{lang|en|[[Philosophical Transactions]]}}'').

L'expression « sciences physiques » désigne actuellement l'ensemble formé par la physique (dans son sens moderne) et la chimie, cette expression prend son sens actuel en France au début du {{s-|XIX}}, en même temps que le mot « science » prend le sens d'« ensemble formé par les sciences mathématiques, physiques et naturelles ». Auparavant, l’expression « sciences physiques » était un simple synonyme de l'expression « sciences naturelles »<ref group="Note">Ainsi [[Georges Cuvier]], dans son ''Rapport historique sur les progrès des sciences naturelles depuis 1789'' utilise les deux expressions sans distinction, il décrit les sciences physiques/naturelles ainsi : « placées entre les sciences mathématiques et les sciences morales, elles commencent où les phénomènes ne sont plus susceptibles d'être mesurés avec précision, ni les résultats d'être calculés avec exactitude ; elles finissent, lorsqu'il n'y a plus à considérer que les opérations de l'esprit et leur influence sur la volonté. »</ref>.

=== {{s2-|XIX|XX}} ===
{{...}}

=== Physique moderne ===

La physique moderne connaît une révolution de pensée à l'entrée du {{s-|XX}} avec la découverte de la [[relativité restreinte]], qui change le concept du temps, et l'introduction de la [[mécanique quantique]] qui bouleverse la notion de [[réalité]].

En [[1903 en science|1903]], [[Marie Curie]] et [[Pierre Curie]] partagent avec [[Henri Becquerel]] le [[prix Nobel de physique]] pour leurs recherches sur les radiations (radioactivité, rayonnement corpusculaire naturel)<ref>{{Lien web |langue=en-US |titre=The Nobel Prize in Physics 1903 |url=https://www.nobelprize.org/prizes/physics/1903/summary/ |site=NobelPrize.org |consulté le=2022-03-30}}.</ref>.

== État actuel ==

=== Disciplines ===
La recherche en physique contemporaine se divise en diverses disciplines qui étudient différents aspects du monde physique.

{| class="wikitable"
! scope=col | Domaine(s)
! scope=col | Disciplines
! scope=col | Principales théories
! scope=col | Quelques concepts
|-
! scope=row | [[Astrophysique]] et [[Mécanique (science)|mécanique]]
| [[Cosmologie]], [[Planétologie]], [[Physique des plasmas]], [[Astroparticules (discipline)|Astroparticules]]
| [[Big Bang]], [[Inflation cosmique]], [[Relativité générale]], [[Matière noire]], [[Rayonnement cosmique|Rayons cosmiques]]
| [[Trou noir]], [[Galaxie]], [[Pesanteur|Gravité]], [[Onde gravitationnelle]], [[Planète]], [[Système solaire]], [[Étoile]], [[Univers]]
|-
! scope=row | [[Physique quantique]] et [[Physique ondulatoire]]
| [[Physique atomique]], [[Physique moléculaire]], [[Optique]], [[Photonique]]
| [[Optique quantique]]
| [[Diffraction]], [[Onde électromagnétique]], [[Laser]], [[Polarisation (optique)|Polarisation]], [[Interférence]]s
|-
! scope=row | [[Physique des particules]]
| [[Accélérateur de particules]], [[Physique nucléaire]]
| [[Modèle standard de la physique des particules|Modèle standard]], Théorie de [[grande unification]], [[Théorie des cordes]], [[Théorie M]]
| [[Interaction élémentaire]] ([[Gravitation]], [[Électromagnétisme]], [[Interaction faible]], [[Interaction forte]]), [[Particule élémentaire]], [[Antiparticule]], [[Spin]], [[Brisure spontanée de symétrie]] 
|-
! scope=row | [[Physique statistique]] et [[Physique de la matière condensée]]
| [[Thermodynamique]], [[Physique du solide]], [[Science des matériaux]], [[Physique des polymères]], [[Matière molle]], [[Physique mésoscopique]], [[Système désordonné]], [[Biophysique]]
| [[Supraconductivité]], [[Onde de Bloch]], [[Condensat fermionique]], [[Liquide de Fermi]]
| [[État de la matière]] ([[État solide|Solide]], [[Liquide]], [[Gaz]]), [[Physique des plasmas|Plasma]], [[Condensat de Bose-Einstein]], [[Fluide supercritique|Supercritique]], [[Superfluidité|Superfluide]]), [[Conducteur (physique)|Conducteur]], [[Magnétisme]], [[Auto-organisation]]
|}

=== Théories ===

Bien que la physique s'intéresse à une grande variété de systèmes, certaines théories ne peuvent être rattachées qu'à la physique dans son ensemble et non à l'un de ses domaines. Chacune est supposée juste, dans un certain domaine de validité ou d'applicabilité. Par exemple, la [[théorie]] de la [[Mécanique newtonienne|mécanique classique]] décrit fidèlement le mouvement d'un objet, pourvu que 
* ses dimensions soient bien plus grandes que celles d'un [[atome]] ;
* sa [[vitesse]] soit bien inférieure à la [[vitesse de la lumière]] ;
* il ne soit pas trop proche d'une masse importante ;
* il soit dépourvu de [[charge électrique]].

Les théories anciennes, comme la mécanique newtonienne, ont évolué engendrant des sujets de recherche originaux, notamment dans l'étude des phénomènes [[complexité|complexes]] (exemple : la [[théorie du chaos]]). Leurs principes fondamentaux constituent la base de toute recherche en physique et tout étudiant en physique, quelle que soit sa spécialité, acquiert les bases de chacune d'entre elles.

{| class="wikitable"
! scope=col | Théorie
! scope=col | Grands domaines
! scope=col | Concepts
|-
! scope=row | [[Mécanique newtonienne]]
| [[Cinématique]], [[Lois du mouvement de Newton]], [[Mécanique analytique]], [[Mécanique des fluides]], [[Mécanique du point]], [[Mécanique du solide]], [[Transformations de Galilée]], [[Mécanique des milieux continus]]
| [[Dimension]], [[Espace (notion)|Espace]], [[Temps (physique)|Temps]], [[Référentiel (physique)|Référentiel]], [[Longueur]], [[Vitesse]], [[Vitesse relative]], [[Masse]], [[Moment cinétique]], [[Force (physique)|Force]], [[Énergie (physique)|Énergie]], [[Moment cinétique|Moment angulaire]], [[Couple (physique)|Couple]], [[Loi de conservation]], [[Oscillateur harmonique]], [[Onde]], [[Travail d'une force|Travail]], [[puissance (physique)|Puissance]], [[Équilibre statique (mécanique)|Équilibre]]
|-
! scope=row | [[Électromagnétisme]]
| [[Électrostatique]], [[Électricité]], [[Magnétisme]], [[Équations de Maxwell]]
| [[Charge électrique]], [[Courant électrique]], [[Champ électrique]], [[Champ magnétique]], [[Champ électromagnétique]], [[Onde électromagnétique]]
|-
! scope=row | [[Physique statistique]] et [[Thermodynamique]]
| [[Machine thermique]], [[Théorie cinétique des gaz]]
| [[Constante de Boltzmann]], [[Entropie (thermodynamique)|Entropie]], [[Énergie libre]], [[transfert thermique|Chaleur]], [[Fonction de partition]], [[Température]], [[Équilibre thermodynamique]], [[Réversibilité thermodynamique|Réversibilité]]
|-
! scope=row | [[Mécanique quantique]]
| [[Intégrale de chemin]], [[Équation de Schrödinger]], [[Théorie quantique des champs]]
| [[opérateur hamiltonien|Hamiltonien]], [[Boson]], [[Fermion]], [[particules indiscernables|Particules identiques]], [[Constante de Planck]], [[Oscillateur harmonique quantique]], [[Fonction d'onde]], [[Énergie du vide|Énergie de point zéro]]
|-
! scope=row | [[Théorie de la relativité]]
| [[Relativité galiléenne]], [[Relativité restreinte]], [[Relativité générale]]
| [[Principe d'équivalence]], [[Quadrivecteur]], [[Espace-temps]], [[Vitesse de la lumière]], [[Vitesse relative]], [[Invariance de Lorentz]]
|}

== Méthode ==
=== Théorie et expérience ===
[[Fichier:HAtomOrbitals.png|thumb|Sections transversales des premières [[Orbitale atomique|orbitales]] de l'[[atome d'hydrogène]], le code de couleurs représentant l'[[amplitude de probabilité]] de l'électron (noire : amplitude zéro, blanc : amplitude maximale).]]
Les [[physicien]]s observent, mesurent et [[Modélisation|modélisent]] le comportement et les interactions de la [[matière]] à travers l'[[espace (notion)|espace]] et le [[temps]] de façon à faire émerger des lois générales quantitatives. Le temps — défini par la durée, l'intervalle et la construction corrélative d'échelles — et l'espace — ensemble des lieux où s'opère le mouvement et où l'être ou l'amas matériel, c'est-à-dire la particule, la molécule ou le grain, le corps de matière… ou encore l'opérateur se positionnent à un instant donné — sont des faits réels constatés, transformés en entités mathématiques abstraites et physiques mesurables pour être intégrées logiquement dans le schéma scientifique. Ce n'est qu'à partir de ces constructions qu'il est possible d'élaborer des notions secondaires à valeurs explicatives. Ainsi l'énergie, une description d'états abstraite, un champ de force ou une dimension fractale peuvent caractériser des « [[phénomène physique|phénomènes physiques]] » variés. La métrologie est ainsi une branche intermédiaire capitale de la physique.

Une [[théorie]] ou un [[modèle]] — appelé schéma une fois patiemment étayé par de solides expériences et vérifié jusqu'en ses ultimes conséquences logiques — est un ensemble conceptuel formalisé mathématiquement, dans lequel des paramètres physiques qu'on suppose indépendants ([[Charge électrique|charge]], [[énergie (physique)|énergie]] et temps, par exemple) sont exprimés sous forme de variables (''q'', ''E'' et ''t'') et mesurés avec des unités appropriées ([[coulomb]], [[joule]] et [[seconde (temps)|seconde]]). La théorie relie ces variables par une ou plusieurs équations (par exemple, [[E=mc2|E=mc{{2}}]]). Ces relations permettent de prédire de façon quantitative le résultat d'[[expérience]]s.

Une [[expérience]] est un protocole matériel permettant de mesurer certains phénomènes dont la théorie donne une représentation conceptuelle. Il est illusoire d'isoler une expérience de la théorie associée. Le physicien ne mesure évidemment pas des choses au hasard ; il faut qu'il ait à l'esprit l'univers [[concept fondamental de la physique|conceptuel]] d'une théorie. [[Aristote]] n'a jamais pensé calculer le temps que met une pierre lâchée pour atteindre le sol, simplement parce que sa conception du monde sublunaire n'envisageait pas une telle quantification. Cette expérience a dû attendre [[Galilée (savant)|Galilée]] pour être faite. Un autre exemple d'expérience dictée nettement par un cadre conceptuel théorique est la découverte des [[quark]]s dans le cadre de la [[physique des particules]]. Le physicien des particules [[Murray Gell-Mann|Gell-Mann]] a remarqué que les particules soumises à la [[Interaction forte|force forte]] se répartissaient suivant une structure mathématique élégante, mais que trois positions fondamentales (au sens mathématique de la [[représentation des groupes|théorie des représentations]]) de cette structure n'étaient pas réalisées. Il postula donc l'existence de particules plus fondamentales (au sens physique) que les [[proton]]s et les [[neutron]]s. Des expériences permirent par la suite, en suivant cette théorie, de mettre en évidence leur existence.

Inversement, des expériences fines ou nouvelles ne coïncident pas ou se heurtent avec la théorie. Elles peuvent :
* soit remettre en cause la théorie — comme ce fut le cas du problème du [[corps noir]] et des représentations de la lumière qui provoquent l'avènement de la [[mécanique quantique]] et des relativités restreinte et générale, de façon analogue à l'ébranlement des fondements du [[vitalisme]] en chimie ou de l'effondrement de la [[génération spontanée]] en biologie ;
* soit ne pas s'intégrer dans les théories acceptées. L'exemple de la découverte de [[Neptune (planète)|Neptune]] est éclairant à ce titre. Les astronomes pouvaient mesurer la trajectoire d'[[Uranus (planète)|Uranus]] mais la théorie d'[[Isaac Newton]] donnait une trajectoire différente de celle constatée. Pour maintenir la théorie, [[Urbain Le Verrier]] et, indépendamment, [[John Couch Adams|John Adams]] postulèrent l'existence d'une nouvelle planète, et d'après cette hypothèse prédirent sa position. L'astronome allemand Johann Gottfried Galle vérifia en {{date-|septembre 1846}} que les calculs de Le Verrier et Adams étaient bons en observant Neptune à l'endroit prédit. Il est clair que l'interprétation de la première expérience est tributaire de la théorie, et la seconde n'aurait jamais pu avoir lieu sans cette même théorie et son calcul. Un autre exemple est l'existence du [[neutrino]], supposée par [[Wolfgang Pauli]] pour expliquer le spectre continu de la [[Radioactivité β|désintégration β]], ainsi que l'apparente non-conservation du [[moment cinétique]] ;
* soit enfin, faire naître la théorie de manière purement fortuite ([[sérendipité]]) : ainsi le physicien [[Henri Becquerel]] découvre la radioactivité en 1895 en stockant par hasard des sels d'uranium près d'une plaque photographique vierge.

=== La recherche ===
La culture de la [[recherche scientifique|recherche en physique]] présente une différence notable avec celle des autres sciences en ce qui concerne la séparation entre [[théorie]] et [[expérience]]. Depuis le {{s-|XX}}, la majorité des physiciens sont spécialisés soit en [[physique théorique]], soit en [[physique expérimentale]]. En revanche, presque tous les théoriciens renommés en [[chimie]] ou en [[biologie]] sont également des expérimentateurs.

La [[simulation informatique]] occupe une place très importante dans la recherche en physique et ce depuis les débuts de l'[[informatique]]. Elle permet en effet la résolution [[approximation (physique)|approchée]] de problèmes mathématiques qui ne peuvent pas être traités analytiquement. Beaucoup de théoriciens sont aussi des numériciens.

== Objectif et limites ==
=== Recherche d'un corpus fini et évolution permanente ===
[[Fichier:Albert Einstein 1947.jpg|thumb|[[Albert Einstein]] en 1947.]]

L'[[histoire de la physique]] semble montrer qu'il est illusoire de penser que l'on finira par trouver un corpus fini d'équations qu'on ne pourra jamais contredire par expérience. Chaque théorie acceptée à une époque finit par révéler ses limites, et est intégrée dans une théorie plus large. La théorie [[loi universelle de la gravitation|newtonienne de la gravitation]] est valide dans des conditions où les [[vitesse]]s sont petites et que les [[masse]]s mises en jeu sont faibles, mais lorsque les vitesses approchent la [[vitesse de la lumière]] ou que les masses (ou de façon équivalente en [[Théorie de la relativité|relativité]], les énergies) deviennent importantes, elle doit céder la place à la [[relativité générale]]. Par ailleurs, celle-ci est incompatible avec la [[mécanique quantique]] lorsque l'[[Échelle (proportion)|échelle]] d'étude est [[microscopique]] et dans des conditions d'énergie très grande (par exemple au moment du [[Big Bang]] ou au voisinage d'une [[singularité gravitationnelle|singularité]] à l'intérieur d'un [[trou noir]]).

La physique théorique trouve donc ses limites dans la mesure où son renouveau permanent vient de l'impossibilité d'atteindre un état de connaissance parfait et sans faille du [[réalité|réel]]. De nombreux philosophes, dont [[Emmanuel Kant]], ont mis en garde contre toute croyance qui viserait à penser que la connaissance humaine des phénomènes peut coïncider avec le réel, s'il existe. La physique ne décrit pas le monde, ses conclusions ne portent pas sur le monde lui-même, mais sur le modèle qu'on déduit des quelques paramètres étudiés. Elle est une science exacte en ce que la base des hypothèses et des paramètres considérés conduisent de façon exacte aux conclusions tirées.

La conception moderne de la physique, en particulier depuis la découverte de la mécanique quantique, ne se donne généralement plus comme objectif ultime de déterminer les [[cause première|causes premières]] des [[loi physique|lois physiques]], mais seulement d'en expliquer le ''comment'' dans une approche [[positivisme|positiviste]]. [[Albert Einstein]] dit ainsi du travail du physicien que faire de la physique, c'est comme émettre des théories sur le fonctionnement d'une montre sans jamais pouvoir l'ouvrir<ref>{{citation bloc|Dans l'effort que nous faisons pour comprendre le monde, nous ressemblons quelque peu à l'homme qui essaie de comprendre le mécanisme d'une montre fermée. Il voit le cadran et les aiguilles en mouvement, il entend le tic-tac, mais il n'a aucun moyen d'ouvrir le boîtier. S'il est ingénieux il pourra se former quelque image du mécanisme, qu'il rendra responsable de tout ce qu'il observe, mais il ne sera jamais sûr que son image soit la seule capable d'expliquer ses observations. Il ne sera jamais en état de comparer son image avec le mécanisme réel (…)[[Albert Einstein|A. Einstein]] et [[Leopold Infeld|L. Infeld]] |{{ouvrage |titre=L'évolution des idées en physique |éditeur= Payot |nature ouvrage=trad. fr |année=1978 |passage=34-35}} }} </ref>.{{Note|groupe=Note|texte=[[Françoise Balibar]] a publié de nombreux ouvrages concernant Albert Einstein, la théorie de la relativité, l'histoire et l'épistémologie des sciences physiques. Elle a dirigé l'équipe du [[CNRS]] chargée des six volumes de l'édition en français des ''Œuvres choisies'' d'Einstein.}}.

=== Recherche de la simplification et l'unification des théories ===

La physique possède une dimension [[esthétique]]<ref>{{lien web |auteur=Benjamin Bradu |url=http://lasciencepourtous.cafe-sciences.org/articles/la-beaute-des-equations-en-physique/ |titre=La beauté des équations en physique |site= La science pour tous |date=21 février 2015 |consulté le=19/04/2022}}.</ref>{{,}}<ref>{{article |auteur=Jean-Marc Lévy-Leblond |lire en ligne= http://www.tribunes.com/tribune/alliage/63/page9/page9.html |titre=Les beautés de la science |périodique= Alliage |numéro =63 |date= octobre 2008}}.</ref>. En effet, les théoriciens recherchent presque systématiquement à simplifier, [[Grande unification#Unification en physique|unifier]] et [[Symétrie (physique)|symétriser]] les théories. Cela se fait par la réduction du nombre de [[constantes fondamentales]] (la constante G de la gravitation a intégré sous un même univers gravitationnel les mondes sublunaire et supralunaire), par la réunion de cadres conceptuels auparavant distincts (la théorie de [[James Clerk Maxwell|Maxwell]] a unifié magnétisme et électricité, l'[[interaction électrofaible]] a unifié l'[[électrodynamique quantique]] avec l'[[interaction faible]] et ainsi de suite jusqu’à la construction du [[Modèle standard de la physique des particules|modèle standard]] de la [[physique des particules]]). La recherche des [[Symétrie (physique)|symétries]] dans la théorie, outre le fait que par le [[Théorème de Noether (physique)|théorème de Noether]] elles produisent spontanément des constantes du mouvement, est {{référence nécessaire|un vecteur de beauté}} des équations et de motivation des physiciens et, depuis le {{s-|XX}}, {{référence nécessaire|le moteur principal des développements en [[physique théorique]]}}.{{Note|groupe=Note|texte=[[Emmy Noether]] démontre le théorème qui porte son nom en 1915.}}.

Du point de vue expérimental, la simplification est un principe de pragmatisme. La mise au point d'une expérience requiert la maîtrise d'un grand nombre de paramètres physiques afin de créer des conditions expérimentales précises et reproductibles. La plupart des situations dans la nature se présentent spontanément comme confuses et irrégulières. Ainsi, l'arc-en-ciel, (qui cause un fort étonnement chez le profane), ne peut s'expliquer que par la compréhension de nombreux phénomènes appartenant à des domaines disjoints du corpus physique. Les concepts de la physique sont longs à acquérir, même pour les physiciens. Une préparation du dispositif expérimental permet donc la manifestation d'un phénomène aussi simple et reproductible que possible. Cette exigence expérimentale donne parfois un aspect artificiel à la physique, ce qui peut nuire, malheureusement, à son enseignement auprès du jeune public. Paradoxalement rien ne semble aussi éloigné du cours de la nature qu'une expérience de physique, et pourtant seule la simplification est recherchée.

Au cours de l'histoire, des théories complexes et peu élégantes d'un point de vue mathématique peuvent être très efficaces et dominer des théories beaucoup plus simples. L{{'}}''[[Almageste]]'' de [[Claude Ptolémée|Ptolémée]], fondée sur une figure géométrique simple, le cercle, comportait un grand nombre de constantes dont dépendait la théorie, tout en ayant permis avec peu d'erreur de comprendre le ciel pendant plus de mille ans. Le [[modèle standard de la physique des particules|modèle standard]] décrivant les [[Particule élémentaire|particules élémentaires]] comporte également une trentaine de paramètres arbitraires, et pourtant {{référence nécessaire|jamais aucune théorie n'a été vérifiée expérimentalement aussi précisément}}. Pourtant les physiciens s'accordent à penser que cette théorie sera sublimée et intégrée un jour dans une théorie plus simple et plus élégante, de la même manière que le système ptoléméen a disparu au profit des théories képlérienne, puis newtonienne.

== Relations avec d'autres domaines ==
=== La physique et les autres sciences ===
[[Fichier:GodfreyKneller-IsaacNewton-1689.jpg|thumb|[[Isaac Newton]]]]

La physique moderne est écrite en termes [[mathématiques]], elle a depuis sa naissance eu des relations de couple intense avec les sciences mathématiques. Jusqu'au {{s-|XX}}, les mathématiciens étaient d'ailleurs la plupart du temps physiciens et souvent philosophes naturalistes après la [[Théorie de la connaissance de Kant|refondation kantienne]]. De ce fait la physique a très souvent été la source de développements profonds en mathématiques. Par exemple, le [[calcul infinitésimal]] a été inventé indépendamment par [[Gottfried Wilhelm Leibniz|Leibniz]] et [[Isaac Newton|Newton]] pour comprendre la dynamique en général, et la gravitation universelle en ce qui concerne le second. Le développement en [[série de Fourier]], qui est devenu une branche à part entière de l'[[analyse (mathématiques)|analyse]], a été inventé par [[Joseph Fourier]] pour comprendre la diffusion de la [[transfert thermique|chaleur]].

Les sciences physiques sont en relation avec d'autres sciences, en particulier la [[chimie]], science des [[molécule]]s et des composés chimiques. Ils partagent de nombreux domaines, tels que la [[mécanique quantique]], la [[thermochimie]] et l'[[électromagnétisme]]. L'étude des bases physiques des systèmes chimiques, domaine [[physique interdisciplinaire|interdisciplinaire]], est la [[chimie physique]]. Toutefois, les phénomènes chimiques sont suffisamment vastes et variés pour que la chimie reste considérée comme une discipline à part entière.

De nombreux autres domaines interdisciplinaires constituent la physique. L'[[astrophysique]] est à la frontière de l'[[astronomie]], la [[biophysique]] est à l'interface avec la [[biologie]]. La [[physique statistique]], les [[microtechnologie]]s et les [[nanotechnologie]]s fortement multidisciplinaires comme les [[Microsystème opto-électro-mécanique|MOEMS]]<ref>[http://savoirs.ens.fr/expose.php?id=149 Voir Patrick Tabeling, ''Le monde étonnant des MEMS'', École Normale Supérieure, Paris, 2002]</ref> sont également interdisciplinaires.

=== La physique et la technique ===
[[Fichier:Laser optique.jpg|thumb|[[Rayon laser]] à travers un dispositif optique]]

L'histoire de l'[[humanité]] montre que la pensée [[technique]] s'est développée bien avant les théories physiques. La [[roue]] et le [[levier (mécanique)|levier]], le travail des matériaux, en particulier la [[métallurgie]], ont pu être réalisés sans ce qu'on appelle la physique. L'effort de [[rationalité]] des penseurs grecs puis arabes, le lent perfectionnement des mathématiques du {{s-|XII}} au {{s-|XVI}}, et le moindre poids de la [[scolastique]] ont permis les avancées remarquables du {{s-|XVII}}. La physique a pu {{référence nécessaire|révéler sa profondeur conceptuelle}}. Les théories physiques ont alors souvent permis le perfectionnement d'[[outil]]s et de [[machine]]s, ainsi que leur mise en œuvre.

Le {{s-|XX}} voit la multiplication de technologies directement issues de concepts théoriques développés à partir des avancées de la physique de leur époque. Le cas du [[laser]] est exemplaire : son invention repose fondamentalement sur la compréhension, par la [[mécanique quantique]], des [[onde]]s lumineuses et de la [[linéarité]] de leurs équations. La découverte de [[E=mc2|''l'équation d'équivalence masse énergie'']] ouvre la voie au développement des [[bombe A|bombes A]] et [[bombe H|H]], ainsi qu'à [[Énergie nucléaire|l’énergie nucléaire]] civile. De même l'[[Électronique (technique)|électronique]] en tant que science appliquée modifie profondément le visage de nos sociétés modernes à travers la [[révolution numérique]] et l'avènement de produits comme le téléviseur, le téléphone portable et les ordinateurs. Elle s'appuie sur l'[[électromagnétisme]], l'[[électrostatique]] ou la [[Semi-conducteur|physique des semi-conducteurs]]{{Note|groupe=Note|texte=[[Jacqueline Bloch]] s’intéresse au couplage ultime entre lumière et matière en lien étroit avec les nanotechnologies des semi-conducteurs. Elle a notamment fait des découvertes importantes dans l'étude de la physique des polaritons.}}. La technique d'imagerie médicale [[Imagerie par résonance magnétique|IRM]] s'appuie sur la découverte des propriétés [[Mécanique quantique|quantiques]] des [[Noyau atomique|noyaux atomiques]].

== Philosophie ==
{{Article détaillé|Philosophie de la physique}}
{{...}}

== Physique et société ==
=== Physique et genre ===
Le monde de la physique a longtemps été dominé par des hommes et, au début du {{s-|XXI}}, malgré quelques incitations et messages montrant que les filles ont autant leur place que les garçons dans ce domaine<ref>{{article |auteur=F. Robine |titre=Pourquoi les filles sont l’avenir de la science… |périodique=Bulletin de l’Union des professeurs de physique et de chimie |numéro= 100 |pages= 421-436 |année=2006 |lire en ligne=http://media.eduscol.education.fr/file/Valeurs_republicaines/68/9/article_Robine_112689.pdf |format=pdf}}.</ref>, la désaffection des filles pour les études de physique semble persister dans de nombreux pays<ref name=Convert2003>{{article |auteur=B. Convert |année=2003 |lire en ligne=https://www.cairn.info/revue-francaise-de-sociologie-1-2003-3-page-449.htm |titre=La «désaffection» pour les études scientifiques |périodique=[[Revue française de sociologie]] |volume=44 |numéro=3 |pages= 449-467}}.</ref>. {{Référence nécessaire|En outre, selon une étude récente aux États-Unis, la plupart des étudiantes en physique subissent diverses formes de harcèlement sexuel (allant de blagues déplacées aux sollicitations sexuelles). Près de 75 % des diplômées en physique disent en avoir été victimes au travail ou en étudiant sur le terrain. Une enquête menée auprès d'étudiantes participant à une série de conférences américaines pour les femmes étudiant la physique (en premier cycle) a révélé que, sur 455 répondantes, 338 disent avoir subi une forme de harcèlement sexuel.|date=avril 2022}}

En France, les filles sont nombreuses (70 %) à s’engager vers la [[Classe préparatoire biologie, chimie, physique et sciences de la Terre]] (BCPST) en restant minoritaires dans les autres préparations scientifiques (Pons, 2007). Leur attrait pour le « bio-véto » reste bien plus marqué que pour la physique<ref>{{article |auteur=C. Fontanini |année=2011 |lire en ligne=https://journals.openedition.org/questionsvives/805 |titre=Qu’est-ce qui fait courir les filles vers la classe préparatoire scientifique Biologie, Chimie, Physique et Sciences de la Terre (BCPST) ? |périodique=Questions vives, recherches en éducation |volume=8 |numéro=15 |éditeur=[[université de Provence]], Département des Sciences de l'éducation}}.</ref>, probablement en raison d'une transmission sociale des stéréotypes de genre<ref>{{article |auteur1=L. Morge  |auteur2=M.-C. Toczek |année=2009 |titre=L'expression des stéréotypes de sexe dans les situations d'entrée des séquences d'investigation en physique-chimie |périodique= Didaskalia |numéro=35 |lire en ligne=http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/31138/DIDASKALIA2009_35_81.pdf |format=pdf}}.</ref>. En 1989, Archer et Freedman ont montré que du point de vue scolaire, pour les parents et enseignants, les matières telles que la mécanique, la physique, la chimie et les mathématiques étaient encore considérées comme « masculines », pendant que l’anglais, la biologie, la psychologie, le français et la sociologie étaient jugées être des matières « féminines »<ref>{{article |langue=en |auteur1=J. Archer |auteur2=S. Freedman |année=1989 |titre=Gender-stereotypic perceptions of academic disciplines |périodique= British journal of educational Psychology |volume=59 |pages=306-313}}.</ref>. 

En 2022, les biographies de soixante-quinze physiciennes françaises, dont un grand nombre ont reçu les distinctions du [[Centre national de la recherche scientifique|CNRS]] et d'autres institutions prestigieuses, montrent l'étendue de leurs champs de recherche. Ces biographies sont consultables dans Wikipédia. 

[[Donna Strickland]], physicienne canadienne, est la troisième femme récompensée par le [[Prix Nobel de physique]] après [[Marie Curie]] en [[1903 en science|1903]] et [[Maria Goeppert-Mayer]] en [[1963 en science|1963]]<ref>{{Article|langue=fr|titre=Nobel de physique : trois chercheurs, dont un Français, récompensés pour leurs travaux sur les lasers|périodique=Le Monde.fr|date=2018-10-02|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/prix-nobel/article/2018/10/02/nobel-de-physique-trois-scientifiques-dont-un-francais-recompenses-pour-leurs-travaux-sur-les-lasers_5363327_1772031.html|consulté le=2022-12-30}}.</ref>. 

=== Vulgarisation ===
{{Article détaillé|Vulgarisation en physique}}

La vulgarisation en physique cherche à faire comprendre les principes et objets physiques sans utiliser de termes ou concepts non expliqué préalablement. De nombreuses équipes participent régulièrement à des rencontres entre le grand public et les chercheurs, où différents sujets et résultats scientifiques sont expliqués. Elle est devenue en Europe un enjeu sociopolitique important au moment de la révolution française et plus encore avec la révolution industrielle<ref>{{article |auteur=J.-L. Chappey  |lire en ligne=https://journals.openedition.org/ahrf/1578 |titre=Enjeux sociaux et politiques de la «vulgarisation scientifique» en Révolution (1780-1810) |périodique=Annales historiques de la Révolution française |numéro= 338 |pages=11-51 |mois=décembre |année=2004 |éditeur= Armand Colin, Société des études robespierristes}}.</ref>. Les chercheurs en physiques ont aussi une mission de vulgarisation, par exemple ceux du CNRS en France<ref>{{article |auteur1=P. Jensen  |auteur2=Y. Croissant |année=2007 |lire en ligne=https://jcom.sissa.it/sites/default/files/documents/Jcom0603(2007)A01_fr.pdf |titre=Activité de vulgarisation des chercheurs CNRS: un état des lieux |périodique=JCOM |numéro=6 |pages= 3}}.</ref>, mais l'essentiel de la vulgarisation se fait progressivement à travers l'école et l'enseignement<ref>{{article |auteur=P. Colin |année=2011 |titre=Enseignement et vulgarisation scientifique: une frontière en cours d’effacement? Une étude de cas autour de l’effet de serre |périodique= Spirale-Revue de recherches en éducation |volume= 48 |numéro=48 |passage=63-84}}.</ref> pour l'acquisition des savoirs de base (qui ont beaucoup évolué depuis deux siècles<ref>{{article |auteur=N. Hulin |année=1993 |titre=Faire une histoire de l'enseignement scientifique |sous-titre= Le cas de la physique en France, du {{s-|XIX}} à nos jours |périodique= Didaskalia}}.</ref>) puis à travers les médias tout au long de la vie. 

En complément de la littérature de [[vulgarisation|vulgarisation scientifique]] et du travail (publications, conférences...) de certaines [[sociétés savantes]] puis des [[expositions universelles]] ; après que la [[Radiodiffusion|radio]] puis la [[télévision]] aient participé à cette vulgarisation ; à partir des années 1990, les [[technologies de l'information et de la communication]] puis le [[Web 2.0]] ont bouleversé la vulgarisation scientifique (et de la physique en particulier<ref>{{article |auteur=M.-C. Milot |année=1996 |titre=Place des nouvelles technologies dans l'enseignement de la physique-chimie |périodique= Didaskalia |lieu=Paris }}.</ref>). Aujourd'hui, de nombreux sites internets permettent de trouver toutes les informations utiles, du niveau basique à celui de l'expertise et la [[visualisation de données]] a beaucoup progressé. 

Certains musées se sont spécialisés dans le domaine de la physique, avec par exemple en France le [[Palais de la découverte]]<ref>{{article |auteur1=J. Boissan |auteur2=G. Hitier G |année=1982 |titre=La vulgarisation dans les musées scientifiques  |lire en ligne=https://www.persee.fr/doc/rfp_0556-7807_1982_num_61_1_1858 |nature article=résultats d’une enquête au Palais de la Découverte |périodique=Revue française de pédagogie |volume= 61 |numéro=1 |pages= 29-44}}.</ref>

Dans la sphère de l'éducation universitaire, [[Richard Feynman]] a permis par ses ouvrages de construire ''ex nihilo'' une expérience empirique de la physique moderne.

== Notes et références ==

=== Notes ===
{{Références|groupe=Note}}

=== Références ===
{{Références|taille=30}}

== Voir aussi ==
{{Autres projets
|wiktionary=physique
|wikibooks=Physique
|wikiversity=Faculté:Physique
|wikisource=Physique}}

=== Bibliographie ===
{{Trop d'ouvrages||date=avril 2022}}

==== Ouvrages ludo-éducatifs ====
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=István|nom1=Berkes|titre=La Physique de tous les jours|lieu=Paris|éditeur=[[Vuibert]]|année=1998|pages totales=368|isbn=978-2-7117-5237-9|isbn2=978-2-711-75238-6|oclc=1015728315}}.
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Jean-Michel|nom1=Courty|lien auteur1=Jean-Michel Courty|auteur2=Edouard Kierlik|préface=Etienne Guyon|illustrateur=Bruno Vacaro|titre=La physique buissonnière|lieu=Paris|éditeur=[[Belin éditeur|Belin]]-Pour la Science|collection=Bibliothèque Pour la science|année=2010|pages totales=160|isbn=978-2-84245-105-9|oclc=690837010}}
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Jean-Pierre|nom1=Oehmichen|illustrateur=Christine Oehmichen|titre=L'Électronique? rien de plus simple! : dix-sept causeries amusantes expliquant d'une manière simple les bases de l'électronique et ses applications dans l'industrie|lieu=Paris|éditeur=Éditions Radio|année=1979|pages totales=255|isbn=978-2-7091-0775-4|oclc=716073246}}
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Cédric|nom1=Ray|auteur2=Jean-Claude Poizat|titre=La physique par les objets quotidiens|lieu=Paris|éditeur=Belin pour la Science|collection=Bibliothèque scientifique|année=2007|pages totales=159|isbn=978-2-7011-4552-5|oclc=999737761}}
* {{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Jearl|nom1=Walker|traducteur=Jean-Benoît Yelnik|titre=Le carnaval de la physique|titre original=The flying circus of physics|lieu=Paris|éditeur=[[Éditions Dunod|Dunod]]|année=1980|pages totales=257|isbn=978-2-04-015683-1|oclc=634251600}}

==== Initiation et éveil à la physique ====
*{{Ouvrage|auteur1=[[Marie Curie]]|titre=Leçons de Marie Curie (recueillies par Isabelle Chavannes en 1907) : Physique élémentaire pour les enfants de nos amis|éditeur=EDP Science|date=2003|oclc=1268713764|présentation en ligne=https://www.worldcat.org/title/lecons-de-marie-curie-recueillies-par-isabelle-chavannes-en-1907-physique-elementaire-pour-les-enfants-de-nos-amis/oclc/1268713764&referer=brief_results|format électronique=livre numérique|consulté le=14 mars 2022}}
*{{Ouvrage|langue=fr|langue originale=en|prénom1=Colin|nom1=Ronan|traducteur=Bruno Porlier|titre=Toute la science|sous-titre=Connaître et comprendre la vie et l'Univers|titre original=Science explained.|lieu=Paris|éditeur=[[Éditions Solar|Solar]]|année=1994|pages totales=240|isbn=978-2-263-02158-9|oclc=34276840}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Jean-Pierre|nom1=Lecardonnel|directeur1=oui|auteur2=Brigitte Proust|directeur2=oui|et al.=oui|titre=Physique chimie, {{2de}} programme 1993|lieu=Paris|éditeur=[[Éditions Bordas|Bordas]]|collection=Galileo|année=1993|pages totales=283|isbn=978-2-04-019749-0|oclc=489927524}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Bernard|nom1=Diu|titre=Les atomes existent-ils vraiment|lieu=Paris|éditeur=O. Jacob|collection=Sciences|année=1997|pages totales=321|isbn=978-2-7381-0421-2|oclc=55953716}}
*{{Ouvrage|prénom1=Bernard|nom1=Diu|titre=Traiteé de physique a l'usage des profanes|lieu=Paris|éditeur=O. Jacob|collection=sciences|année=2002|pages totales=674|isbn=978-2-7381-0873-9|oclc=895760100}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Jean|nom1=Rosmorduc|titre=Matière et énergie|lieu=Paris|éditeur=Messidor / La Farandole|collection=Science et les hommes|année=1991|isbn=978-2-209-06477-9|oclc=670736964}}
*{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=[[Françoise Balibar]]|prénom1=|nom1=|auteur2=Michel Crozon|auteur3=Emmanuel Farge|titre=Physique moderne|lieu=Paris|éditeur=Editions Messidor/La Farandole|collection=Science et les hommes|série=La vie|année=1991|pages totales=120|isbn=978-2-209-06479-3|oclc=1087868403}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Hans|nom1=Breuer|titre=Atlas de la physique|titre original=Dtv-Atlas zur Physik|lieu=Paris|éditeur=[[Hachette Livre|Librairie générale française]]|collection=Encyclopédies d'aujourd'hui|série=Pochothèque|année=1997|numéro d'édition=4|pages totales=403|isbn=978-2-253-13016-1}}.{{commentaire biblio|Traduction du dtv-Atlas zur Physik, 1987, par Claudine Morin avec adaptation scientifique de Martine Meslé-Gribenski, Philippe Morin, Michèle Sénéchal-Couvercelle. {{ISBN|9782253130161}}.}}
*{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=[[Pierre-Gilles de Gennes]]|prénom1=|nom1=|auteur2=Jacques Badoz|titre=Les Objets fragiles|lieu=Paris|éditeur=[[Plon]]|année=1994|pages totales=272|isbn=978-2-259-00311-7|oclc=215285693}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Stéphane|nom1=Deligeorges|directeur1=oui|auteur2=Alain Aspect|titre=Le Monde quantique|lieu=Paris|éditeur=Ed. du Seuil|collection=Points|numéro dans collection=S46|année=1985|pages totales=228|isbn=978-2-02-008908-1|oclc=925337510}}
*{{Ouvrage|langue=fr|langue originale=en|prénom1=Paul|nom1=Davies|traducteur=Alain Bouquet|titre=Les forces de la nature|titre original=The Forces of nature|lieu=Paris|éditeur=[[Groupe Flammarion|Flammarion]]|collection=Champs|numéro dans collection=341|année=1995|pages totales=256|isbn=978-2-08-081341-1|oclc=862322796}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Etienne|nom1=Klein|auteur2=Marc Lachièze-Rey|titre=La quête de l'unité|sous-titre=l'aventure de la physique|lieu=Paris|éditeur=[[Éditions Albin Michel|Albin Michel]]|collection=Livre de poche|série=Biblio essais|numéro dans collection=4298|année=2000|pages totales=221|isbn=978-2-253-94298-6|oclc=45010210}}

==== Premiers pas scientifiques ====
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Patrick|nom1=Chaillet|auteur2=Frédéric Hélias|titre=Physique appliquée génie mécanique|lieu=Paris|éditeur=Foucher|collection=Plein pot|numéro dans collection=45|année=2003|numéro d'édition=2|pages totales=191|isbn=978-2-216-09340-3|oclc=491001675}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Daniel|nom1=Spenlé|auteur2=Robert Gourhant|titre=Guide du calcul en mécanique|lieu=Paris|éditeur=Hachette Technique|année=1993|pages totales=256|isbn=978-2-01-020789-1|oclc=463743798}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Gérard|nom1=Bourdaud|titre=Mathématiques pour la physique|lieu=Paris New York|éditeur=Diderot éd|collection=Bibliothèque des sciences|série=Premier cycle & classes préparatoires|année=1997|pages totales=384|isbn=978-2-84134-077-4|oclc=258696074}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Michel|nom1=Faye|auteur2=Suzanne Faye|auteur3=Sébastien Aullen|titre=Physique, PCSI, MPSI, PTSI|lieu=Paris|éditeur=[[Nathan (éditions)|Nathan]]|collection=Du bac à la prépa|année=2006|pages totales=236|isbn=978-2-09-187325-1|oclc=470579793}}
* {{ouvrage |auteur=Edmond Weislinger |titre=Physique MP-PC {{1re|année}} |collection= études supérieures ou ES 42 |éditeur= Bordas |année= 1969 |pages totales= 418}}.
* {{ouvrage |auteur=J. Hervé |titre=Physique MP-PC {{2e|année}} |collection= enseignement supérieur {{1er|cycle}} |éditeur= Masson et Cie |année= 1968 |pages totales= 420}}.
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Pierre|nom1=Lafourcade|titre=Formulaire de physique|lieu=Paris|éditeur=[[Vuibert]]|année=1980|pages totales=208|isbn=978-2-7117-4153-3|oclc=489821833}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Jean-Pierre|nom1=Meullenet|auteur2=B. Spenlehauer|titre=Mécanique newtonienne du point : rappels de cours, exercices et problèmes corrigés : math sup, premiers cycles de l'enseignement supérieur|lieu=Paris|éditeur=Éditions Marketing|année=1981|pages totales=286|isbn=978-2-7298-0330-8|oclc=495981582}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Michel|nom1=Bertin|auteur2=Jean-Pierre Faroux|auteur3=Jacques Renault|et al.=oui|titre=Mécanique|tome=2|titre tome=Mécanique du solide et notions d'hydrodynamique|lieu=Paris|éditeur=[[Éditions Dunod|Dunod]]|collection=Cours de physique|année=1985|pages totales=240|isbn=978-2-04-016461-4|oclc=461925403}} {{Commentaire biblio SRL|Programme 1984 BOEN.}}
* {{ouvrage |auteur1= L. Landau |auteur2= E. Lifchitz |titre=Mécanique |éditeur=Mir |lieu= Moscou |année= 1960}}.{{Commentaire biblio|{{1er|volume}} du cours de physique russe.}}
* {{ouvrage |auteur1= Joseph Kane |auteur2= Morton Sternheim |titre=Physique |collection= Enseignement de la physique |éditeur= Masson [[InterÉditions]] |lieu= Paris |année= 1997 |pages totales= 778 |traducteur= Michel Delmelle, Roger Evrard, Jean Schmitt et [[Jean-Pol Vigneron]]}}.
{{Commentaire biblio|Version française de {{ouvrage  |titre= Physics |langue=en |numéro d'édition=2 |éditeur= John Wiley and Sons, Inc |lieu= New York |année= 1984
|isbn=2 225 83137 8}}.}}
* {{ouvrage |titre=Cours de Physique Berkeley | collection= U |éditeur= Armand Colin |lieu= Paris |année= 1972}} :
** Volume I : {{ouvrage |titre=Mécanique|auteur1= Charles Kittel |prénom2= Walter D. |nom2=Knight |prénom3= Malvin A. |nom3=Ruderman}}
** Volume II : {{ouvrage |titre=Électricité et magnétisme |auteur= Edward M. Purcell}}
** Volume III {{ouvrage |titre=Ondes |auteur=Frank S. Crawford Jr |pages totales=604 |titre original=Waves |langue originale= |traducteur=Pierre Léna |isbn= 2-200-21005-1}}
** Volume IV : {{ouvrage |titre=Physique quantique |auteur= Eywind H. Wichmann}}
** Volume V : {{ouvrage |titre=Physique statistique |auteur= Frederick Reif}}
* {{ouvrage |auteur=Valerio Scarani |titre= Initiation à la physique quantique |sous-titre= La matière et les phénomènes
 |éditeur= Vuibert |année= 2003 |lieu= Paris |pages totales= 118 |préface = Jean-Marc Lévy-Leblond |isbn=2 7117 5295 X}}
* {{ouvrage |auteur=José-Philippe Pérez |titre=Optique géométrique, matricielle et ondulatoire |éditeur= Masson |lieu= Paris |année= 1984 |pages totales= 356 |préface = Maurice Françon |isbn=2 225 80181 9}}
* {{ouvrage |auteur1=David Lynch |auteur2= William Livingston |titre= Aurores, mirages, éclipses… |sous-titre=comprendre les phénomènes optiques de la nature |éditeur= Dunod |lieu= Paris |année= 2002 |pages totales= 262 |traducteur= Bérangère Parise et Amélie Stepnik}}.
{{Commentaire biblio |Traduction de {{ouvrage |langue=en |titre=Color and light in nature |éditeur= Cambridge University Press |année première édition= 1995 |numéro d'édition=2 |année= 2001|isbn=2 10 006507 6}}.}}
* {{ouvrage |auteur=Charles Kittel |titre=Physique de l’état solide |numéro d'édition=  5 |éditeur=Dunod |lieu= Paris |année=1983 |pages totales= 594 |traducteur= Robert Meguy et Michèle Ploumellec, sous la direction de Claire Dupas |isbn= 2 04 010611 1}}
* {{ouvrage |auteur1=Michael M. Abbott |auteur2= Hendrick C. Van Ness |titre=Théorie et applications de la thermodynamique |collection=Schaum |nature ouvrage=  225 exercices résolus |éditeur= Mac Graw-Hill |année=1987 |pages totales= 342 |isbn= 2 7042 1001 2}}
* {{ouvrage |auteur1=Hélène NGÔ |auteur2= Christian NGÔ |titre=Physique statistique, introduction avec exercices |éditeur= Masson |lieu= Paris |année= 1988 |pages totales= 283 |isbn= 2 225 81287 X}}
* {{cours de physique de Feynman}} {{commentaire biblio SRL|[[InterÉditions]], Paris, 1979.}}{{Commentaire biblio|Traduction de The Feynman lectures on physics, Caltech, 1964.}}
** Tome 1 : ''Mécanique'', 2 volumes
** Tome 2 : ''Électromagnétisme'', en 2 volumes. {{1er|volume}} : {{ISBN|2 7296 0028 0}} Deuxième volume : {{ISBN|2 7296 0029 9}}.
** Tome 3 : ''Mécanique quantique''.
* {{ouvrage |auteur=Richard Feynman |titre=Le mouvement des planètes autour du soleil |collection = Jardin des sciences |éditeur= Diderot éditeur, arts et sciences |lieu= Paris |année= 1997 |pages totales= 162 |nature ouvrage=cours anglais mis en forme et complété par David L. et [[Judith R. Goodstein]] |traducteur= Marie-Agnès Treyer |isbn=2 84134 018 X}}
* {{ouvrage |auteur=Fabrice Drouin |titre=L’astronomie en questions |éditeur= Vuibert |année= 2001 |pages totales= 202  |isbn= 2 7117 5271 2}}

==== Introduction à quelques spécialités ====
* {{ouvrage |auteur=Louis Boyer |titre=Feu et flammes |éditeur=Belin |collection= pour la science |lieu= Paris |année= 2006 |pages totales=190 |préface = Yves Pomeau |isbn=2 7011 3973 2}}
* {{ouvrage |auteur1=Henri-Claude Nataf |auteur2=Joël Sommeria |titre=La Physique et la Terre |collection=Croisée des sciences |éditeur=Belin-CNRS éditions |année= 2000 |pages totales=146 |isbn=2 7011 2370 4}}
* {{ouvrage |auteur institutionnel= Bureau des longitudes sous la direction de H Lacombe |titre=Encyclopédie scientifique de l’univers |numéro d'édition=2 |éditeur= Gaulthier-villars, Bordas |lieu= Paris |année= 1884}} {{commentaire biblio SRL|quatre volumes :}}
** Volume 1 : ''La terre, les eaux, l’atmosphère'', première édition en 1977, 346 p. {{ISBN|2 04 015549 X}}
** Volume 2 : ''Les étoiles, le système solaire'', première édition en 1979
** Volume 3 : ''La galaxie, l’univers extragalactique'', première édition en 1980
** Volume 4 : ''La physique'', première édition en 1981
* {{ouvrage |auteur1=Alessandro Boselli |titre=A la découverte des galaxies |éditeur=Ellipses |année=2007 |pages totales=256 |isbn=978 2 7298 3445 6}}
* {{ouvrage |auteur1=Antonin Rükl |titre=Atlas de la Lune |éditeur=Gründ |année=1993|pages totales=224 |isbn=2 7000 1554 1}} {{Commentaire biblio|Adaptation française de l’ouvrage slovaque par Martine Richebé avec révision de Jean-Marc Becker de la société astronomique de France.}}
* {{ouvrage |auteur institutionnel= Institut de mécanique céleste et de calcul des éphémérides, Observatoire de Paris |titre= Le manuel des éclipses |éditeur= EDP sciences |lieu= Les Ulis |année= 2005 |pages totales=278 |isbn=2 86883 810 3}}
* {{ouvrage |auteur1=Denis Savoie |titre=Les cadrans solaires |éditeur= Belin |collection= pour la science |lieu=Paris |année=2003 |pages totales=128 |isbn=2 7011 3338 6}}
* {{ouvrage |auteur1=Émilie du Châtelet |auteur2=Richard P. Feynman |titre=Lumière et matière, une étrange histoire |éditeur=Sciences point/[[InterÉditions]] |année=1987 |pages totales=206 |nature ouvrage=Conférence QED |langue originale=en |titre original=The strange theory of light and matter |traducteur=Françoise Balibar et Alain Laverne}}.
* {{ouvrage |auteur1=Louis Gaudart |auteur2=Maurice Albet |titre=Physique photographique |éditeur=Le Temps Apprivoisé (LTA) |lieu=Paris |année=1997 |pages totales=352  |isbn=2 283 58285 7}}
* {{ouvrage |auteur1=Robert Sève |titre=Physique de la couleur de l’apparence colorée à la technique colorimétrique |collection= Collection physique fondamentale et appliquée |éditeur=Masson |lieu=Paris |année=1996 |pages totales=334 |préface = Lucia P. Ronchi |isbn=2 225 85119 0}}
* {{ouvrage |auteur1=André Guinier |titre=La structure de la matière : du ciel bleu à la matière plastique |éditeur=Hachette-CNRS |lieu=Paris |année=1980}}.
* {{ouvrage |auteur1=André Guinier |auteur2=Rémi Julien |titre=La matière à l’état solide, des supraconducteurs aux superalliages |collection= Liaisons scientifiques dirigée par Roland Omnès et Hubert Gié |éditeur= Hachette |lieu=Paris |année=1987 |pages totales=286 |préface =Sir Neville Mott |isbn=2 01 0125401}}
* {{ouvrage |auteur1=Yves Quéré |titre=Physique des matériaux, Cours et problèmes |éditeur=École polytechnique X et Ellipses |année=1988 |pages totales=464  |isbn=2 7298 8858 6}}
* {{ouvrage |auteur1=Jacob Israelaschvili |langue=en  |titre=Intermolecular & Surface forces |éditeur=Academic Press Limited |lieu=Londres |année=1995 |pages totales=450  |isbn=0 12 375181 0}}
* {{ouvrage |auteur1=John T. Yates, Jr |langue=en |titre=Experimental innovations in surface science |sous-titre= a guide to practical laboratory methods and instruments |éditeur=AIP Press/Springer |lieu=New York |année=1998 |pages totales=904  |isbn=0 387 98332 5}}
* {{ouvrage |auteur1=Bernard Diu |auteur2=Claudine Guthmann |auteur3=Danielle Lederer |auteur4=Bernard Roulet |titre= Éléments de Physique statistiques |éditeur=Hermann éditeur des sciences et des arts |lieu= Paris |année= 1989 |pages totales=1004 |isbn=2 7056 6065 8}}
* {{ouvrage |auteur1=Vincent Fleury |titre= Arbres de pierre, la croissance fractale de la matière |collection= nouvelle bibliothèque scientifique |éditeur=Flammarion |année= 1998 |pages totales=334  |isbn=2 0821 1238 1}}
* {{ouvrage |auteur1=Jean-Louis Chermant |responsabilité1=coordonnateur |titre= Caractérisation des poudres et céramiques |collection= Formation céramique (Forceram) |éditeur=Hermès |lieu= Paris |année= 1992 |pages totales=268  |isbn=2 86601 307 7}}
* {{ouvrage |auteur1=Jacques Duran |titre= Sables, poudres et grains, introduction à la physique des milieux granulaires |éditeur=Eyrolles sciences |lieu= Paris |année= 1997 |pages totales=254 |préface= Pierre-Gilles de Gennes |isbn=2 212 05831 4}}
* {{ouvrage |auteur1=Benoît Ildefonse |auteur2=Catherine Allain |auteur3= Philippe Coussot |responsabilité3=coordonnateurs   |titre= Des grands écoulements naturels à la dynamique du tas de sable, introduction aux suspensions en géologie et physique |éditeur=Cemagref éditions |numéro d'édition=1 |année= 1997 |pages totales=254 |isbn=2 85362 485 4}}
* {{ouvrage |auteur1=Rémi Deterre |auteur2=Gérard Froyer |titre= Introduction aux matériaux polymères |éditeur=Lavoisier Techniques & Documentation |lieu= Paris |année= 1997 |pages totales=216  |isbn=2 7430 0171 2}}
* {{ouvrage |auteur1=Gert Strobl |langue=en  |titre= The physics of polymers, concept for understanding their structure and behavior |numéro d'édition=2 |éditeur=Springer Verlag |lieu= Berlin |année= 1997 |pages totales=440 |isbn=3 540 63203 4}}
* {{ouvrage |auteur1=J. des Cloizeaux |auteur2= G. Janninck |titre= Les polymères en solutions |éditeur=Les éditions de physique |lieu= Paris |année= 1987 |pages totales=846  |isbn=2868830528}}
* {{ouvrage |auteur1=Jean-François Gouyet |titre= Physique et structures fractales |éditeur=Masson |lieu= Paris |année= 1992 |pages totales=234  |préface=  [[Benoît Mandelbrot]] |isbn=978-2-225-82777-8}}
* {{ouvrage |auteur1=Annick Lesne |titre= Méthode de renormalisation : phénomènes critiques, chaos, structures fractales |éditeur= Eyrolles sciences |lieu=Paris |année=1996 |pages totales=388 |préface = Pierre Collet |isbn=2 212 05830 6}}
* {{ouvrage |auteur1=Pierre Bergé |auteur2=Yves Pomeau |auteur3=Monique Dubois-Gance |titre= Des rythmes au chaos |collection= Opus |éditeur= [[éditions Odile Jacob]] |lieu=Paris |année=1997 |pages totales=312 |isbn=2 7381 0524 6}}
* {{ouvrage |auteur1= |titre=L’Ordre du chaos |collection= Bibliothèque pour la science |éditeur= diffusion Belin |lieu=Paris |année=1992 |pages totales=208 pages |préface= [[Pierre-Gilles de Gennes]] |isbn= 2 9029 1878 X}}
* {{ouvrage |auteur1=Étienne Guyon |auteur2=Jean-Pierre Hulin |auteur3=Luc Petit |titre= Hydrodynamique physique |collection= Savoirs actuels |éditeur= InterÉditions/ éditions du CNRS |année=1991 |pages totales=506 |isbn=2 222 04025 6}}
* {{ouvrage |auteur1=R. Ouziaux |auteur2=J. Perrier |titre= Mécanique des fluides appliquées |éditeur=Dunod Université, Bordas |lieu=Paris |année=1978 |pages totales=448 |isbn=2 04 010143 8}}
* {{ouvrage |auteur1=H.N.V. Temperley |auteur2=D.H. Trevena |titre= Les liquides et leurs propriétés, traité moléculaire macroscopique avec applications |collection= Techniques et documentation |éditeur= Lavoisier |lieu=Paris |année=1980 |pages totales=242 |traducteur= J.-Cl. Lengrand |langue originale=en |titre original=Liquids and theirs properties, a molecular and macroscopic treatise with applications {{incise|Ellis Horword Limited, 1978}}  |isbn=2 85206 057 4}}
* {{ouvrage |auteur1=Claude Cohen-Tannoudji |auteur2=Bernard Diu |auteur3=Franck Laloë |titre= Mécanique quantique |collection= Enseignements des sciences |numéro dans collection=16 |éditeur= Hermann |lieu=Paris |année=1973}}.
** Tome I, édition 1977, 900 p. {{ISBN|2 7056 5733 9}}
** Tome 2, {{3e|édition}}, 1986, {{p.|901-1518}}. {{ISBN|2 7056 6023 2}}
* {{ouvrage |auteur=Luc Valentin |titre=Physique subatomique : noyaux et particules |éditeur= Hermann |lieu= Paris |année= 1982}}.
** tome I. {{ouvrage |titre=Approche élémentaire |collection= Enseignement des sciences |numéro dans collection=27 |pages totales=312 |isbn=2-7056-5927-7}}
** tome II. {{ouvrage |titre=Développements |collection= Enseignement des sciences |numéro dans collection=28 |année=1982 |passage=313-612 |isbn=2-7056-5928-5}}
* [[Émilie du Châtelet]]
** {{ouvrage |titre= traduction des ''Principes de Newton'' |nature ouvrage= édition préliminaire |année=1756 |présentation en ligne=http://www.clairaut.com/n1756po1pf.html }}
** {{ouvrage |nature ouvrage=édition définitive, posthume et revue de la traduction des ''Principes de Newton'' par [[Alexis Claude Clairaut|Clairaut]] |éditeur= Desaint et Saillant |lieu=Paris |année=1759 |titre=Principes mathématiques de la philosophie naturelle |préface= Roger Cotes, Voltaire}}{{Commentaire biblio SRL|2 volumes.}}
{{commentaire biblio|{{Ouvrage|langue=FR |prénom1=Isaac  |nom1=Newton |titre=Principes mathématiques de la philosophie naturelle [traduit du latin] par feue madame la marquise Du Chastellet [Avec une préface de Roger Cotes et une préface de Voltaire]. T. 1 |année=1759 |lire en ligne=https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1040149v |consulté le=2021-04-13 |nature ouvrage=Éloge}}.}}

==== Mesures, industrie, applications ====
* {{ouvrage |auteur1=G. Prieur |auteur2= M. Nadi |titre=La mesure et l’instrumentation : état de l’art et perspectives |collection= Mesures physiques |éditeur= Masson |lieu= Paris |année= 1995 |pages totales= 726 |préface= Georges Charpak |isbn=2 225 84991 9}}
* {{ouvrage |auteur1=Georges Asch |et al.=oui |titre=Les capteurs en instrumentation industrielle |éditeur=Dunod |lieu= Paris |année=1987 |pages totales=792 |isbn=2 04 016948 2}}
* {{ouvrage |auteur=André Marion |titre=Acquisition & visualisation des images |éditeur=Eyrolles |lieu= Paris |année=1997 |pages totales=616 |isbn=2 212 08871 X}}
* {{ouvrage |auteur1=René Prunet |responsabilité1=dir. Marc Bois |auteur2=Nicolle Mollier |auteur3=Muriel Parisis |auteur4=Josiane Steinmetz |titre=Physique instrumentale, mécanique et phénomènes vibratoires |collection= Le technicien  |éditeur=Dunod, Bordas |lieu=Paris |année=1988 |pages totales=290 |isbn=2 04 018666 2}}
* {{ouvrage |auteur1=Peter Hawkes |responsabilité1=dir. |titre=Électrons et microscopes : vers les nanosciences |collection= Croisées des sciences |éditeur=Belin/ CNRS éditions |année=1995 |pages totales=160 |isbn=2 271 05365 X}}
* {{ouvrage |auteur=Jean-Louis Fauchon |titre=Guide des sciences et technologie industrielles |éditeur=AFNOR/Nathan |lieu= Paris, 544|isbn=2 09 177324 7}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Christian|nom1=Merlaud |auteur2=Jacques Perrin |auteur3=Jean-Paul Trichard |titre=Automatique, informatique industrielle : sciences et techniques industrielles, premières et terminales, baccalauréat technologique, baccalauréat professionnel |lieu=Paris |éditeur=[[Éditions Dunod|Dunod]] |année=1995 |pages totales=249 |isbn=978-2-10-002049-2}}
* {{ouvrage |auteur1=Jean-Charles Gille |auteur2=Paul Decaulne |auteur3=Marc Pélegrin |titre=Dynamique de la commande linéaire |éditeur=Dunod |numéro d'édition=7 |année= 1985 |pages totales=596 |isbn=2 04 016432 4}}
* {{ouvrage |auteur1=M. Ksouri |auteur2=P. Borne |titre=Régulation industrielle, problèmes résolus |collection= Sciences et technologies |éditeur=Technip |lieu=Paris |année=1997 |pages totales=243 |isbn=2 7108 0714 9}}
* {{ouvrage |auteur1=Pierre Rapin |auteur2=Patrick Jacquard |titre=Formulaire du froid |numéro d'édition=10 |éditeur=Dunod, Paris |année=1996 |pages totales=482 |isbn=2 10 002693 3}}
* {{ouvrage |auteur=Henri Charlent |titre=Traité de plomberie |éditeur=Dunod technique |année première édition=1981 |numéro d'édition=4 |année=1984 |pages totales=860 |isbn=2 04 018986 6}}
* {{ouvrage |auteur1=John A. Robeson |auteur2=Clayton T. Crowe |langue=en |titre=Engineering Fluid Mechanics |numéro d'édition=6  |éditeur=John Wiley & Sons, Inc. |lieu=New-York |année=1997 |pages totales=734  |isbn=0 471 14735 4}}
* {{ouvrage |auteur1=Jean-Pierre Nadeau |auteur2=Jean-Rodolphe Puiggali |titre=Séchage, des processus physiques aux procédés industriels |collection=Techniques et Documentation |éditeur=Lavoisier |lieu=Paris |année=1995 |pages totales=308 |isbn=2 7430 0018 X}}
* {{ouvrage |auteur=J.E. Gordon |titre=Structures et matériaux, l’explication mécanique des formes |collection=L’univers des sciences |éditeur=Pour la science/ Belin |lieu=Paris |année=1994 |pages totales=214 p. |langue originale=en |titre original=Structures and materials |traducteur=F. Gallet |isbn=2 9029 1882 8}}
* {{ouvrage |auteur1=William D. Callister Jr |titre=Materials science and engineering. An introduction |langue=en |numéro d'édition=4 |éditeur= John Wiley & Sons, Inc |lieu=New-York |année=1997 |pages totales=852  |isbn=0 471 13459 7}}
* {{ouvrage |auteur1=P. Lacombe |auteur2=B. Baroux |auteur3=G. Beranger |responsabilité3=éditeurs scientifiques avec le partenariat du groupe Ugine |titre=Les Aciers inoxydables |éditeur=éditions de Physique |année=1991 |pages totales=1016 |isbn=2 86883 142 7}}
* {{ouvrage |auteur=P. Robert |titre=Matériaux de l’électrotechnique |éditeur=Dunod |année=1987 |pages totales=360 |nature ouvrage=Extrait du Traité d’électricité, d’électronique et d’électrotechnique sous la direction de Jacques Neyrinck |isbn=2 04 016933 4}}{{commentaire biblio SRL|édition 1979 revue en 1987.}}
* {{ouvrage |auteur1=Guy Seguier |auteur2=Francis Notelet |titre=Électrotechnique industrielle |numéro d'édition=2 |éditeur= Lavoisier |collection=Techniques et Documentation |lieu=Paris |année=1996 |pages totales=484  |isbn=2 85206 979 2}}
* {{ouvrage |auteur=B. Saint-Jean |titre=Électrotechnique et machines électriques |éditeur=Eyrolles / Lidec |lieu=Paris / Montréal (Québec) |année=1977 |pages totales=374  |isbn=0 7762 5651 3}}
* {{ouvrage |auteur=Éric Semail |titre=Physique du génie électrique |éditeur=Lavoisier  |collection=Techniques et Documentation |lieu=Paris |année=1998 |pages totales=220  |isbn=2 7430 0279 4}}
* {{ouvrage |auteur=Alain Ricaud |titre=Photopiles solaires, de la physique de la conversion photovoltaïque aux filières, matériaux et procédés |collection=Cahiers de chimie |éditeur=Presses polytechniques et universitaires romandes |lieu=Lausanne |année=1997 |pages totales=332 |isbn=2 88074 326 5}}
* {{ouvrage |auteur1=V. Sokolov |auteur2=A. Foussov |titre=Prospections détaillées des champs de pétrole et de gaz, Technique soviétique |éditeur=Édition de Moscou|année=1983 |pages totales=360 }}{{Commentaire biblio|Traduction française de l’ouvrage russe paru aux éditions Mir, 1979}}
* {{ouvrage |auteur1=René Turlay |responsabilité1=ancien président éditeur au nom de la société française de physique |titre=Les déchets nucléaires, un dossier scientifique |éditeur=Les Éditions de Physique |lieu=Paris |année=1997 |pages totales=304 |isbn=2 86883 301 2}}

==== Dictionnaires ====
* {{ouvrage |nom1=Diu |prénom1=Bernard |nom2= Leclercq |prénom2=Bénédicte |titre=La Physique mot à mot |éditeur= Odile Jacob Sciences |lieu= Paris |année= 2005 |pages totales= 721 |isbn=2 7381 1578 0}}
* {{ouvrage |nom1=Mathieu |prénom1=J. P. |nom2= Kastler |prénom2=A.  |nom3=Fleury |prénom3=P. |titre=Dictionnaire de Physique |éditeur= Masson, Eyrolles |lieu= Paris |année première édition=1983 |année=1985 |nature ouvrage =édition révisée |numéro d'édition=2 |pages totales= 570 |isbn=2 225 80479 6}}

==== Revues et sociétés ====
* ''[[Ciel et espace]]'', revue de l’[[Association française d'astronomie|Association française d’astronomie]]
* ''[[Découverte (revue)|Découverte]]'', revue du [[Palais de la découverte]]
* ''[[Bulletin de l'union des physiciens|Bulletin de l’union des physiciens]]''
* [[Société française de physique]]

==== Cours en langue anglaise ====
* {{ouvrage |langue=en |nom=Cromwell |prénom=Benjamin |titre=Light and matter series of introductory physics textbooks |lieu=Fullerton, Californie |éditeur=éditions d'auteur |année=1998-2005 |lire en ligne=http://www.lightandmatter.com/}}
** 1. ''Newtonian Physics'', 282 pages.
** 2. ''Conservation laws'', 170 pages.
** 3. ''Vibrations and Waves'', 92 pages.
** 4. ''Electricity and magnetism'', 170 pages.
** 5. ''Optics''
** 6. ''The Modern Revolution in Physics''
* {{ouvrage |langue=en |nom=Cromwell |prénom=Benjamin |titre=Simple Nature. An Introduction to Physics for Engineering and Physical Science Students |éditeur= édition d'auteur |année première édition=1998-2005 |lire en ligne=http:/www.lightandmatter.com/ |année=2006 |numéro d'édition=2}}.
* {{ouvrage |langue=en |nom=Schiller |prénom=Christoph |titre=Motion mountain, the Adventure of Physics |éditeur= édition d'auteur |année=1997-2006 |lire en ligne= http://www.motionmountain.net/}}

==== Histoire et ouvrages jalons ====
*{{Ouvrage|langue=fr |prénom1=Jean|nom1=Baudet |titre=Penser le monde|sous-titre=une histoire de la physique jusqu'en 1900 |lieu=Paris |éditeur=[[Vuibert]] |année=2006 |pages totales=283 |isbn=978-2-7117-5375-8 |oclc=929584117}}.
*{{Ouvrage |langue=fr |prénom1=Jean-Claude|nom1=Boudenot |préface=Claude Cohen-Tannoudji |titre=Comment Einstein a changé le monde |lieu=Les Ulis |éditeur=EDP sciences|année=2005|pages totales=192|isbn=978-2-7598-0224-1 |oclc=958056131 |lire en ligne= {{Google Livres|id=9ShCF-9yloEC}}}}
*{{Ouvrage|langue=fr |prénom1=Jean-Claude|nom1=Boudenot|préface=Louis Leprince-Ringuet |titre=Histoire de la physique et des physiciens |sous-titre=de Thalès au boson de Higgs|lieu=Paris|éditeur=[[Éditions Ellipses|Ellipses]] |année=2001 |pages totales=367 |isbn=978-2-7298-7993-8 |oclc=47964001}}
*{{Ouvrage |langue=fr|auteur1=[[Eugénie Cotton]] |prénom1=|nom1= |titre=Les Curie et la radioactivité |éditeur=Editions Seghers |collection=Savants du monde entier |année=1971|pages totales=223|oclc=493124246 <!-- doublon du paramètre oclc |lire en ligne= https://www.worldcat.org/title/curie/oclc/493124246&referer=brief_results --> |consulté le=2019-05-29}}
*{{Ouvrage |langue=fr|auteur1=[[Marie Curie]] |prénom1=|nom1= |champ libre=recueillies par Isabelle Chavannes en 1907 |titre=Leçons de Marie Curie |sous-titre=physique élémentaire pour les enfants de nos amis |lieu=Les Ulis |éditeur= EDP sciences |année=2003 |pages totales=124 |isbn=978-2-86883-635-9|oclc=1040798279}}
<!-- doublon du précédent * [[Marie Curie]], ''Leçons de Marie Curie, physique élémentaire pour les enfants de nos amis'', recueillies par Isabelle Chavannes en 1907, EDP Sciences, Les Ulis, 2003, 126 p. {{ISBN|2 86883 635 6}} -->
*{{Ouvrage |langue=fr |prénom1=Jean|nom1=Dhombres |auteur2=Jean-Bernard Robert |titre=Joseph Fourier (1768-1830) |sous-titre=créateur de la physique-mathématique |lieu=Paris|éditeur=[[Belin éditeur|Belin]] |collection=Un savant, une époque |année=1998 |pages totales=767 |isbn=978-2-7011-1213-8|oclc=0764-5511}}
*{{Ouvrage|langue=fr |langue originale=en |auteur1=[[Albert Einstein]] |nom1= |auteur2=[[Leopold Infeld]] |traducteur=Maurice Solovine |préface=Etienne Klein |titre= L'évolution des idées en physique des premiers concepts aux théories de la relativité et des quanta |titre original=The evolution of physics : the growth of ideas from the early concepts to relativity and quanta. |lieu=Paris |éditeur=[[Groupe Flammarion|Flammarion]] |collection=Champs |série=Champs Sciences |année=2015 |année première édition=1938 |pages totales=344 |isbn=978-2-08-137310-5 |oclc=927977086}}
* {{ouvrage |nom1=Eurin |prénom1=Marcel |nom2= Guimiot |prénom2=Henri |titre=Physique |sous-titre= programme 1957 
|éditeur= Hachette |année= 1960 |pages totales= 568}}
*{{Ouvrage |langue=fr|langue originale=en |prénom1=Peter|nom1=Galison |lien auteur1=Peter Galison 
|traducteur=Bella Arman |titre=L'Empire du temps : Les horloges d'Einstein et les cartes de Poincare 
|titre original=Einstein's clocks, Poincaré's maps |lieu=Paris |éditeur=[[Éditions Gallimard|Gallimard]] |collection=Folio 
|série=essais |numéro dans collection=476|année=2006 |pages totales=477 |isbn=978-2-07-031924-4|oclc=165078421}}
*{{Ouvrage|langue=fr |prénom1=Louis|nom1=Since |auteur2=L. Garrabos 
|titre=Problèmes de sciences physiques : à l'usage des classes de première C, D et E |lieu=Paris |éditeur=[[Vuibert]] 
|année=1975 |numéro d'édition=10 |pages totales=422 |isbn=978-2-7117-3324-8|oclc=635963680}}
*{{Ouvrage |langue=fr|prénom1=Anna|nom1=Hurwic |préface=Pierre-Gilles de Gennes |titre=Pierre Curie 
|lieu=Paris |éditeur=[[Groupe Flammarion|Flammarion]] |collection=Champs |numéro dans collection=398 |année=1998 
|pages totales=302 |isbn=978-2-08-081398-5 |oclc=500001631}}
*{{Ouvrage |langue=fr |prénom1=Louis|nom1=Leprince-Ringuet |responsabilité1=dir. 
|titre=Grandes decouvertes du {{s-|XX}} |lieu=Paris |éditeur=[[Éditions Larousse|Librairie Larousse]] |année=1956 
|pages totales=527 |oclc=643259058 <!-- doublon du paramètre oclc |lire en ligne=https://www.worldcat.org/title/grandes-decouvertes-du-xxe-siecle/oclc/643259058&referer=brief_results et ne permet pas de lire l'oeuvre --> |consulté le=2019-05-29}}
*{{Ouvrage |langue=fr|prénom1=James|nom1=Lequeux |titre=L'univers dévoilé : une histoire de l'astronomie de 1910 à aujourd'hui |lieu=Les Ulis (Essonne) |éditeur=EDP sciences |collection=Sciences & histoires |année=2005 |pages totales=304 |isbn=978-2-86883-792-9 |oclc=420164857}}
* {{ouvrage |nom=Locqueneux |prénom=Robert |titre=Une histoire des idées en physique |lieu=Paris |éditeur= Viubert 
|année= 2009 |pages totales= 216 }}
* {{ouvrage |nom=Locqueneux |prénom=Robert |titre=Histoire de la physique |éditeur= PUF |collection= Que sais-je ?
|année= 1987 |pages totales= 127}}
*{{Ouvrage|langue=fr |prénom1=Robert |nom1=Locqueneux |titre=Henri Bouasse réflexions sur les méthodes et l'histoire de la physique |lieu=Paris |éditeur=[[Éditions L'Harmattan|L'Harmattan]] |collection=Acteurs de la science |année=2009 |pages totales=312  |isbn=978-2-296-08674-6|oclc=495067726}}.
*{{Ouvrage |langue=fr|prénom1=Jean |nom1=Matricon |auteur2=Georges Waysand |titre=La guerre du froid une histoire de la supraconductivite |lieu=Paris |éditeur=Éd. du Seuil |collection=Science ouverte |année=1994 |pages totales=386 |isbn=978-2-02-021792-7 |oclc=801045771}}
*{{Ouvrage |langue=fr |prénom1=Jean|nom1=Rosmorduc |titre=Une histoire de la physique et de la chimie |sous-titre=de Thales a Einstein |lieu=Paris |éditeur=Éditions du Seuil |collection=points |série=S |année=1985 |pages totales=258 |isbn=978-2-02-008990-6 |oclc=1014058199}}
*{{Ouvrage|langue=fr|prénom1=Jean|nom1=Rosmorduc|auteur2=Vinca Rosmorduc|auteur3=Françoise Dutour|préface=Michel Blay|titre=Les révolutions de l'optique et l'oeuvre de Fresnel|lieu=Paris|éditeur=Vuibert Adapt|collection=Inflexions|année=2004|pages totales=168|isbn=978-2-7117-5364-2|oclc=57250593}}
* {{ouvrage |nom=Volkringer |prénom=Henri |titre=Les étapes de la physique |éditeur= Gauthier Villars |année= 1929 |pages totales= 216}}

La ''[[Physique (Aristote)|Physique]]'' d'[[Aristote]] n'a rien à voir avec la science moderne appelée « physique ». La taxonomie aristotélicienne, d'essence philosophique, a même été le plus farouche adversaire de la science moderne.

=== Articles connexes ===
{{colonnes|taille=20|
==== Généralités ====
* [[Concept fondamental de la physique|Concepts fondamentaux de la physique]]
* [[Domaines de la physique]]
* [[Recherche scientifique]]
* [[Liste des expériences scientifiques]]

==== Disciplines apparentées ====

De nombreux domaines de recherche combinent la physique avec d'autres disciplines.

* [[Acoustique]]
* [[Aérodynamique]]
* [[Astronomie]]
* [[Biophotonique]]
* [[Biophysique]]
* [[Chimie physique]]
* [[Cosmologie]]
* [[Éconophysique]]
* [[Électronique (technique)]]
* [[Géophysique]]
* [[Mécanique (science)|Mécanique]]
* [[Métrologie]]
* [[Optique|Optique théorique]]
* [[Physique théorique]]
* [[Physique numérique]]
* [[Physique mathématique]]
* [[Science des matériaux]]
* [[Thermodynamique]]

==== Domaines voisins ====
* [[Biologie]]
* [[Chimie]]
* [[Cosmologie]]
* [[Géologie]]
* [[Mathématiques]]
* [[Médecine]]

==== Philosophie et religion ====

* [[Épistémologie]]
* [[Relation entre science et religion]]
* [[Métaphysique]]

==== Histoire ====

* [[Histoire de la physique]]
* [[Prix Nobel de physique]]
* [[:Catégorie:Expérience de physique|Grandes expériences de la physique]]

==== Outils et méthodes ====

* [[Analyse dimensionnelle]]
* [[Méthodes mathématiques en physique]]
* [[Métrologie]]
* [[Méthode expérimentale]]
* [[Simulation informatique]]
* [[Expérimentation assistée par ordinateur]]

==== Tableaux et banques de données ====

* [[Constante physique]]
* [[Conversion des unités]]
* [[Ordre de grandeur]]
* [[Système international d'unités]]
* [[Liste de grands nombres]]
* [[Liste de problèmes non résolus de la physique]]}}

=== Liens externes ===

* {{lien brisé |brisé le=19/04/2022 |url=http://www.palais-decouverte.fr/discip/physique/physique.htm |titre=FAQ de physique |site=le site du [[Palais de la découverte]]}}
* {{lien brisé |brisé le=19/04/2022 |url=http://doc.forumed.org/physique/ |titre=Cours de Physique en PDF |site=formed.org}}.* {{lien brisé |brisé le=19/04/2022 |url=http://www.cea.fr/fr/magazine/dossiers.asp |titre=Dossiers scientifiques |site=le site du [[Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives|CEA]]}}
* {{lien brisé |brisé le=19/04/2022 |url=http://www.cnrs.fr/diffusion/phototheque/physiqueaulycee/ |titre=La Physique au lycée |site=le site du [[Centre national de la recherche scientifique|CNRS]]}}
* {{site officiel |url=http://www.sfpnet.fr/ |titre=le site de la Société Française de Physique}}
* {{lien web |langue=en |url=http://hyperphysics.phy-astr.gsu.edu/hbase/hframe.html |nature document=Condensé de la plupart des aspects de la physique |titre=Hyperphysics |site=le site de l'[[Université d'État de Géorgie]]}}

{{Palette|Forces fondamentales}}
{{Portail|physique|sciences}}

[[Catégorie:Physique|*]]
[[Catégorie:Physicienne française|*]]