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Karen Viggers

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Karen Viggers
Naissance Melbourne
Activité principale
Auteur
Langue d’écriture Anglais australien

Œuvres principales

The Stranding
The lightkeeper's wife
The Orchardist's Daughter
The Grass castle

Karen Viggers, née à Melbourne, est une vétérinaire, biologiste et romancière australienne. Elle est en particulier connue pour les romans The Stranding, The lightkeeper's wife, The Orchardist's Daughter et The Grass castle. Ses romans connaissent plus particulièrement le succès en France.

Biographie[modifier | modifier le code]

Karen Viggers naît à Melbourne et grandit dans les monts Dandenong, à Healesville. Elle retourne à Melbourne pour ses études de vétérinaire. après sa thèse à l'université nationale australienne, elle se spécialise dans le faune sauvage, plus particulièrement la faune endémique australienne et antarctique[1],[2].

Carrière professionnelle[modifier | modifier le code]

Durant sa carrière de biologiste, Karen Viggers écrit plusieurs articles, entre autres :

Œuvre littéraire[modifier | modifier le code]

En 2008 paraît le premier roman de Karen Viggers, The Stranding, traduit en français sous le titre La maison des hautes falaises, dont l'action a pour cadre les côtes méridionales de l'Australie, jadis haut lieu de la chasse à la baleine[2],[3].

Le second, The lightkeeper's wife, traduit sous le titre français La mémoire des embruns, a pour cadre la Tasmanie, l'île Bruny, mais évoque également largement l'Antarctique, plus particulièrement le territoire antarctique australien et les missions scientifiques qui lui sont associées[2],[4]. Ce roman est particulièrement couronné de succès en France, où Le Figaro le qualifie de « petit miracle » ; plus de cent mille exemplaires sont vendus en six semaines et un demi-million à terme, contre dix fois moins en Australie[5].

En 2014 paraît le roman The Grass castle, en français le murmure du vent, dont l'action se déroule dans les monts Brindabella et a notamment pour sujet la relation entre l'homme et le kangourou, notamment en tant qu'espèce invasive[2],[6].

Récompenses et distinctions[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (en) Fiona Inglis, « Karen Viggers », Curtis Brown (en) (consulté le ).
  2. a b c et d (en) Karen Hardy, « Karen Viggers: “My saviour was the mountains” », The Sydney Morning Herald,‎ (ISSN 2102-6882, lire en ligne).
  3. S. H., « Sauver, se sauver », L'Alsace,‎ (ISSN 0312-6315, lire en ligne).
  4. Valérie Expert, « “La Mémoire des embruns” de Karen Viggers : une femme, un secret et la Tasmanie ensorcelante », France Info,‎ (lire en ligne).
  5. (en) Susan Chenery, « Scoring an own goal: ugly parents and spoiled children », The Sydney Morning Herald,‎ (ISSN 2102-6882, lire en ligne).
  6. (en) Willie Campbell, « Unresolved past key to Australian story », Otago Daily Times,‎ (ISSN 0114-426X, lire en ligne).

Voir aussi[modifier | modifier le code]