Joelle Séka

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Joelle Séka
Nom de naissance Séka Yaba Joëlle
Naissance
Côte d'Ivoire
Décès (à 37 ans)
Activité principale Chanteuse
Genre musical Afro

Joelle Séka aussi appelée Joelle C est une chanteuse originaire de la Côte d'Ivoire née le [1] et morte le [2] d'une insuffisance rénale[3].

Carrière[modifier | modifier le code]

Joëlle C a débuté comme choriste à l'Orchestre Acikongo qu'elle intègre en 1984. Un an après, c'est-à-dire en 1985, elle rejoint l'orchestre tradi-moderne TP Audiorama, réalisant ainsi l'un de ses rêves qui était de faire partie de ce groupe. L'orchestre de l'Armée de l'Air ivoirienne (GATL) fait appel à elle à l’aube des années 1990. Elle continuera cependant à faire ses classes dans d’autres formations musicales comme le « King vision » de Gadji Céli.

Parcours musical[modifier | modifier le code]

En 1996, Joelle C sort son premier album baptisé Ayela[1] et se fait appeler Joëlle Séka.

Joëlle C est révélée, en 2002, en Côte d’Ivoire et dans d'autres pays africains comme le Ghana, le Mali par son quatrième opus, Prends-moi C’ l’amour. Cet album connaît un grand succès et lui attribue Le Top d’or de la meilleure artiste ivoirienne, dans la catégorie variété, pour l’année 2003[4].

Quatre années après les fans savouraient encore Prends-moi C' l'amour. Forte de cela, Joëlle C décida de faire un concert live. En , elle donna donc son premier show live au Palais de la Culture.

En 2007, Joëlle C annonce sa rentrée artistique avec un nouvel opus baptisé Kita. Un album de variétés qui comporte 10 titres (Samba II, Seigneur, Elékèké, Amigo, Comme Dieu et Attié Mix, etc). Kita, un pagne traditionnel tissé à la main, symbole de noblesse et de prestige en pays Akan.

Discographie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Biographie de Joelle C », sur Last.fm (consulté le )
  2. Philomène YAÏ (Stg), « Joëlle C, 10 ans déjà que l’artiste est partie ! », sur www.linfodrome.com, (consulté le )
  3. (fr) Sérikpa Benson, « Côte d'Ivoire: Joëlle C - C'était une patriote » (consulté le )
  4. (fr) Falila Gbadamassi, « Dieu, la musique et Joëlle C. Entretien avec l’artiste ivoirienne », (consulté le )

Lien externe[modifier | modifier le code]