Gare de Domanova-Rodès
| Domanova-Rodès | ||||
 Bâtiment de l'ancienne gare de Domanova-Rodès, en 2017. | ||||
| Localisation | ||||
|---|---|---|---|---|
| Pays | France | |||
| Commune | Rodès | |||
| Adresse | 66320 Rodès | |||
| Coordonnées géographiques | 42° 38′ 59″ nord, 2° 33′ 38″ est | |||
| Gestion et exploitation | ||||
| Services | Fermée | |||
| Caractéristiques | ||||
| Ligne(s) | Perpignan à Villefranche - Vernet-les-Bains | |||
| Altitude | 214 m | |||
| Historique | ||||
| Fermeture | Fermée | |||
| Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Géolocalisation sur la carte : France
| ||||
modifier  |
||||
La gare de Domanova-Rodès est une gare ferroviaire française, fermée, de la ligne de Perpignan à Villefranche - Vernet-les-Bains, située sur le territoire de la commune de Rodès, dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Elle est mise en service en par la Compagnie des chemins de fer du Midi et du Canal latéral à la Garonne[1].
Situation ferroviaire[modifier | modifier le code]
Établie à 214 mètres d'altitude[2], la halte de Domanova-Rodès est située au point kilométrique (PK) 495,330 de la ligne de Perpignan à Villefranche - Vernet-les-Bains, entre les gares ouvertes de Ille-sur-Têt et de Vinça. Elle est séparée de la gare d'Ille-sur-Têt par la gare aujourd'hui fermée de Bouleternère.
Histoire[modifier | modifier le code]
Le projet de créer une halte sur le territoire de la commune de Rodès, commence en 1882 avec une proposition refusée le 27 mai par le Ministre des Travaux publics[3].
En 1902 et 1914 des relances sont faites pour la création de la gare[4]. En 1914, le Ministre des Travaux publics prend la décision d'ajourner le projet pour après la guerre[5].
Finalement, le , la commune de Rodès est autorisée à emprunter 79 690 francs pour construite la halte de Domanova-Rodès, inaugurée la même année[1],[6].
Patrimoine ferroviaire[modifier | modifier le code]
En , le bâtiment de la gare est toujours présent et le quai également[7].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- « Une corniche de toit peinte » [archive du ], sur valleedelatet.fr (consulté le ).
- Observations sur Géoportail.
- Conseil général, « Rapports et délibérations / Département des Pyrénées-Orientales, Conseil général », sur Gallica, (consulté le ).
- Conseil général, « Rapports et délibérations / Département des Pyrénées-Orientales, Conseil général », sur Gallica, (consulté le ).
- Conseil général, « Rapports et délibérations / Département des Pyrénées-Orientales, Conseil général », sur Gallica, (consulté le ).
- « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
- Photo d'illustration.
