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Famille Corvisart

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La famille Corvisart est une famille française, originaire des Ardennes.

Elle est notamment connue pour Jean-Nicolas, médecin de Napoléon Ier et Lucien, médecin de Napoléon III.

Liens de filiation entre les personnalités[modifier | modifier le code]

Le lecture des registres de l'état civil (naissances, mariages, décès) depuis le XVIIIe siècle permet d'établir les liens de filiation suivants :

  • Jacques Corvisart ( à Attigny (Ardennes) - à Attigny) épouse Catherine Guillery le à Vaux-Champagne.
    • Pierre Corvisart ( à Dricourt - 1808), avocat au parlement. Le à La Neuville-à-Maire, il épouse Madeleine Louise Scribot.
      • Pierre Louis Honoré Corvisart ( à La Neuville-à-Maire - ) épouse Edmée Boursier, le à Sens (Yonne).
        • Scipion Corvisart (1790-1866), officier de cuirassiers. Il est adopté par son oncle. Il se marie, le couple n'a pas de descendance.
      • Jean-Nicolas Corvisart ( à Dricourt - 1821), médecin personnel de Napoléon Ier, le plus célèbre clinicien du premier Empire. Il épouse Anne Marie Lucie Drouillard. Le couple adopte son neveu, Scipion.
    • Jean Charles Honoré François Corvisart ( à Dricourt - ), conseiller du roi. Il épouse Jeanne Catherine Defer.
      • Jean Pierre René Corvisart (1769- ) épouse Joséphine Angélique Clicquot.
        • Lucien Corvisart (1824-1882), médecin de Napoléon III, adjoint au premier médecin Henri Conneau. Le à Paris, il épouse Berthe Césarine de Romain.
          • Charles Corvisart (1857-1939), général. Il épouse Marie Bidon de La Provoterie. Le couple n'a qu'une fille dont la descendance reprend le nom de Corvisart.
            • Solange Corvisart (1889-1946) épouse Jean Rabusson le à Limoges.
              • Jacques Rabusson-Corvisart (1910-1973)[1] épouse Yvonne Veillet-Dufrêche (1914-2009)[2]. D'où descendance.

Demeures[modifier | modifier le code]

La famille Corvisart, très proche de la famille impériale, possédait la commanderie de Templiers de Châteauneuf-sur-Cher. C'est une belle demeure qui jouxte le château et ses écuries. Sur les dépendances de la demeure, une girouette montre Napoléon dirigeant son canonnier[3].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]