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Discussion utilisateur:Fverdier002/Brouillon

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infos et ajouts à faire[modifier le code]

Durant les années 90 le tribunal a quitté le palais. La cour d'appel siège dans l'ensemble du bâtiment. Donc modif des plans.

Faire des renvois au tribunal judiciaire, à l'école de magistrature.

Ajouter les liens aux présidents, aux décrets...

Ajouter les compétences de la cour d'appel, les chambres...

Affaire célèbre Papon : transformation de la salle qui a accueilli le procès (mettre le lien du procès).

 Couscousbis (discuter) 21 octobre 2022 à 16:23 (CEST)[répondre]

Bibliographie utile[modifier le code]

Architecture et justice : deux siècles d’évolution. Ministère de la Justice. Direction de l’administration générale et de l’équipement. Sous-direction de l’équipement, Architecture et justice : deux siècles d’évolution, [Paris], Ministère de la Justice, 1988, 72 p.


SABOYA Marc, Les palais de justice de Bordeaux au XIXe siècle (p. 157 à 184) --> je ne le trouve pas...


Association française pour l’histoire de la justice (dir.), La Justice en ses temples : regards sur l’architecture judiciaire en France, Paris, Éditions Errance / Poitiers, Éditions Brissaud, 1992, 325 p --> https://www.persee.fr/doc/dreso_0769-3362_1995_num_29_1_1702_t1_0205_0000_1


Franck Delorme (dir.), Juger, au coeur de la cité. L’îlot judiciaire bordelais, histoire et architecture du XVe siècle à nos jours, Bordeaux, Éditions Confluences / École nationale de la magistrature, 2009, 139 p. --> Bibliothèque


Parler du projet «HUGO. Patrimoine des lieux de justice », projet collaboratif pour mettre en valeur le « patrimoine judiciaire » --> https://hugo.criminocorpus.org/fr/lieu/palais-de-justice-de-bordeaux/ / article sur le projet HUGO : https://dumas.ccsd.cnrs.fr/GIP-MRDJ/halshs-01960688 Somniatruites (discuter) 21 octobre 2022 à 16:38 (CEST)[répondre]

site JEP cour d'appel[modifier le code]

Journées européennes du patrimoine 2022 | Cour d'appel de Bordeaux (justice.fr)

Couscousbis (discuter) 21 octobre 2022 à 16:46 (CEST)[répondre]

page wiki palais thiac[modifier le code]

source : Microsoft Word - HISTOIRE ET PATRIMOINE.docx (justice.fr)

Palais Thiac - flyers.pdf (justice.fr) les parties qui proviennent de cette source sont soulignées

Explication : quelques rajouts d'informations dans la page wiki du palais thiac, les informations soulignées proviennent du flyers du site de la cour d'appel. On ne connait pas la source sauf qu'il s'agit de la cour d'appel. Après j'ai remarqué que les informations déjà présentes dans la fiche wiki du palais thiac proviennent aussi de cette même source donc je pense que l'on peut utiliser. D'ailleurs une des références de cette page est : Le Palais Thiac, Cour d'appel de Bordeaux. Livret de présentation pour le Journées du patrimoine, 2021.

Site que j'ai mis aussi en source plus haut il s'agit de l'année 2022. J'ai pas encore couplé les informations entre le guide des JEP 2022 et ce que j'ai écrit maintenant je le ferai demain car là guys mon cerveau ne veut plus réfléchir.

De plus j'ai essayé de reformuler pas trop évident... Ce qui il y a entre crochets indique la position du texte que j'ai écrit. Les titres permettent de se repérer sur la fiche wiki

ha et je sais pas pour la partie Histoire si il faut rajouter mes textes sur la forteresse du Hâ ou si c'est trop hors sujet.

voilà j'espère vraiment être un minimum compréhensible si ce n'est pas le cas beh tant pis hahaha


Histoire

[à mettre au tout début du paragraphe] L'îlot judiciaire de Bordeaux a connu de nombreuses évolutions architecturales. Cela commence par la création de la forteresse du Hâ par Charles VII, un lieu de sentence royale, afin de marquer son pouvoir dans Bordeaux qui devient une place stratégique entre les royaumes de France et d'Angleterre.

[rajouter à la suite de : "L'édifice est surnommé Palais Thiac, pour sa qualité architecturale et la richesse de sa décoration".] Les exécutions bordelaises se situent dans la cour du Fort de Hâ à partir de 1918. Durant la seconde guerre mondiale et sous l'occupation allemande, le fort devient une prison politique. Jusqu'en 1967, la tour garde son rôle pénitentiaire. Le chantier de l'Ecole Nationale de la Magistrature débute en 1971 et l'école est inaugurée le 12 décembre 1972.


Architecture intérieure

La salle des pas perdus

[rajouter à la suite de : "Les verrières, invisibles de l'extérieur, ont été dotées de vitraux contemporains, réalisés par le maître bordelais Bernard Fournier de 1996 à 1999"] Les inscriptions murales dorées au dessus des portes des salles d'audience rappellent l'ancienne disposition du bâtiment. En effet, le Tribunal de Grande Instance se trouvait côté est et la Cour d'Appel côté ouest.

[rajouter à la suite : "les statues de Montesquieu et Montaigne"] respectivement président à mortier et conseiller près du Parlement de Bordeaux.

[rajouter à la suite de : " Elle rend hommage à l'auteur de l'ouvrage juridique de référence De l'esprit des lois (1748)"] Cette statue rend hommage à Montesquieu qui a été président de chambre pendant de nombreuses années, en le représentant en costume d'époque , drapé d'une toge.


Les salles d'audience

[rajouter à la suite de la seule phrase ou crée un sous titre Salle "Montesquieu"] Sous Napoléon III, la salle dite "Montesquieu" devient la plus prestigieuse de la cour. De part et d'autre sont apposés un portrait de Napoléon III et celui de Napoléon Ier. L'espace est séparé à l'origine en trois espaces : l'entrée se compose d'un sol en pierre avec une barrière aujourd'hui supprimée qui permettait aux justiciables d'attendre l'appel de leur affaire. Plusieurs inscriptions se situent dans la salle. Au plafond est indiqué jus romanum, droit des Romains ; au-dessus de la porte le nom Justinien, le juriste célèbre qui a influencé l'ancien droit ; face à lui au plafond code Napoléon ; sur le mur au fond le nom de Napoléon Ier. Cette disposition symbolise une nouvelle justice, l'empereur des Français succède à l'empereur des Romains. Un plancher en chevrons au centre où se tiennent les spécialistes du droit. Des marches séparent la cour sur un sol de marqueterie et marquent sa hauteur et sa majesté. Une peinture de Duvignau située au-dessus des conseillers symbolise une allégorie de l'esprit des lois. Les Perses situés à droite du tableau commentent leur courrier ; en bas un soldat romain et au milieu s'échappe l'esprit des lois de l'urne funéraire de Montesquieu. La répartition des magistrats du siège de la cour se fait en deux rangées autour du trône du premier président (un fauteuil est à disposition de chaque président, un protocole règle l'emplacement en fonction de l'ancienneté et du grade). A gauche du procureur général se placent les magistrats du parquet général, à droite le greffier en chef est encadré par les fonctionnaires du greffe.

Couscousbis (discuter) 24 octobre 2022 à 19:12 (CEST)[répondre]

page wiki palais thiac[modifier le code]

source : Journées européennes du patrimoine 2022 | Cour d'appel de Bordeaux (justice.fr)

Architecture d'intérieure

La salle des pas perdus

[rajouter à la suite : "Elle rend hommage à l'auteur de l'ouvrage juridique de référence De l'esprit des lois (1748)"] Dans le cadre des 1% culturel, une statue de l'artiste bordelais contemporain Nicolas Milhe a été érigée le 7 juin 2014 en hommage à Montaigne. L'artiste a voulu représenter le caractère contemporain de l'écrivain par une tenue anachronique avec des habits du XXIe siècle : un costume cintré et une montre. L'inscription sur le socle de la statue extraite des Essais : "je ne peins pas l'être, je peins le passage" affirme cette volonté d'un Montesquieu proche de nous.


Les salles d'audience

[rajouter à la suite de la seule phrase ou crée un sous titre Salle "Montesquieu"] Il s'agit de la salle la plus richement ornée. Elle a été décorée sous Napoléon III. Il y a beaucoup de références au droit romain voulu par Napoléon Ier puis par Napoléon III. Le plafond à caissons comporte plusieurs inscriptions. Au centre, sont représentées les armoiries Bonaparte : aigle, couronne, sceptre, main de justice, grand collier de l'Ordre de la Légion d'honneur, manteau doublé d'hermines. Les emblèmes de tout la région entourent le blason. Des noms de divers juristes célèbres sont inscrits sur les murs de la salle.

[description du tableau ajout d'informations] En haut à droit est représentée la déesse Athéna, à gauche un temple circulaire grec, un tholos. En bas à droite, des hommes en habits orientales, sans doute une références aux Lettres persanes de Montesquieu, à gauche un légionnaire abattu. Les références romaines sont nombreuses, en effet sous l'empire de Napoléon Ier et le 2nd Empire avec Napoléon III, l'époque romaine est une période historique très riche, glorieuse et prestigieuse. D'autres références de Montesquieu se trouvent dans le tableau. Une référence régionale avec en arrière fond à gauche le porte de la lune et le mortier situé en bas à droite de l'urne funéraire qui représente l'écrivain comme magistrat et président de chambre.

Couscousbis (discuter) 25 octobre 2022 à 17:34 (CEST)[répondre]

brouillon fiche wiki palais thiac[modifier le code]

Brouillon pour la fiche wiki palais thiac

copié collé de la fiche plus ajout d'informations dont les sources sont :

https://www.cours-appel.justice.fr/sites/default/files/2022-03/HISTOIRE%20ET%20PATRIMOINE.pdf les parties qui proviennent de cette source sont en gras

https://www.cours-appel.justice.fr/sites/default/files/2022-02/Palais%20Thiac%20-%20flyers.pdf les parties qui proviennent de cette source sont soulignées

https://www.cours-appel.justice.fr/bordeaux/journees-europeennes-du-patrimoine-2022 les parties qui proviennent de cette source sont en italique

Architecture intérieure[modifier le code]

La salle des pas perdus[modifier le code]

Passé le péristyle, se trouve une vaste salle des pas perdus rectangulaire de plus de 1 000 m2. Elle est le lieu de rencontre entre les parties et leurs avocats, et dessert les différentes salles d’audience. Son architecture est rythmée par des colonnes mêlant le dorique et l'ionique, qui supportent de fausses tribunes. Les verrières, invisibles de l'extérieur, ont été dotées de vitraux contemporains, réalisés par le maître bordelais Bernard Fournier de 1996 à 1999. Les inscriptions murales dorées au-dessus des portes des salles d'audience rappellent l'ancienne disposition du bâtiment. En effet, le Tribunal de Grande Instance se trouvait côté est et la Cour d'Appel côté ouest.

Aux deux extrémités de cette salle se trouvent les statues de Montesquieu et Montaigne, respectivement président à mortier et conseiller près du Parlement de Bordeaux. La première, sculptée par Nicolas Raggi, provient d'un cadeau offert en 1821 par le roi Louis XVIII à la cour civile royale siégeant alors dans l'ancien collège de Guyenne. Elle rend hommage à l'auteur de l'ouvrage juridique de référence De l'esprit des lois (1748). (La statue de Montaigne a quant à elle été façonnée en 2004, par le sculpteur bordelais Nicolas Milhé. Il est représenté de façon anachronique en habit du xxie siècle pour manifester le caractère contemporain du personnage.) Dans le cadre des 1% culturel, une statue de l'artiste bordelais contemporain Nicolas Milhe a été érigée le 7 juin 2014 en hommage à Montaigne. L'artiste a voulu représenter le caractère contemporain de l'écrivain par une tenue anachronique avec des habits du XXIe siècle : un costume cintré et une montre. L'inscription sur le socle de la statue extraite des Essais : "je ne peins pas l'être, je peins le passage" affirme cette volonté d'un Montesquieu proche de nous.

Les salles d'audience[modifier le code]

Le bâtiment compte 14 salles d'audience. La Cour d'assises est au centre du bâtiment, tandis que sur les côtés sont situés les salles de la cour d'appel et du conseil des prud'hommes.

[ajout d'un sous-titre pour la salle Montesquieu]

La salle "Montesquieu"[modifier le code]

Il s'agit de la salle la plus richement ornée, décorée sous Napoléon III. De part et d'autre sont apposés un portrait de Napoléon Ier et celui de Napoléon III.

L'espace est séparé à l'origine en trois espaces : l'entrée se compose d'un sol en pierre avec une barrière aujourd'hui supprimée qui permettait aux justiciables d'attendre l'appel de leur affaire. Au-dessus de la porte le nom Justinien, le juriste célèbre qui a influencé l'ancien droit ; face à lui au plafond code Napoléon ; sur le mur au fond le nom de Napoléon Ier. Cette disposition symbolise une nouvelle justice, l'empereur des Français succède à l'empereur des Romains.

Un plancher en chevrons au centre où se tiennent les spécialistes du droit. Des marches séparent la cour sur un sol de marqueterie et marquent sa hauteur et sa majesté. Une peinture de Duvignau située au-dessus des conseillers symbolise une allégorie de l'esprit des lois. En haut à droit est représentée la déesse Athéna, à gauche un temple circulaire grec, un tholos. En bas à droite, des hommes en habits orientales, sans doute une références aux Lettres persanes de Montesquieu, à gauche un légionnaire abattu. D'autres références de Montesquieu se trouvent dans le tableau. Une référence régionale avec en arrière fond à gauche le porte de la lune et le mortier situé en bas à droite de l'urne funéraire qui représente l'écrivain comme magistrat et président de chambre.

La répartition des magistrats du siège de la cour se fait en deux rangées autour du trône du premier président (un fauteuil est à disposition de chaque président, un protocole règle l'emplacement en fonction de l'ancienneté et du grade). A gauche du procureur général se placent les magistrats du parquet général, à droite le greffier en chef est encadré par les fonctionnaires du greffe.

Il y a beaucoup de références au droit romain voulu par Napoléon Ier puis par Napoléon III. Le plafond à caissons comporte plusieurs inscriptions. En premier est indiqué jus romanum, droit des Romains. Au centre, sont représentées les armoiries Bonaparte : aigle, couronne, sceptre, main de justice, grand collier de l'Ordre de la Légion d'honneur, manteau doublé d'hermines. Les emblèmes de tout la région entourent le blason. Des noms de divers juristes célèbres sont inscrits sur les murs de la salle. Les références romaines sont nombreuses, en effet sous l'empire de Napoléon Ier et le 2nd Empire avec Napoléon III, l'époque romaine est une période historique très riche, glorieuse et prestigieuse. Couscousbis (discuter) 25 octobre 2022 à 19:10 (CEST)[répondre]