Discussion:Vêpres

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structure de l'office de vêpres pour la liturgie catholique romaine:

office actuel, depuis la réforme liturgique Vatican 2 en usage pour l'Eglise de FRANCE:

[1] VEPRES:

-un verset d'introduction

-hymne( variable en fonction du temps liturgique ou de la fête)

-deux psaumes (avec antiennes du temps ou de la fête);les psaumes sont répartis sur quatre semaines-(ainsi on indique pour repére:psautier première semaine..deuxième semaine)

-un cantique du nouveau Testament(cantique EPHESIENS pour les premières vêpres dimanche,Apocalypse 19 : deuxièmes vêpres dimanche etc....

[2]


-une lecture biblique(en fonction du temps ou fête)


-le cantique évangélique(le Magnificat)


-une prière litanique

-la prière "Notre Père"

-la prière de conclusion(propre au jour ou à la fête)

-la formule de bénédiction finale

Notes et références[modifier le code]

  1. liturgie des HEURES coédition:CERF.DESCLEE.DESCLEE DE BROWER MAME (présentation 4 volumes couvrant l'année liturgique ou présentation en 1 volume "priére du temps présent" complété par le "livre des jours"(pour les lectures de "office des lectures")
  2. pour la liste détaillée des cantiques du nouveau Testament, utilisés on peut consulter l'ouvrage PSAUTIER (version oecuménique texte liturgique) CERF 1992 désignés NT 4 et suivants p334 à342

lien avec le mot grec[modifier le code]

L'article dit que vesper est une translittération du mot grec. Ces deux langues étant soeurs, il y a des multitudes de mots latins qui correspondent à des mots grecs, avec souvent en grec un "h" initial (pour remplacer un v ou un s initial en latin) : sex-hexa, septem-hepta, centum-hecto, vicus-oikos, vigeo-hygiès, vinum-oinos etc. Ceci ne signifie en aucune manière que le mot latin soit une "translittération" du mot grec, mais simplement qu'il y a une origine commune (a fortiori si ce mot est présent dans beaucoup d'autres langues indo-européennes). Vesper se trouve chez Plaute et Cicéron. Il y avait bien un nom pour désigner le soir en latin ancien ! Bref, ce n'est pas une translittération du mot grec. --Plijno (d) 9 février 2011 à 09:16 (CET)[répondre]

Structure de l'office avant le concile Vatican II et la réforme de la liturgie[modifier le code]

Je note quelques imprécisions, voire erreurs.

L'article décrit les rubriques entrant en vigueur en 1960 avec le nouveau Codes des rubriques qui remplace les rubriques de 1568, dites tridentines. Mais on ne le mentionne pas. Par exemple, le dimanche, les féries (ordinaires, privilégies, majeures ou mineures) et les fêtes semidoubles ou simples, on n'entonne que le début de l'antienne avant de chanter le psaume. C'est seulement après 1960 qu'on chante l'antienne avant et après le psaume aux vêpres quelque soit le rang de l'office. Par ailleurs, l'antienne des heures mineures, y compris les complies est aussi chantée deux fois, avant et après les psaumes, selon les rubriques de 1960, mais on l'entonne seulement avant cette réforme, même les jours double de 1ère classe.

Le verset n'est pas toujours biblique, surtout aux fêtes.

Au Carême, l'oraison des vêpres fériales y compris aux fêtes où on en fait mémoire, est plutôt la prière sur le peuple (super populum), non pas celle de la messe (le collecte).

Les rubriques pour les prières fériales (les preces) sont largement modifiées par la réforme de Jean XXIII. On les dit le mercredi, le vendredi et aux samedis des Quatre Temps pendant les temps de l'Avent et du Carême ainsi qu'aux Quatre Temps du mois de septembre, si l'office est du temps.

Avant, on les récitait tous les jours de ces deux saisons, lorsque l'office était du temps, ainsi qu'aux Quatre Temps du septembre, encore si l'office était de la férie. On devrait modifier substantiellement le texte actuel.

Quant aux mémoires, le nombre est substantiellement réduite aux vêpres suite à la réforme de 1960, mais il faudrait à mon avis récrire l'article sur ce point. On fait toujours mémoire de la férie en Avent et au temps du Carême ; pendant les deux temps pénitentiels, on fait toujours mémoire d'une fête de 1ère ou de 2de classe si elle tombe le lendemain après un dimanche où on dit les vêpres du dimanche qui prime sur les premières vêpres. Autrement dit, on omet les premières vêpres des fêtes majeures, dont on fait mémoire seulement. En revanche, l'office festif primait sur le dimanche jusqu'en 1960, même si on célébrait la messe domincale le matin, ce qui était toujours le cas si la Saint-André ou l'Immaculée Conception tombait le lendemain du 1er ou 2e dimanche de l'Avent respectivement…

On ne fait plus aucune mémoire d'un dimanche quand il s'agit d'une fête du Seigneur, y compris de la Trinité.

En ce qui concerne l'office des morts, il y a d'autres choses à noter (simplification ou nature archaïque de l'office, des prières additionnelles ajoutées lorsqu'on récitait l'office par dévotion mais omises la veille des funérailles ou le 1er novembre — pas le 2 novembre — car l'office était de rite double).

On pourrait préciser que le capitule est ordinairement la première phrase ou idée complète de l'épître, soit du jour, soit du temps, celui du temps de l'année restant le même tous les dimanches ordinaires, ou encore celui du commun. Si la messe est propre, on dit encore le capitule du commun, comme au 22 août avec une nouvelle messe propre mais l'office commun sauf l'antienne de Magnificat, à moins qu'il n'existe un office propre avec le capitule tirée de la messe (voir le nouvel office du 15 août).

Johnnygoesmarchinghome (discuter) 22 novembre 2023 à 05:12 (CET)[répondre]