Discussion:Tombeau d'Agnès Sorel

2004-2006

Première version de l'article proposée par [1] --212.195.84.120 5 nov 2004 à 20:33 (CET)

Pas très neutre, la « monstrueuse ogresse bavaroise » pour évoquer Isabeau de Bavière. Il ne manque pas, d'ailleurs, d'historien spour avoir aujourd'hui une opinion plus nuancée au sujet de la mère de Charles VII... 213.36.160.241 6 nov 2004 à 09:29 (CET)

Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose. archeos 6 nov 2004 à 10:16 (CET)

Pour ma part (qui ne suis pas du tout historien je ne rentre donc pas dans le débat) je pense que cette phrase devrait être reformulée. "peut-être à cause de ses appétits que le roi ne pouvait satisfaire à cause de sa folie)" Il y a un "à cause" de trop, il faut faire une autre phrase, mais comme je ne suis pas sûr du sens de la phrase je préfère laisser faire. Par ailleurs, dans la première partie, "Comment la fille de Jean Soreau devint-elle Agnes Sorel ? Fut-elle marié avec Regnaut de Sorel comme le dit Le Vasseur?" n'est pas très encyclopédique, WP n'est pas un roman à suspens. Si on ne sait pas on dit qu'on ne le sait pas c'est tout. Malta 7 novembre 2006 à 21:10 (CET)

Je me suis permis de corriger les fautes d'orthographes et grammaticales indignes d'un Francophone. Je croyait qu'il est de coutume de relire un texte, surtout éligible à être publié, avant de passer à sa publication sur la Toile! [[[Utilisateur:217.148.240.27|217.148.240.27]]]

Assurément ; mais je croyaiS aussi que l'orthographe et la grammaire ne permettaient pas d'écrire "je croyait", surtout dans une phrase stigmatisant des fautes indignes d'un francophone (sans majuscule, à propos ; et de deux)...

Agnès Sorel une humiliation de plus

J’avais lu que Agnès Sorel avait été réinstallée dans la collégiale conformément à ses dernières volontés. Quand je suis entré dans la collégiale, je me suis dirigé en premier au cœur et rien, pas de tombeau ! J’ai du chercher pour le trouver,en fait il est dans un cul-de-sac au fond de allée gauche, former sur la demi périphérique par les murs extérieurs dont l’un comporte une porte qui est condamnée. A son opposé un pilier prolongé d’un refend, reste deux espaces vides de 3 mètres environ, l’un au pied l’autre sur l’un des cotés. Des barrières métalliques très très sobres de 80 cm de haut condamnent l’accès au tombeau, maintenant les visiteur à une distance de 3 mètres de celui-ci. L’endroit est sombre il est éclairé par une œil de bœuf de 50cm de diamètre environ en verre blanc. Il n’y pas d’éclairage électrique, alors que le reste de l’église dispose d’un système récent d’éclairage fonctionnant avec des détecteurs de présence. Les murs sont nus, il y a rien autour du tombeau qui rappelle sont rend royale, ni l’estime et la reconnaissance que lui porte les français, une plaque en plexis glace avec l’inscription ‘’tombeau d’Agnès Sorel maîtresse de Charles VII…. C’est oublier qu’elle à contribué à la reconquête du royaume en formant et animant l’équipe de la reconquête du pays, pire encore pas un symbole religieux même pas un simple crucifie. Ce cul-de-sac est un véritable no man’s land d’athée en un lieu consacré. On est très loin de ses dernières volontés. très loin de la place qu’elle avait moyennant finance retenu pour son tombeau et que l’église avait accepter. Elle est là dans ce recoin sombre véritable humiliation comme si elle en n’avait pas subit accès. Mieux aurait valu la laissé dans le logis royal, ses dernières volontés aurait pas été respectées, mais son honneur aurait été maintenu.

Le haut relief est la partie attractive du tombeau et en particulier le visage. Les parties visibles sont : par le coté gauche, le profil bas du haute relief, par le coté pied, la vu est guerre plus favorable. De par la hauteur du tombeau et la présence des anges, de par son éloignement et par obscurité, le buste et le visage reste non visibles. C’est un grand sentiment de déception que l’on éprouve.

Le deuxième tombeau

On parle toujours du toubeau d'Agnès Sorel, sous entendu celui qui reste. Mais Agnès Sorel eu deux tombeaux, celui que chaque connait à Loche, mais il y eu un 2ème tombeau ou son coeur et ses entrailles furent déposés. Dans un ouvrage de la Bibliothèque Morale de la Jeunesse*1 "Les Hommes Illustres de France" par TH Bachelet nouvelle édition Rouen Megard et C, librairie-éditeurs 1869. où on parle de Colbert, Sully, Richelieu, Sugère, Jacques Coeur. Au chapitre de Jacque Coeur, de la page 87 à la page 91 on parle d'Agnès Sorel et de ses sépultures en ces termes: Conformément à ses dernières volontés, son coeur et ses entrailles furent déposés à l'abbaye de Jumiège dans la chapelle même de la Vierge, où on lui éléva un mausolée en marbre noir, haut d'environ 3 pieds, surmonté d'une statue en marbre blanc Elle y était représentée à genoux, tenant entre ses mains un coeur qu'elle offrait à la sainte Vierge, comme pour la supplier de la reconcillier avec Dieu. Son corps fut trnsporté à Loches...

Donc les entrailles d'Agnès Sorel étaient à Jumiéges, et le Dr Charlier a trouvait des parasites intestinaux Loches ?

• 1 (les ouvrages composant la bibliothèque morale de la jeunesse ont été revus et admis par un comité d'Ecclésiastiques nommé par Son Eminence Monseigneur le Cardinal-Archevêque de Rouen) Prix de fin d'année de mon grand père en institution privée.

le 21 Juillet 2008 Barrachy

Pas de jalousie intempestive: Les cendres furent partagées équitablement entre la Normandie et la Touraine...

Fils ou fille ?

Il est question dans cet article d'un fils, né au Mesnil près de Jumièges, qui serait mort en bas âge. Dans le livre de Jeanne Bourin, elle parle d'une "frèle petite fille"... alors, qui a raison ? Theoliane 30 juin 2007 à 18:43 (CEST)