Discussion:Sven Hassel

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biographie[modifier le code]

J'ai lu presque tous les ouvrages de cet auteur au début des années 70. Déjà à l'époque on murmurait que Sven Hassel n'était pas ce qu'il prétendait être. On racontait aussi que sa femme était une entremetteuse au service des allemands. Voici un site (en anglais) d'un Danois, fils de résistant, qui explique que Sven Hassel n'a jamais combattu comme il le prétend mais qu'il faisait plutôt parti de l'équivalent Danois de la milice.

Même si je n'avais que 15 ou 16 ans à l'époque, ces lectures m'ont laissées la bizarre impression qu'il y avait un peu trop d'aventures pour un seul homme. Je ne sais pas vraiment quoi en penser aujourd'hui mais je tenais à signaler l'existence de ce site. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 213.103.28.170 (discuter)

Hassel indique que 80 % de ses romans est vrai. Ça laisse de la marge. J'ai lu pas mal de ses bouquins, écrits en Espagne, et si j'ai l’impression d’une certaine véracité pour les premiers, elle disparait progressivement quand on quitte le Front de l'Est. Archeos ¿∞? 13 mars 2007 à 15:42 (CET)[répondre]


Réponse à ce texte et au titre assez fiotte sur le sujet . Un intervenant universel sert de nègre perpétuel à toutes les punaises de la critique : on sait son nom = c'est Mr "ON" . <<des rumeurs selon lesquelles les faits rapportés ne sont qu'inventés .....>> et le <<débat > est lancé ! Mais par qui est sur quels faits ?? Des rumeurs selon lesquelles .... // Ou " on a affirmé que ... je trouve que ce genre de propos - mis à part une description de mépris qu'ils inspirent , méritent de demeurer sans une réponse . Tant de fiottes se permettent de juger des actes dont eux même sont de loin incapable de comprendre la nature même , du simple fait que leur confort perso a toujours été leur seul motiof d' action . La rumeur fondée selon la quelle on a des preuves de leur lâcheté abjecte justifie de les oublier . Cordialement .


que de blabla ! Tant de mots pour si peu d'informations

beaucoup trop d'Incohérences ![modifier le code]

J'ai lu beaucoup des livres de Hassel, par hasard, mon épouse en ayant trouvé un exemplaire aux puces , "General SS", j'ai ensuite acquis "La Légion des Damnés", "Gestapo","Monte-Cassino", "Camarades de Front", "Les Panzers de la Mort", "Oubliés de Dieu", "Kommando Reischfürher Himmler", "Je les ai vu mourir", "Liquidez Paris", "Conseil de Guerre", "Les forcenés de l'Enfer", "Bataillon de marche". Ca donne une solide base pour faire une critique de l'auteur.....

La Légions des Damnés, le premier, qu'il a écrit en 1953, est le plus humain, dédicacé à toute une liste de personnes disparues pendant la guerre (ou imaginaires ?) mais cette dédicace contient déjà une chose étrange : dans la liste de préface des personnages auquel ce livre est dédié, on ne se trouve pas le Stabsgefreiter Joseph Porta, fait curieux alors qu'il cite tous les noms de ses compagnons d'infortune, et que Porta est omiprésent durant le récit ?

Un livre n'est dédicacé qu'avec une signature de l'auteur. Là, il est probablement dédié.


Son compagnon Hugo Stege, apparaît dès le premier livre, où même sa mort est décrite. Dans ce premier livre, il est un soldat comme les autres, sans état d'âme, de même que "le Vieux", sensé être le calme et l'autorité tranquille incarnés. Or, dans "Gestapo", Stege devient un pacifiste impénitant, qui critique toute mise à mort, tout combat ! L'auteur, après la reprise du chalet du Lt-Colonel von Virgil, officier d'opérette incapable, aux Russes; déclare à props de Stege "qu'il ne serait jamais un vrai soldat". De même que "le Vieux" devient déja un naïf humaniste dans "Gestapo" et dans "Monte Cassino", ce même personnage devient carrément un incompétent, paniquard et ne prenant aucun risque. Il devient un adjudant qui ne fait que suivre la consigne et a quasiment perdu toute autorité sur sa section (lors du dynamitage du pont, que tous veulent faire sauter, et qui se décide sur une partie de dés). au fil des romans, Alte/le Vieux devient un personnage peu sympathique, très nerveux, il semble même commencer à haïr ses camarades de combat. De plus, c'est un joueur invétéré, qui perd souvent l'argent de sa solde qu'il "comptait" expédier à sa femme et ses trois enfants

Des personnages comme Stege, disparaisse carrément du récit, Porta n'est plus qu'un voleur prêt à tout pour l'argent, ainsi que "Petit-Frère" ; qui avec Porta, ne sont que des pilleurs de cadavres et arracheurs de dents en or.

Toujours dans Monte-Cassino, apparaît le personnage de Gregor Martin, un voleur vidé de son poste de chauffeur de général, qui s'en vante beaucoup, est provocateur et agressif. Le même Unteroffizier Martin, dans "General SS" est devenu un peureux, avec les nerfs à vif et qui s'effondre complètement lors de l'attaque des T-34 contre la Batterie de 88 mm où un canonier est décapité devant lui. C'est un des rares personnages à s'humaniser au front de l'Est.

L'Unteroffizier Heide, apparait dans le second roman (les panzers de la mort) Personne ne sait ce qu'il fait dans ce Régiment disciplinaire, mais dans "Gestapo", on croit comprendre que c'est un ancien membre du parti nazi, dont il a été viré aisnsi que de la SS. Dans ce livre, Heide est aussi anti-nazi que les autres, mais au fil des romans, redevient un fanatique qui lit Mein Kampf tous les jours, pourquoi ? On apprend aussi, dans "Camarades de front" que Heide déteste les Juifs parce que quand il était à l'école, le plus intelligent était un juif, qui l'aidait constament, lui, l'allemand bête. Il en aurait construit un ressentiment haineux envers les Juifs, desquels il se sait moins intelligent. Dans un autre roman, Heide raconte son enfance d'enfant de slums, avec de nombreux frères et sœurs, une mère battue et un père alcoolique violent, qui en arrive à frapper le cadavre de sa femme tellement il est ivre. Voila pourquoi Heide veut rester dans l'armée à tout prix. Hassel prétend qu'il deviendra Lt-Colonel dans l'armée de l'Allemagne de l'Est ...

Bref, trop d'incohérences pour être seulement « plausible ». Les romans de Hassel, écrit en Espagne, semblen être plus devenus de la "littérature alimentaire". Les textes deviennent de plus en plus grossiers, on dirait qu'il cherche à "en remettre une couche", pour vendre ses livres. Honnêtement, ses ouvrages sont répétitifs, fatiguant d'exagérations et d'invraisemblances. Un adolescent aimera, mais un adulte informé trouvera ses livres drôles, puis amusants, puis lassants...

Il faudrait aussi modifier le texte figurant ici, dans l'introduction, on le présente comme un "engagé de force" dans la Wehrmacht, puis dans la biographie, il est clairement fait mention que c'est Hassel lui-même qui s'est engagé dans un régiment de hussard allemands, ce qui explique son changement de patronyme : à l'origine il porte le nom de Pedersen (son père), pui reprend le nom de sa mère, d'origine autrichienne : Hassel.

Personnage nébuleux que cet homme........

Jean-Louis (d) 27 octobre 2008

Bonjour Jean-Louis,
Cela faisait longtemps que je ne vous avais plus vu sur WP ! J'ai lu Les Panzers de la mort (n°2) et Camarades de front (n°3) plusieurs fois, et malgré le réalisme qui se dégage de son récit, je dois avouer que comme vous, de nombreuses incohérences m'ont laissé sur la fin. Vous en avez déjà dressé une longue liste, et il ne me semble pas utile d'en rajouter d'avantage. Ces récits ne semblent pas suivre une quelconque logique (pas de plan chronologique, ni même thématique ; les chapitres semblent avoir étés placés dans un ordre aléatoire). Qui plus est, l'écrivain « s'efface » du récit et préfère ne décrire que les actions de ses camarades, comme s'il n'était pas présent ou qu'il n'avait jamais agit.
Toutefois, si l'on veut remettre en cause la participation de l'écrivain à la guerre, il va falloir mettre des bandeaux de sourçage et de vérifiabilité un peu partout dans l'article ! Erik Haaest, le principal détracteur de Sven Hassel/Pedersen a écrit un livre sur la « vraie vie » de l'auteur, mais il ne m'inspire guère confiance. J'ai parcouru ses textes il y a quelque mois pour en savoir plus sur Sven Hassel, et je trouve l'argumentation de Haaest plutôt légère ; il fait notamment intervenir un enseignant français (Pierre la Mondt) qu'il pense être mort à l'heure actuelle (donc impossible à contacter pour vérifier ses dires), et plusieurs personnes dont on ne saura peut-être jamais s'ils ont vraiment rencontré ce Sven Hassel. À mon avis, ce serait une perte de temps que de vouloir chercher la vérité sur la biographie de Sven Hassel, tant le travail de recherche serait long et fastidieux à mener.
Mais revenons-en aux récits de Sven Hassel. J'aimerais attirer l'attention sur le site web de Sven Hassel. Nous pouvons y lire ceci :

But even so Sven does not give us the eyewitness description. A great part is based on his own experiences, but part is also based on his comrades' stories and as Hassel says, on the author's legitimate right to use free fantasy.
(Traduction : Mais malgé cela, Sven n'écrit pas à la manière d'un témoin oculaire. Une grande partie est basée sur ses propres expériences, mais une partie est également basée sur les histoires de ses camarades, et comme le précise Hassel, sur le droit que possède chaque écrivain de recourir à un peu de fantaisie.)

L'auteur lui-même avoue que ses livres ne sont pas le récit exact de ses aventures, mais un mélange d'histoires ! Ce fait est mentionné dans l'article, avec un euphémisme à peine caché : « Ses romans autobiographiques relatent de manière romancée (notamment quelques chiffres qui sont exagérés) les combats auxquels il aurait participé. » (le souligné est de moi).
Je suis d'avis de trouver une interview ou une préface dans un de ses livres, où il avoue son recours à l'exagération où à l'invention, et de l'indiquer clairement dans l'introduction de cet article. Le site web en lui-même ne semble pas provenir directement de Hassel, mais plutôt de sa maison d'édition ; il ne constitue pas une source suffisante. Tachymètre  13 décembre 2008 à 14:33 (CET)[répondre]

Bonjour Tachymètre ! Ne vous étonnez pas de mon nouveau nom, j'ai dû en changer, mettre son identité réelle n'est pas une chose à faire dans le monde du WEB........ Si je vous dis "MkII" et "Mills Bomb" et "Insignes des Forces armées des Etats-Unis", vous saurez que c'est bien moi. ;-)

Pour revenir à Hassel, Je suis entièrement d'accord, le site "Porta's kitchen" est une reproduction des éditoriaux de ses livres, pas neutres du tout. Je soulève une incohérence "de force" ,trouvée dans "Oubliés de Dieu". C'est au moment où ils envoient un caporal de la Police royale italienne porter une charge d'explosifs (censément du "Toluol" synonyme de Toluène....), sous forme de cigares à l'adjudant-major et chef-mécanicien Wolf, pour une petite vengeance lors de leurs innombrables guéguerres avec ce même Wolf. La bombe est censée se déclencher par radio (??), système fort imprudent, mais bon, elle explose dans la place ou se trouve Wolff et ses comparses. Là où ça devient franchement ridicule, c'est la description de l'explosion d'une petite bombe A.......ou Wolff , je cite : " est projetés avec sa bandes et les chiens accompagnés de 5 tracteurs a travers le mur et se retrouve 500 mètres plus loins dans ce qui fut l'établissement d'un maraîcher"......Grotesque non ? Ca fait rire les adolescents, mais consterne les adultes un peu "au courant".

Thermite2008 (d) 12 avril 2009

Bonjour,
Je reconnais bien là votre style d'écriture ! Je conçois qu'un pseudonyme soit plus agréable à porter, mais pourquoi ne pas avoir simplement demandé à un administrateur de changer le nom de votre compte ? Vous auriez ainsi conservé toutes vos contributions.

Cet article mériterait une refonte, ne serait-ce que pour signaler plus explicitement au lecteur que les faits présentés ici sont essentiellement tirés d'une fiction. Il y a bien une petite remarque timide en haut de la première section, mais elle est vraiment insuffisante.
  • Introduction : corriger ça et signaler que sa vie n'est pas franchement bien connue ;
  • section Biographie : y mettre sa biographie tirée des livres (à supposer que l'on puisse retrouver la chronologie exacte dans ce désordre), et ajouter un bandeau signalant que cette biographie n'est pas la biographie officielle ;
  • les sections sur ses romans sont corrects ;
  • section Polémique : à développer, notamment sur les incohérences historiques ou géographiques (y a de l'information pertinente sur l'article en anglais, comme le fait que certains sites historiques ne le prennent pas au sérieux).
Ça risque de demander beaucoup de travail. Je n'ai malheureusement que deux de ses livres dans ma bibliothèque, et je ne me sens pas capable d'attaquer sa biographie avec si peu d'informations. Je pourrais étoffer un peu la section Polémique et revoir l'intro, si j'en trouve le temps. Je suis actuellement plongé dans la marine américaine, et j'ai deux porte-avions Nimitz sur le feu ! Je reviendrai peut-être sur cet article d'ici deux semaines, pour vous dire si je suis prêt à me lancer.

En attendant, un forum sur lequel je suis tombé à l'instant : [1] (plein de bonnes remarques, mais malheureusement pas assez approfondies). Tachymètre  12 avril 2009 à 16:59 (CEST)[répondre]
Finalement, j'ai bien peur de ne pas pouvoir me lancer dans cet article. Le projet Nimitz me prend plus de temps que je ne l'aurai cru. (Smiley oups) Tachymètre  3 mai 2009 à 13:11 (CEST)[répondre]


IbnFirmas/

Les discussions sur un auteur , quand il sagit d' autobio , doivent-elles toujours et fatalement attirer les descentes de biles et la médisance des gens qui n' ont jamais rien vêcu de plus dramatique que la lecture du bulletin paroissial ? Ces accusations au conditionnel reniflent l' arrière rancoeur glaireuse et la pensée blette du Zoro de bureau .Je trouve que le présent est assez prolixe en cette médisance de proximité, dont la lacheté permise par l' anonymat du Net a explosé l' importance. Celui qui lance ces purulant propos sur la narration de souvenirs dramatiques nous expose ainsi non seulement sa totale méconnaissance de ce genre de littérature de situation , mais encore son outrance dans l' invective pour l' invective avec les questions qu' elle pose sur les motivations réelles de cet acte.

La base de ce genre de Bio est d'abord une sorte d' exorcisme de souvenirs insupportables , un indispensable épanchement , juste pour pouvoir leur survivre . Peut être ensuite ,peut venir un soucis de rédaction ou un intérêt pour les éventuels lecteurs . On trouve ce phénomène dans tous les meilleurs écrits témoignages sur les guerres . Leur intérêt vient précisément de cette écriture directe , la tête encore dans ls sensation et dans l' horreur du souvenir et en général ils forment une documentation de valeur bien supérieure aux chiffres et dates de faits en plomb. "Le soldat Oublié " de Guy Sager peut être posé sur ce même plan = on y trouve les mêmes éléments d' auto médication de survie , comme une base de reconstruction passant par l' écriture. Pour nous , ils constituent un moyen inappréciable d'apprendre ce qu'ont été , vu du raz du sol , des évènements quasiment toujours frelatés dans la description moraliste et orientés à postériori , que sont tous nos manuels d' Histoire. Le manichéïsme " méchant Allemands / Gentils Alliés " , comme tous les autres , bien qu'instrumentalisé par des gens de peu de conscience , ne résiste jamais à cette vision au raz de l' humain . Et c'est pour le lecteur un énorme cadeau qui peut être pourra lui permettre de voir le présent avec un oeil de plus , pour le relief de l' Histoire humano. Si par la suite , la guérison et le succès de librairie viennent permettre une vie meilleure , quel droit avons nous de critiquer une ré-écriture , un mélange de souvenirs , une distance d' avec les dates et faits d'une époque fort dense en évènements ? La science du souvenir n'est pas de celles sur lesquelles on travaille ... pourtant c'est un domaine très fascinant . J' ai moi-même vécu des périodes de très grande densité d' aventures .Il y a un phénomène d' effacement , d' autoprotection qui élimine de notre mémoire , les faits précis qui nous empécheraient de vivre . Il faut vraiment retrouver quelqu'un qui a vêcu ces mêmes choses , pour ré-découvrire par la parole ,l' ampleur de ce qu'on a vêcu . Et c'est alors une réelle ré-découverte, la mêmoire s' étant débarrassée de ce qui lui pesait .

Je trouve qu'il y des livres où on doit prendre ce qu'on peut , mais par lesquels nous n' avons aucun droit de jugement sur l' auteur. L' aspect littérature étant totalement déplacé dans ce cas. Sven Hassel a bien vêcu la WWII sur ces fronts là , et dans les dates d'yceux . Le détail de ses narrations , ce qu'on appelle le " romancé" lui appartient totalement puisque personne n' a vécu à côté de lui pour les contester ou justifier ce terme , et encore ,quel sens celà peut il avoir face à une réalité d'horreur aussi foncièrement humaine ??

Les exégètes de la WWII se trompent de sujet ici ,ce n' est pourtant pas la matière qui leur manque ailleurs sur ce spécifique sujet devenu suffisament malsain pour entretenir tout une littérature de kiosque Blood&Guts.

Que les indigents de la tête qui n'ayant jamais rien vêcu eux mêmes , cherchent à faire de l'introspection sur les souvenirs de survivants de la taille de Svan Hassel aillent se soigner par d' autres moyens . Wikipédia n'est pas le lieu de leur thérapie , ou alors je n' ai pas suivit les dernieres OPA sur le site.

[IbnFirmas]

N'importe quoi ![modifier le code]

Le Monsieur qui accuse Tachymètre et moi de malades mentaux ferait bien de consulter lui même ! Ce sont souvent les plus grands malades qui s'ignorent.... Passons sur les déblatérations qui ont un arrière-gout douteux, le Monsieur prétend avoir "vécu des choses", mais comme tout le monde mon brave ! Si la guerre est une monstruosité, ceux qui donnent les ordres sont pires que les exécutants. Brisons la sur la Guerre ! Ca ne rendra pas les Romans de Hassel plus cohérents. Mais je vous suis sur un point important : Le temps appartient à l'auteur ! Du moins ceux qui écrivent de PURS ROMANS ! Exactement comme pour les romans d'Arthur C. Clarke et sa série sur le MONOLITHE NOIR. Entre le premier : "2001 : L'Odyssée de l'Espace", et le dernier "l'Odyssée Finale", il n'y a que des rapports ténus, mais il existe le "fil rouge" des Monolithes, donc la fonction devient de plus en plus "banale" et dangereuse au fil des romans.

Chez Hassel, rien de tout cela! Il prétend que ses livres sont en partie biographiques et autobiographiques, mélangé avec de la fantaisie. Hassel n'est PAS un PUR ROMANCIER. Le simple fait d'avoir recours à la "réalité historique" ne lui permet plus de jouer avec le temps, et c'est facilement prouvable.


Vous devriez lire tous ses Ouvrages ; comme je l'ai fait, cher Monsieur. Excuser moi de beaucoup lire, mais chez moi, je ne reçois pas de Bulletin Paroissial......et je ne regarde pas la télévision.....

Bien Cordialement Jean-Louis Dubois (d) 21 juillet 2010 à 14:02 (CEST)[répondre]

Inutile de t'énerver Jean-Luc. IBNFIRMAS est un contributeur qui a été viré de Wiki après moins de 100 contributions notamment pour antisémitisme frénétique et autres sorties inacceptables dont ce qui précède n'est qu'un pâle échantillon. Bref, inutile de gâcher ton temps et ton énergie à répondre à ses inepties. Cordialement. --Lebob (d) 21 juillet 2010 à 16:38 (CEST)[répondre]







MERCI !


Ces luttes sur qui a raison concernant les romans de guerre de Sven Hassel me font doucement marrer. Je ne leur vois que cette utilité. Merci.