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Discussion:Quarante tueurs

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Il ne manque qu'une chose à ce résumé : l'essentiel. Essentiel qui n'est certainement pas le très vague scénario, lâchement inspiré du combat des frères Earp à O.K. Corall. Non, l'essentiel réside en trois scènes magistralement tournées :

_ La scène d'introduction, filmée quasiment entre les jambes des (censément 40, mais allez savoir) chevaux.

_ La scène de "bisonnage" (il semblerait que Wyatt Earp ait pratiqué la méthode) où le héros assomme d'un coup de crosse un adversaire armé.

_ Enfin la scène finale, qui semble maltraitée, peut-être par les producteurs (À Hollywood, il faut toujours un happy end)... Disons ce que j'estime être la vraie scène finale : le héros tire sur sa douce, prise en otage par le méchant ; le dit méchant, un peu interloqué (on le comprend) lâche la dite douce ; et le héros en profite pour le flinguer. En enjambant sa douce (je caricature à peine), il lâche : "Elle survivra". Coupez, s'il vous plaît. (En dépit de sa réelle esthétique, la scène suivante ne vaut pas la peine d'être vue : elle survit, elle ne lui en veut pas, lui non plus, et il vivront longtemps et auront beaucoup d'enfants.)

Ces trois scènes, plus peut-être quelques images ça et là, rachètent largement le coté kitsch du reste (surtout des scènes chantées -- ou dirai-je bêlees ? -- Mais ce peut être une question de goûts et de couleurs), et font de ce western un des plus réussis du genre. Et du reste de tous les genres. --Pasccal (d) 28 juillet 2011 à 23:25 (CEST)[répondre]