Discussion:Philippe-Laurent Pons de Verdun

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

--Markadet∇∆∇∆ 26 août 2006 à 00:31 (CEST)[répondre]

Commentaires sur sa vie et son oeuvre[modifier le code]

Selon Jacques Boileau "un esprit rusé, généreux, mais profondément idiosyncratique".

Grand précurseur du nazisme, inspirateur premier de Gérard De Villiers (qui lui dédia "Mission à Moscou"), Pons de Verdun théorisa dès ses jeunes années la suprématie d'une race blanche et chrétienne, bien élevée au bon goût néo-classique.

Il dénigre tout sémitisme et toute bamboulie, abuse ses esclaves nègres (qui le pardonnaient systématiquement, toujours selon Boileau). Les postures pédérastes adoptées dans les salons culturels de son siècle le révoltaient au plus profond de son âme, il en acquit une haine farouche des homosexuels de tous bords, et refusait de leur accorder le moindre poid electoral dans sa commune de Verdun.

A ce sujet, le Major Günther Wildeschwein témoigna dans une lettre à l'état major Prussien en 1871 "Les sodomites d'Alsace-Lorraine étaient bien contents quand on est arrivés, parce qu'ils n'avaient pas le droit de voter et subissaient régulièrement les assauts de chiens spécialement dressés pour leur mordre les mollets. Heureusement qu'on les a fusillés aussitôt.".

Colonialiste convaincu, ses négrillons étaient réputés endurants, disciplinés et faisaient la joie des cercles royalistes de l'époque qu'ils divertissaient en éxécutant des danses aussi éxotiques que sodomitiques.

Le but de Pons de Verdun a toujours été de prouver que le style des Saintes écritures est toujours chaste, en parlant des choses qui le sont le moins. L'inceste, la zoophilie, la pédophilie et la scatologie occupaient une place importante au sein de son oeuvre poétique, dont voici un des exemples les plus représentatifs :

« Maintenant qu'il fait chaud, ta chemise déboutonne.
Maints vits et étrons flottent en ta gorge brunie,
Jus de verge innonde les jardins de Babylone,
Oyé ! Oyé !
Poête, prend ton luth et me donne un baiser,
Le phallisme le plus débordant m'étreint,
Abraham, oui, Abraham ne t'aurait point sacrifié,
Fils d'Israël, mouton galeux et buisson ardent,
Yahvé, mon amour. »

Primé par l'Académie, ce poème attira de nouvelles éloges de la part de Boileau : "Pons de Verdun a littéralement, et j'insiste sur ce fait, holocausté toutes les conventions de la poésie classique à travers ce sonnet évocateur et profondément mystique."

Certains auteurs lui prêtent une appartenance prolongée à la secte des Illuminés de Bavière, mais il ne s'agit là que de pure spéculation.

Pons de Verdun mourrut brutalement aux Indes françaises après avoir été piqué par un moustique et s'être vidé suite à une forte crise de dysentrie. Il fut incinéré, et ses cendres dispersées dans l'océan. Il survécut à son grand ami Boileau et à ses négrillons.

Le contenu ci-dessus a été retiré de l'article jusqu'à ce qu'il soit sourcé et reformulé dans un style plus neutre. S'il s'avère invérifiable, il sera effacé. DH | | 20 août 2006 à 10:48 (CEST)[répondre]

Une mauvaise plaisanterie[modifier le code]

Il est évident que ce passage supprimé est une sottise ; ce qui étonne c'est qu'elle n'ait pas tout de suite été revertée comme telle. Aujourd'hui, où le sens de la poésie est complètement perdu, un prétendu « poète » pourrait écrire des « vers » comme ceux-là sans se faire siffler, mais à l'époque le premier venu aurait remarqué qu'il n'y avait ni rythme ni rime.

Et que dire de ce

Poête (sic), prend (re-sic) ton luth et me donne un baiser,

copié bien sûr dans la Nuit de Mai d'Alfred de Musset ? Gustave G. 26 août 2006 à 05:27 (CEST)[répondre]