Discussion:Les Gracques (politique)

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Propos de Hollande en 2011[modifier le code]

Merci Celette Émoticône pour avoir enrichi cet article, confidentiel en nombre de vues mais plus qu'intéressant en connaissances de fond. Pourriez-vous donner ici le passage précis de l'article de Vanity Fair selon lequel Hollande aurait vanté en 2011 « l'offre plutôt que la demande, le redressement des comptes publics ou encore la compétitivité des entreprises », selon votre rédaction ? Je pense que ça peut venir enrichir l'article sur François Hollande, qui évoque à plusieurs reprises son positionnement sur le sujet (difficile à cerner). --EB (discuter) 9 juillet 2017 à 12:14 (CEST)[répondre]

Notification Erik Bovin :
  • « Le déjeuner, se souvient aujourd'hui le trésorier du club, Éric Lombard, a lieu au Royal Monceau, avenue Hoche. Dans l’atmosphère feutrée du restaurant du palace, François Hollande, vainqueur de la primaire socialiste et candidat désigné pour la présidentielle, rencontre les plus éminents représentants des Gracques. Quelques mois avant de lancer sa campagne, il leur répète ce qu'il a déjà esquissé trois ans plus tôt lors de leur université d'été. L'offre plutôt que la demande. S'il est élu, « le redressement des comptes publics » et « la compétitivité des entreprises » (les deux mamelles de la politique de l'offre) seront ses priorités. Évidemment, il se garde bien de le dire en public. Depuis la défection de DSK, les Gracques se sont toujours tous rangés derrière le député de Corrèze. Mais ils l'ont suffisamment fréquenté pour redouter son art du double, voire du triple discours. Heureusement, il y a Emmanuel Macron ».
  • Et ça aussi d'intéressant : « Tous sont persuadés que les envolées lyriques du Bourget ne sont qu'un leurre destiné à la gauche de la gauche et à « ce pauvre Aquilino Morelle qui, parce qu'il est le nègre de Hollande, s'imagine avoir pris le contrôle de son cerveau ». Ils s'inquiètent d'autant moins que Dominique Villemot, fidèle « hollandais » au coeur du « vrai » programme de campagne, est devenu depuis peu - ce que personne, en dehors des cercles informés, n'a jamais su - le vice-président des Gracques. Ils savent surtout que cet avocat fiscaliste, issu comme Jouyet et Hubac de la promotion Voltaire de l'ENA (la « cuvée présidentielle »), se démène pour enterrer la taxe de 75 % sur les hauts revenus. Une idée de Morelle que Macron a lui-même exécutéé d'une formule assassine : « Les 75 %, c'est Cuba sans le soleil ! ». Bref, les Gracques attendent que la campagne passe. Après l'élection, tout rentrera dans l'ordre. « Votez Hollande ! » serinent-ils à leurs amis du CAC 40, lassés de Sarkozy, mais qui hésitent à sauter le pas ».
Celette (discuter) 9 juillet 2017 à 16:46 (CEST)[répondre]
Notification Celette : Merci beaucoup ! Je vais exploiter ça de ce pas dans l'article de Hollande. Si vous pouvez me donner la pagination de chacune des deux parties (surtout la première), ce serait parfait. Émoticône sourire --EB (discuter) 10 juillet 2017 à 00:57 (CEST)[répondre]
Comme sur l'article : « Marie-France Etchegoin, « Conseils d'amis », Vanity Fair n°25, juillet 2015, pages 112-117 et 149-153. » ou voulez-vous la page exacte ? Celette (discuter) 10 juillet 2017 à 02:23 (CEST)[répondre]
Non c'est OK, j'aurais dû devenir par moi-même Émoticône --EB (discuter) 10 juillet 2017 à 07:49 (CEST)[répondre]