Discussion:Les Contes d'Hoffmann

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Renommage[modifier le code]

Pourquoi cet article a-t-il été renommé avec l'ajout de (Offenbach) ? En l'absence d'homonymie, les titres comportant des parenthèses sont à proscrire. Merci de m'expliquer. PieRRoMaN 8 décembre 2006 à 17:39 (CET)[répondre]

Sources littéraires à corriger[modifier le code]

Les sources littéraires indiquées initialement (Der Sandmann, Rat Krespel et Das verlorene Spiegelbild) semblent en partie inexactes. Voici celles qui sont données par l'article allemand  : « Der Sandmann, Rath Krespel und Abenteuer in der Silvesternacht ». Détaillons :
- Olympia : un épisode de Der Sandmann, en français : "L'Homme au sable", des Contes nocturnes (Nachtstücke, 1817).
- Antonia : Rath Krespel, connu en France sous deux titres : "Le Violon de Crémone" ou "Le Conseiller Crespel", rattaché aux Frères de Saint-Serapion (Die Serapionsbrüder, 1819).
- Giulietta : Abenteuer in der Silvesternacht, en français : "Les Aventures de la Nuit de la Saint-Sylvestre", des Fantaisies à la manières de Callot (Fantasiestücke in Callots Manier, 1814)
Montriveau (d) 27 décembre 2009 à 20:58 (CET)[répondre]

J'essaie d'être assez complet sur les sources littéraires du livret, qui cite aussi Petit Zachée, par exemple. Je mets toutes ces informations en notes.Montriveau (d) 28 décembre 2009 à 08:42 (CET)[répondre]
Précisions très utiles... même si ce n'était pas à proprement parler une erreur (Das verlorene Spiegelbild étant visiblement un des titres allemands de L'Histoire du reflet perdu). Les informations méritant plus qu'une note, j'en ai fait une section Sources. J'en ai profité pour réorganiser et compléter l'article en attendant d'autres bonne volontés, par exemple pour compléter la Bibliographie ou « bleuir » les liens rouges. Cordialement, --V°o°xhominis [allô?] 28 décembre 2009 à 15:30 (CET)[répondre]
Merci pour votre sympathique intervention. Il manque encore d'autres références aux contes d'Hoffmann. J'ai mis en note la référence à Petit Zachée mais elle mériterait peut-être d'être aussi dans le texte, car Klein Zach est un air très célèbre (qui résume en une seule chanson un "roman court" de 150 pages). La page allemande signale d'autres sources comme : Signor Formica. Dans le film de Powell et Pressburger il y a des références à Don Juan, sur lequel Hoffmann a écrit un conte où une cantatrice meurt d'avoir trop bien chanté Donna Anna, ce qui renvoie à Antonia. Montriveau (d) 28 décembre 2009 à 23:10 (CET)[répondre]
C'est en effet parfaitement digne d'intérêt et a été ajouté ipso facto... sous réserves de vérifications en langue originale par des contributeurs compétents ! Cdlt, --V°o°xhominis [allô?] 29 décembre 2009 à 01:40 (CET)[répondre]
Merci encore. Comme dernière (?) source des librettistes (il faudrait retrouver le texte original de la pièce de 1851), je me demande si l'idée et la caractérisation du personnage d'Hoffmann (le héros de l'opéra) ne vient pas surtout des biographies d'Hoffmann (l'écrivain) publiés par les traducteurs des contes, en particulier par le premier d'entre eux, Loève-Veimars, qui en 1833, en guise de tome XX des "œuvres complètes" de l'écrivain allemand, publia sa propre Vie de E.T.A. Hoffmann, d'après des documents originaux. Cette biographie se trouve au début d'une réédition collective (mais incomplète) en 2 volumes en 1843. Malheureusement, la réédition dans les deux premiers volumes en Garnier-Flammarion (par José Lambert, professeur à la Katholieke Universiteit Leuven, 1979-1980) des Contes fantastiques d'Hoffmann (en fait, l'édition de la "traduction-adaptation" qui a rendu célèbre Hoffmann en France), contient tous les contes réédités en 1843 ... mais pas la biographie, dommage ! car, selon J. Lambert, elle est elle-même un "conte fantastique"... Cependant, on y trouve une courte note préliminaire par Loève-Veimars, dont on peut extraire ce bref portrait d'Hoffmann (l'écrivain) qui semble bien anticiper le personnage de l'opéra, et qui mérite peut-être d'être cité :

« Hoffmann dessinait, il composait des vers, de la musique, dans une sorte de délire ; il aimait le vin, une place obscure au fond d'une taverne ; il se réjouissait de copier des figures étranges, de peindre un caractère brut et bizarre ; il craignait le diable, il aimait les revenants, la musique, les lettres, la peintures ; ces trois passions qui dévorèrent sa vie, il les cultivait avec un emportement sauvage ; Salvator (Rosa, l'artiste italien du 17e siècle, héros du conte Signor Formica), Callot, Beethoven, Dante, Byron, étaient des génies qui réchauffaient son âme ; Hoffmann a vécu dans une fièvre continuelle ; il est mort presque en démence.  » Montriveau (d) 29 décembre 2009 à 08:48 (CET)[répondre]