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Discussion:Légation chinoise à Lhassa/Archives

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Guerre d’édition au sujet de l'expédition allemande au Tibet (1938-1939)[modifier le code]

Ma contribution ayant été annulée à trois reprises par Utilisateur:Elnon, je dépose ici mon argumentation sur un point de détail:

  • La citation d’un livre sur l’expédition allemande au Tibet est utilisée dans le présent article : « Not that mail was Schäfer’s only means of communication: the Chinese legation let him use their radio » « Non pas que le courrier postal était l’unique moyen de communication: la legation chinoise lui permit d’utiliser leur radio ». A noter que cette phrase ne concerne que le séjour à Lhassa qui dura deux mois sur les 17 mois de l’expédition.
  • Avant mon intervention, la citation était traduite ainsi : « Pendant les deux mois de son séjour à Lhassa, Ernst Schäfer resta en contact avec son pays grâce au courrier postal mais aussi à la radio de la mission chinoise mise gracieusement à son service ». Pas de problème à priori, mais cette information a sa place dans un article sur l’expédition allemande et non sur la légation chinoise. En effet, les services postaux ne concernent en aucune manière la légation chinoise qui ne jouait aucun rôle sur les services postaux tibétains de l’époque.
  • Le 13 mai, je reformule donc la phrase en adéquation avec la source et en supprimant l’information sur la poste qui ne concerne pas la légation. Je mets également la légation comme sujet de la phrase (puisqu’il s’agit d’un article sur la légation et non sur l’expédition allemande) : « La légation chinoise permit à Ernst Schäfer d'utiliser la radio de la légation. ». Mon résumé justificatif explique parfaitement les raisons de mes modifications : « plus proche de la source. Retrait du passage sur la poste qui ne concerne pas la légation chinoise »
  • Quelques heures plus tard, Elnon supprime ma modification et réinsère une formulation centrée sur Schäfer qui induit le lecteur en erreur par son omission des autres moyens de communication dont disposait Schäfer pour rester en contact avec son pays : « Grâce à la radio de la mission chinoise mise gracieusement à son service, Ernst Schäfer resta en contact avec son pays pendant les deux mois de son séjour à Lhassa ». Elnon remet également en place les fioritures non-encyclopédiques (« mise gracieusement à son service ») et que l’on ne retrouve pas dans la source qui se borne à décrire le représentant chinois comme un « excentrique accro à l’opium »
  • Une heure plus tard, Elnon annule à nouveau ma contribution et remet en place la version de la radio « mise gracieusement à son service » afin de permettre à Shäfer de pouvoir rester en contact avec son pays (« Grâce à la radio de la mission chinoise mise gracieusement à son service, Ernst Schäfer resta en contact avec son pays pendant les deux mois de son séjour à Lhassa »). Elnon précise dans son résumé justificatif « Il s'agit bien d'une activité de la mission chinoise. », comme si les Télécoms chinois de l'époque étaient responsables des communications entre le Tibet et le reste du monde… Interprétation toute personnelle et argumentation bien facétieuse, la Mission britannique à Lhassa avait depuis les années 1930 installé une liaison radio, et la Chine n'entretenait aucune « activité » de ce type au Tibet.
  • Le 12 juin, je remets en place la version factuelle fidèle à la source (« La légation chinoise permit à Ernst Schäfer d'utiliser la radio de la légation. ») en détaillant à nouveau patiemment l’argumentation dans le résumé justificatif (« Plus proche de la source. Il était par ailleurs en contact également à travers la poste »)
  • Le 15 juin, Elnon annule pour la troisième fois ma contribution avant la justification suivante en résumé « Rien n'interdit de mentionner que Sch. est en contact avec son pays aussi bien par radio que par courrier »), ce qui n’a bien évidemment rien à voir avec l’article sur la légation chinoise, puisque cette dernière n’était bien sûr pas responsable des postes tibétaines.

Je vais donc remettre pour la quatrième fois une version à la fois factuelle, fidèle à la source, et centrée sur la légation chinoise. Ce n'est pas normal que l'on doive s'y prendre à quatre reprises pour insérer des modestes corrections et améliorations qui ne prêtent pas à controverse.--Tiger Chair (discuter) 15 juin 2017 à 13:48 (CEST)[répondre]