Discussion:Fernand Bonnier de La Chapelle

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Article à revoir ![modifier le code]

J'ai modifié un passage qui sous-entendait que Giraud était intéressé dans l'assassinat de Darlan pour prendre sa place ! Mais il reste du boulot ! cette histoire n'est pas très jolie, comme tout assassinat, et embrouillée. En un mot elle demande de la prudence... La mort de Darlan arrangeait beaucoup de monde, beaucoup d'ambitions s'opposaient et l'exaltation était partout présente. Que Bonnier ait été manipulé parait vraissemblable d'autant plus qu'il a agit seul. Manipulé par qui ? Tant que nous n'en saurons pas plus, évitons les sous-entendus et les allusions partisanes --Elarance2 (d) 1 septembre 2010 à 17:49 (CEST)[répondre]

Ca n'a pas traîné...[modifier le code]

L'exécution de Fernand Bonnier de la Chapelle le lendemain même de l'assassinat de l'amiral Darlan laisse supposer qu'il était urgent de "faire taire" le jeune monarchiste. Sinon, il aurait pu révéler des vérités compromettantes pour certains hommes politiques ou personnalités militaires tant de Vichy que de la France Libre. Maurice47 (d) 2 août 2011 à 21:53 (CEST)[répondre]

Qui a tué Darlan ?[modifier le code]

80 ans après, le commanditaire de l’attentat reste inconnu. Cette disparition profita évidemment à de Gaulle, qui n’avait plus d’obstacle à sa dimension, d’autant plus que Darlan était fermement soutenu par les Américains et que Roosevelt voulait écarter de Gaulle. Aussi, les regards se portent vers le Général en vertu de l’adage latin Hic fecit cui prodest (l’auteur est celui à qui le crime profite).

Mais il est acquis que Bonnier de La Chapelle disposait d’une somme important en dollars américains au moment de son arrestation et que le chef de l’Intelligence Service, Sir Stewart Menzies, était également présent à Alger. Il n’est donc pas exclu que Churchill, en désaccord avec Roosevelt sur ce point, ait voulu se venger de Darlan, notamment parce qu’il avait facilité l’intervention des Allemands en Syrie en 1941.

Les deux explications sur l’origine de l’assassinat de l’amiral Darlan ne sont pas forcément exclusives l’une de l’autre. Churchill, inquiet d’un accord soviéto-américain aux dépens de l’Empire Britannique, aurait alors inversé sa politique en se rapprochant beaucoup de de Gaulle avec lequel les relations étaient devenues très difficiles : la France restait le seul pays sur lequel la Grande-Bretagne pouvait s’appuyer pour compenser le condominium des USA et de l’URSS. Despointes 25/01/21