Discussion:Facteur de charge (électricité)

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Facteur de charge moyen pour l'hydroélectricité[modifier le code]

J'ai ajouté le facteur de charge moyen des centrales hydroélectriques canadiennes qui est fort différent du chiffre pour les 27 pays d'Europe en utilisant la méthodologie décrite dans la section précédente de l'article (les données proviennent de Statistique Canada (2009), cité dans l'article.

364 128 200 MWh / (73 435,687 MW * 8760) = 0,566034687 ou 56,7%

Pour trancher la situation, il faudrait sans doute trouver une source secondaire qui indique le facteur de charge moyen des différentes filières. — Bouchecl (dring) 6 août 2011 à 02:59 (CEST)[répondre]

Je regardais le tableau de cette section et je pense que vous aurez de la difficulté si vous n'internationalisez pas. Il peut exister des différences notables entre moyennes nationales ou continentales (l'hydroélectricité est un bel exemple avec des données comme celles de l'UE et du Canada). Plutôt qu'indiquer le minima, le maxima et la moyenne pourquoi ne pas faire l'exercice pour un certain nombre de pays représentatifs. Le lecteur pourra se faire une idée plus précise des facteurs de charge empiriques, plutôt que les données des vendeurs d'une technologie ou d'une autre. Vous en pensez quoi? — Bouchecl (dring) 6 août 2011 à 04:01 (CEST)[répondre]

Je me permets de copier le message que vous avez mis sur ma page de discussion ici, tout le monde pourra suivre comme ça.
C'est vrai que les facteurs de charges peuvent beaucoup varier selon qu'ils sont calculés à l'échelle d'une installation, d'un pays, d'un continent, du monde et c'est vrai aussi que l'article devrait être plus clair là-dessus. Je ne suis pas un gros contributeur Wikipedia et je pense que je vais simplement mieux définir les chiffres que je cite, pour ne pas tromper l'utilisateur. En rajouter d'autres pourquoi pas, mais dans un second temps.
Quelque chose qui n'apparaît que trop peu (à mon goût) dans l'article est l'importance du temps sur lequel on calcule le facteur de charge. C'est d'autant plus important pour les énergies renouvelables, qui sont par nature intermittentes ! Je vais essayer de mettre quelques infos là-dessus en me basant sur l'éolien en France (avec les très instructeurs aperçu mensuel sur l'énergie électrique de RTE).
Les colonnes minimum et maximum sont dans l'article uniquement parce qu'avant mes modifications il y avait des plages de valeurs (exemple : 20-40%), que j'ai interprété comme des maximum et minimum (qui sortent d'on ne sait où d'ailleurs). Je suis d'avis de les supprimer pour le moment.

Si l'on réfléchit bien au mode de calcul du facteur de charge, je pense qu'il faut distinguer les facteurs de charge selon la période de calcul (plusieurs années, annuel, mensuel, hebdomadaire, journalier, etc.), selon le type d'installation (nucléaire, éolien, thermique à flamme, etc.) et selon l'échelle géographique (ou le nombre d'unité de production) (monde, continent, pays, une éolienne, un réacteur nucléaire, une centrale thermique à flamme). Ces infos devraient être données pour chaque valeur à mon avis.
J'organiserais bien les valeurs prises par le facteur de charge comme ça :
Type d'énergie Type d'échelle de temps Échelle de temps Type d'échelle géographique Échelle géographique Valeur du facteur de charge
Éolienne annuel 2009 pays France 22%
Éolienne pluri-annuel 2003-2008 continent Europe 20%
Ça a l'avantage d'être précis, mais ça à l'inconvénient de ne pas être synthétique. Qu'est-ce que tu en penses ? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Thibault Lemaitre (discuter), le 6 août 11:53 (CET)
Quelques commentaires.
  1. La colonne «type d'échelle géographique» est probablement superflue (la France est un pays, c'est connu Émoticône).
  2. Le tableau devrait être divisé par filière.
  3. Dans le cas des périodes inférieures à une année, ça me semble difficile à résumer dans un tableau. Voir par exemple ce document ([1], pp. 10-11) qui montre les prévisions des facteurs de charge (ils utilisent FU) mensuels et horaires de l'éolien au Québec.
Voilà mon grain de sel. — Bouchecl (dring) 6 août 2011 à 17:25 (CEST)[répondre]
Ajout: En passant, {{Infobox Barrage}} permet d'inscrire le facteur de charge annuel des centrales hydroélectriques... — Bouchecl (dring) 6 août 2011 à 17:30 (CEST)[répondre]
  1. Que veux-tu dire exactement. Une filière pour un tableau ? Ou tu veux peut-être parler d'un morceau de code wiki pour ce genre de mise en forme ? En tout cas, vu que je ne vais pas ajouter beaucoup d'information, je ne sais pas si c'est nécessaire de séparer par filière. Je verrai plus un tableau qui donne les valeurs moyennes pluri-annuelles (chiffres clés à mon avis), et un autre qui affine en temps.
  2. Bonne remarque, je ne mettrai pas cette colonne, et je ferai peut-être de même pour la colonne type d'échelle de temps. À voir pendant la rédaction.
  3. J'ai jeté un coup d'œil rapide au document que tu proposes, et ça a l'air très complet. Le résumer dans un tableau est certainement très dur, mais je ne compte pas détailler à ce point là : juste donner quelques chiffres en plus et mieux les situer dans leur contexte
Je tacherai de commencer ça demain, ou d'ici quelques jours.--Thibault Lemaitre (d) 7 août 2011 à 00:09 (CEST)[répondre]
J'utilise filière pour parler des différents moyens de production: hydro, éolien, thermique à flamme, nucléaire, etc... Je suggérais qu'on fasse un tableau pour chaque type de production (alias filière). Mais ce n'est pas essentiel. Je suis occupé à d'autres articles, mais je peux donner un coup de main (je sais où se trouvent les infos pour l'Amérique du Nord par exemple) et la page est dans ma liste de suivi. Alors n'hésite pas! Cordialement — Bouchecl (dring) 7 août 2011 à 03:32 (CEST)[répondre]

Facteurs de charge supérieurs à 100 %[modifier le code]

Notification Thepat : bien que l'anecdote soit intéressante je pense qu'il faut absolument qu'elle soit accompagnée d'une explication claire, sans quoi elle porte plus à confusion par rapport à la définition qu'elle n'informe. Je n'ai pas trouvé de sources en anglais ou en français qui en parlent. Ma théorie est que ces facteurs de charge sont calculés par rapport à la capacité nominale nette (qui n'est pas celle définie dans puissance nominale, qui parle de puissance maximale des générateurs installés). Or ces centrales pour une raison ou une autre ont du utiliser des groupes électrogènes auxiliaires ou le courant du réseau pour s'alimenter pendant une partie de l'année, effaçant donc leur autoconsommation et dépassant la capacité nominale nette (mais pas brute). D'après calculs vite faits à partir d'exemples dans votre référence, les facteurs de charge semblent retomber sous les 100 % quand on fait le calcul avec la capacité nominale brute de ces centrales.
Je pense donc qu'il faudrait clairement expliquer quel phénomène explique cela pour ne pas porter à confusion, et si mon explication est la bonne, clarifier que cette définition de "facteur de charge" n'est pas la même que celle utilisée ailleurs dans l'article (capacité maximale nette vs. brute). --7dare (discuter) 21 août 2020 à 10:28 (CEST)[répondre]

Bjr, 7dare, ce n’est pas une anecdote mais un fait, il suffit de voir la liste des centrales ayant le meilleur facteur de charge (cf lien dans l’article). Une explication est que la puissance nominale est établie par rapport à certaines conditions ambiantes dites "de référence", notamment la température de la source froide (cf lexique AIEA : "reference ambient conditions"). Si en pratique la température de la source froide est inférieure à celle prise en compte pour le calcul de la puissance nominale, le rendement thermique est amélioré et la puissance délivrée est supérieure à la puissance nominale (dans les limites acceptées par l’alternateur); cela arrive parfois sur les centrales françaises en hiver. Une autre explication possible est que le rendement a été amélioré par des modifications sur l’installation (au niveau de la chaudière, du poste d’eau et/ou du groupe turbo alternateur), et que la puissance nominale n’a pas été réévaluée en conséquence. Mais je ne pense pas qu’un facteur de charge supérieur à 100% soit dû à l’utilisation de groupes électrogènes auxiliaires. Il reste à trouver une ou des sources explicatives. Cdlt.--Thepat (discuter) 21 août 2020 à 14:04 (CEST)[répondre]
Notification Thepat : une anecdote peut etre un fait, je voulais dire que c'est un détail qui arrive relativement rarement, et que sans explication il n'a pas un intérêt énorme pour le/la lecteur/lectrice.
La première explication sur les conditions de référence me semble probable, mais celle sur les améliorations de capacité nominale serait erronnée : ce serait une erreur de calcul du facteur de charge (mauvaise puissance nominale utilisée) et donc le facteur de charge réel serait inférieur à 100 % .
Enfin, sur les générateurs auxiliaires je pensais à une utilisation sur une partie de l'année, mais je pense que l'explication où la consommation est faite à partir du réseau électrique et non décomptée à la production brute plus probable. Je pense que de toutes manières, comme vous le dites, il vaut mieux trouver une source fiable qui explique les principales raisons de ce phénomène afin que cela reste informatif et non troublant pour un/e lecteur/rice qui croirait alors mal avoir compris la définition. --7dare (discuter) 21 août 2020 à 14:50 (CEST)[répondre]
Je voulais dire que si a minima les 10 premières centrales nucléaires ont un facteur de charge supérieur à 100%, ce n’est peut-être plus anecdotique. La puissance nominale est la puissance nette délivrée au réseau. À mon avis un facteur de charge supérieur à 100%, cela peut aussi être dû à la définition de la puissance nominale (aux US: "nameplate capacity" is the number registered with authorities for classifying the power output of a power station), si elle est sous estimée par rapport à la puissance maximale délivrée sur le réseau, il y a plus de chances que le facteur de charge soit >100%. Cdlt. --Thepat (discuter) 21 août 2020 à 15:59 (CEST)[répondre]
Notification Thepat : cela ne concerne donc que 3% des réacteurs, et ceux sur la liste sont essentiellement concentrés dans deux pays, mais peu importe ce n'est pas le sujet. Dans le cas ou la puissance nominale est sous-estimée, ce n'est pas un facteur de charge >100 % , mais bien un facteur erroné, calculé à partir de donnéees fausses... --7dare (discuter) 21 août 2020 à 16:13 (CEST)[répondre]
7dare, on peut pas dire que ce soit faux, tout dépend de ce que chaque pays, chaque exploitant ou chaque contrat passé entre fournisseur et exploitant, définit comme étant la puissance nominale (et surtout dans quelles conditions). C’est pourquoi les inter comparaisons ne sont pas faciles!… Cdlt. --Thepat (discuter) 21 août 2020 à 17:08 (CEST)[répondre]
Notification Thepat : vous me donniez un scénario où la puissance est "sous estimée", donc cela signifie qu'elle est fausse. À moins que j'aie mal compris, auquel cas je vous demande de clarifier. Dans tous les cas, que le problème soit le brut/net, les conditions de référence, ou encore les "sous estimations" de capacité nominale ; il faudra corriger la page puissance nominale qui entend clairement qu'elle correspond à la puissance maximale des générateurs (et donc donnerait un facteur de charge <= 100 % dans tous les cas selon la définition sur la page facteur de charge). --7dare (discuter) 21 août 2020 à 18:08 (CEST)[répondre]
Oui je sais, d’autant plus que la page "puissance nominale" ne comporte aucune source (peut-être qu’une traduction de la page anglophone s’impose, car elle dispose de plusieurs sources?). Cdlt.--Thepat (discuter) 21 août 2020 à 18:29 (CEST)[répondre]

7dare, j’ai mis dans l’article une explication sourcée expliquant pourquoi la puissance maximale délivrée peut être supérieure à la puissance nominale. Est-ce-que ça convient. Cdlt.--Thepat (discuter) 23 août 2020 à 01:49 (CEST)[répondre]

Notification Thepat : j'ai (re)déplacé l'anecdote vers un endroit légèrement plus approprié, pour pas qu'elle ne charge trop cette partie de l'article. J'ai aussi corrigé le lien brisé de la première source et retiré la seconde qui ne fait que de répéter la première.
Il reste pour moi un défaut majeur : la source EIA dit clairement que le "capacity factor" doit être calculé non pas par rapport à la puissance nominale en été mais à la puissance maximale sur la période concernée (donc au niveau annuel, par rapport à la puissance nominale en hiver). Même sans cette remarque dans la source, il me semble évident que le calcul devrait être fait avec la puissance nominale en hiver si l'échelle est d'une année, sans quoi la notion de "puissance nominale" devient floue.
Par exemple, pour un panneau solaire devrait-on faire un calcul de facteur de charge par rapport à la production maximale possible en hiver (en prenant en compte l'inclinaison du soleil, ou en faisant un test de performance en hiver comme l'EIA explique ici) ? Non : la puissance nominale est le maximum absolu de production. L'anecdote reste donc pour moi encore trop floue pour un lecteur ou une lectrice qui ne comprendrait pas pourquoi le calcul est fait ainsi. --7dare (discuter) 23 août 2020 à 02:08 (CEST)[répondre]
7dare, j’ai corrigé le lien cassé (victime d’un correcteur orthographique!…) et rectifié le texte en conséquence. Je précise que la puissance nominale est généralement un engagement contractuel entre le vendeur de la centrale et l’acheteur (les conditions de mesure de cette puissance sont fixées dans le contrat). Comme précisé dans le lien restauré, cette puissance nominale est généralement établie (ou recalculée) pour des conditions de rendement défavorables (par exemple la température maximale de la source froide) telles que prévues au contrat, ce qui garantit l’atteinte de cette puissance toute l’année. En résumé, la puissance nominale est la puissance maximale pouvant être délivrée sur le réseau tout au long de l’année quelques soient les conditions météo telles que prévues dans le contrat de construction de la centrale ; si on prenait comme valeur de puissance nominale, la puissance maximale mesurée en hiver, la centrale ne pourrait atteindre cette valeur en été à cause de la baisse de rendement due à une source froide plus chaude. Bien sûr cele ne vaut que pour les centrales thermiques, pour les panneaux solaires il faudrait trouver une source décrivant plus précisément les modalités de calcul de cette puissance nominale. C’est un peu lourd mais je pense que c’est + clair. (Rem : à partir du moment où le top des 10 réacteurs ayant les meilleurs load factors qui de plus sont supérieurs à 100%, est un indicateur de WNA, je considère que ce n’est pas vraiment une anecdote, sinon cet indicateur ne serait pas sur leur site. Il faut donc expliquer le pourquoi du >100%). Cdlt. --Thepat (discuter) 23 août 2020 à 04:12 (CEST)[répondre]
Notification Thepat : votre définition est fausse, puisque la puissance maximale pouvant être délivrée tout au long de l'année par une installation photovoltaÏque est par exemple bien inférieure à la valeur donnée comme "puissance nominale" de celle-ci (et de même pour l'éolien). Dans le cas de ces énergies la puissance nominale est une valeur théorique, la puissance maximale du générateur pour l'éolien ou de l'alternateur pour le PV : cette valeur théorique existe aussi pour les centrales thermiques, et je ne vois pas de raison pour laquelle le calcul du facteur de charge ne devrait pas se faire avec celle-ci, quelle que soit la convention fixée entre exploitant et acheteur. Vous affirmez par ailleurs qu'il s'agit d'une règle générale tandis que seule l'EIA affirme utiliser cette valeur d'été, et on ne voit d'ailleurs pas de centrales françaises (ou réacteurs) avec des facteurs de charge supérieurs à 100 % . --7dare (discuter) 23 août 2020 à 11:43 (CEST)[répondre]
Bjr, j’ai bien précisé que le raisonnement n’est valable que pour les machines thermiques (où le rendement est soumis à la température de la source froide). En ce qui concerne les centrales françaises, le fait qu’elles ne fonctionnent pas en base plombe systématiquement le facteur de charge. Cdlt.--Thepat (discuter) 23 août 2020 à 14:05 (CEST)[répondre]
Je ne comprends toujours pas pourquoi les centrales thermiques bénéficieraient d'une définition différente du facteur de charge ou de la puissance nominale que les autres types d'installations, quand une définition simple et universelle existe et est appliquée partout ailleurs (la puissance maximale qui peut être produite). L'article devrait clairement laisser comprendre que le facteur de charge réel est en fait plus faible que celui affiché par ces sources puisqu'elles se basent sur un calcul de type "load factor" (même si ce n'est pas exactement la même chose, c'est plus proche) et non pas de "capacity factor".
Ai-je bien compris que votre définition de "puissance nominale" est, "le minimum du maximum de production réalisable au cours de la période considérée" ? Cette définition ne semble apparaître nulle part ailleurs, et n'est pas appliquée dans de nombreux autres cas (PV, éolien). 7dare (discuter) 23 août 2020 à 14:36 (CEST)[répondre]
Le pb ou l’ambiguïté ne vient pas du "load factor" mais de la définition de la puissance nominale délivrée sur le réseau (puissance utilisée pour le calcul du load factor). Cette définition n’est pas vraiment universelle (je n’ai pas trouvé de norme internationale sur le sujet), j’ai repris celle de l’AIEA dans l’article "Puissance nominale". En ce qui concerne les centrales thermiques, cela correspond en gros à ce que vous avez compris si on ajoute "aux conditions ambiantes prises en compte pour le site considéré". Cdlt.--Thepat (discuter) 23 août 2020 à 14:52 (CEST)[répondre]
Si j'ai donc bien compris, si l'on suppose qu'une installation a fonctionné sans interruptions (maintenances, pannes, ...) pendant une période donnée, le "load factor" et le facteur de charge sur cette période sont les mêmes ? Les deux sont le rapport de l'électricité produite sur la puissance maximale atteinte durant cette période. 7dare (discuter) 23 août 2020 à 15:02 (CEST)[répondre]
Il s’agit plutôt du rapport de l’"électricité effectivement fournie au réseau" sur l’"électricité qui aurait été fournie au réseau en fonctionnant de manière continue à puissance nominale pendant toute la période considérée". Cela dépend de la puissance nominale déterminée. En plus du contrat de construction (entre le constructeur et le propriétaire de la centrale), la puissance nominale est aussi la puissance maximale mise à disposition du dispatching de façon continue et garantie par l’exploitant en fonction des conditions prises en compte pour le site concerné (cela fait aussi l’objet d’un contrat entre le producteur et le "dispatching"). Cdlt. --Thepat (discuter) 23 août 2020 à 16:26 (CEST)[répondre]

Causes de variation[modifier le code]

Notification Thepat : je pense que nous travaillons tous les deux sur cette liste avec des objectifs différents. Pour moi, il faut donner un aperçu des différents facteurs qui peuvent intervenir, c'est pourquoi il est intéressant de préciser les visites de sécurité (qui sont quasi-annuelles donc impactent systématiquement le facteur de charge) et les rechargements de combustible (idem). Ce dernier se place au même plan que l'intermittence de la source d'énergie pour moi.
Par ailleurs j'ai l'impression que vous voulez préciser sans cesse que seules "certaines" pannes "affectent la production", or il me semble relativement clair dans l'intitulé de la liste qu'elle ne concerne que les éléments "réduisant la production électrique". Inutile donc de préciser "certaines pannes d'équipement", expression ambigüe (lesquelles ?) lorsque le lecteur ou la lectrice comprendra bien qu'une panne n'affectant pas la production ne fera pas varier le facteur de charge. Il faudrait sinon préciser "certain/e/s" devant chaque point, parce qu'on peut imaginer une éolienne très basse puissance qui tourne toute l'année ou penser à des centrales qui ne font pas de suivi de charge. --7dare (discuter) 27 août 2020 à 13:51 (CEST)[répondre]

Notification Thepat : vous demandez une source sur les visites de sécurité ? Non seulement la source ASN déjà donnée en recense des dizaines (un exemple ici), vous pouvez aller lire la page arrêt de tranche (sections visite partielle et décennale) ou la page visite décennale si vous voulez en savoir plus.
Si ce que vous contestez est que ces visites ne sont pas des visites de sécurité, je vous invite à relire le site ASN: « la maintenance et le contrôle de divers matériels et organes de robinetterie, » et « Pendant cet arrêt, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a procédé à 4 inspections qui se sont déroulées les 21 et 26 novembre 2018, le 12 décembre 2018 ainsi que le 3 janvier 2019. Ces inspections ont permis d’examiner les conditions de réalisation des travaux, de sécurité et de radioprotection sur plusieurs chantiers. » Ces arrêts sont donc aussi faits pour des raisons d'inspection de sécurité par l'ASN.
Si ce n'est pas ce que vous contestez, je vous prie de préciser votre grief ci-dessous plutôt que de vous livrer à une guerre d'édition sans venir discuter en page de discussion. --7dare (discuter) 27 août 2020 à 15:59 (CEST)[répondre]
Bjr 7dare, ce ne sont pas des arrêts pour "visite de sécurité", ce sont des arrêts de tranche classiques au cours desquels l’ASN surveille des chantiers ou fait des inspections comme ils le font tout au long de l’année. Vous interprêtez les sources, ce ne sont pas des arrêts pour "visite de sécurité", d’ailleurs ce terme n’est pas utilisé sur le site de l’ASN pour les arrêts des tranches nucléaires. De plus, le terme "visite de sécurité" est plutôt utilisé pour le contrôle de la sécurité au sens classique du terme (et non pas au sens sûreté nucléaire). Mais si vous trouvez une source fiable qui parle d’arrêt pour "visite de sécurité" (peut-être dans un autre pays), pas de pb pour rectifier. Cdlt. --Thepat (discuter) 27 août 2020 à 17:53 (CEST)[répondre]
Je comprends mieux, mais j'ai l'impression qu'il s'agit de pédantisme: vous contestez que la raison seule de l'arret ne sont pas les visites de sécurité ? Comme je vous l'ai montré sur le site ASN, il est indiqué que les visites partielles servent a la maintenance, un rechargement de combustible, et aux inspections de sécurité. C'est donc une des raisons pour lesquelles cet arret a lieu, ce n'est pas la seule mais ce n'est pas pour autant qu'il ne faut pas la faire figurer.
Si cela vous plait on peut préciser "inspections de securité et rechargement du combustible" dans les parentheses, ce qui clarifie légerement que ce sont deux raisons qui expliquent l'arret, mais je pense que ce niveau de pédantisme n'est pas néncessaire et que le terme "visite de sécurité" est suffisament clair (apres tout, c'est effectivement une visite de sécurité. qui ont lieu pendant l'arret). --7dare (discuter) 27 août 2020 à 19:00 (CEST)[répondre]
Les inspections de l’ASN ont pour objet le contrôle des travaux de maintenance objet de l’arrêt, et non pas l’inverse. On ne s’arrête pas pour faire des "visites de sécurité", mais pour raisons de maintenance et de chgt de combustible. Les inspections de l’ASN sont une conséquence et non la cause de l’arrêt, il faut être précis. Contrairement à votre affirmation, sur le site de l’ASN on ne parle pas de "visite de sécurité" pour les arrêts des tranches nucléaires; plutôt que de parler de pédantisme, avez-vous trouvé une source définissant ces "visites de sécurité" nécessitant un arrêt? Merci. Cdlt. --Thepat (discuter) 27 août 2020 à 21:41 (CEST)[répondre]
Je vous ai expliqué que ces "visites de sécurité" ne nécessitent pas à elles seules l'arrêt, ce sont un facteur parmi d'autres. Ce que vous dites est faux, l'ASN et l'exploitant procèdent aussi à des contrôles indépendants des travaux de maintenance, notamment lors des visites décennales: vous pouvez en apprendre plus sur l'article, dans la section décrivant les trois essais majeurs. C'est aussi une information qui appraît sur plusieurs articles du site de l'ASN: « le contrôle de l’intégrité de revêtements de rétentions ; » et ici « le contrôle et la mise en conformité de la résistance au séisme d’armoires électriques et de châssis de relayage. » Cette dernière inspection est clairement distinguée de l'inspection des chantiers, par exemple.
Le fait reste que, quel que soit le nom que vous voulez donner à cela, des inspections de sécurité doivent être faites pendant ces arrêts et ne peuvent être faites pendant le fonctionnement. Cette information est intéressante pour les lecteurs/lectrices, je pense donc qu'il est important que cela figure dans l'article.
Enfin, dans votre dernière modification de votre message vous contestez de nouveau principalement le terme "visite de sécurité", ce que je pense être du pédantisme. Je vous propose de remplacer ce terme par "contrôles de sécurité" ou "inspection de sécurité", si cela vous convient mieux ?
Pour ma part, la version en vigeur actuellement, proposée par Jpjanuel, me convient. --7dare (discuter) 27 août 2020 à 21:56 (CEST)[répondre]
La sécurité n’est pas la cause des contrôles que vous citez, c’est vous qui dites que ce sont des "visites de sécurité". Ces contrôles sont des opérations de maintenance de vérification de la conformité et de la tenue de certains équipements. Il faut arrêter de faire l’amalgame entre ce que vous nommez "visites de sécurité" et les contrôles faits lors des arrêts de tranche. Les visites de sécurité ont un objectif particulier de vérification de la sécurité classique (cf pour votre info une formation sur la visite de sécurité : https://www.icsi-eu.org/documents/253/fr_visite_securite_web.pdf), il ne faut pas mélanger par rapport à ce que vous croyez. Sinon on peut rester sur la dernière version, même si l’expression "divers tests de sécurité" est un peu floue et non documentée. Cdlt. --Thepat (discuter) 27 août 2020 à 23:01 (CEST)[répondre]
Je résume une troisième fois mon argument: pendant un arrêt de tranche, par exemple une visite décennale, des inspections de sécurité ont lieu. J'ai (peut-être maladroitement) appelé ces inspections de sécurité "visites de sécurité" (ce sont après tout des visites d'experts de l'exploitant et de l'ASN de la centrale), mais je n'entendais pas par là que l'arrêt soit entièrement dû à ces inspections.
Si pour vous le terme "visite de sécurité" a un autre sens dans l'usage commun -- ce que je doute être le cas au vu des résultats Google mitigés et que l'article visite de sécurité n'existe pas -- ce n'était pas mon intention de désigner la même chose.
L'expression "divers tests de sécurité" est documentée par la page ASN, et explicitée dans l'article visite décennale. --7dare (discuter) 27 août 2020 à 23:22 (CEST)[répondre]
Merci de documenter ce qu’est une "inspection de sécurité", on n’emploie pas ce terme pour les visites d’experts que vous citez (sauf cas spécifiques d’inspections ciblées sur la sécurité dite "classique"), vérifiez sur le site de l’ASN. Comme vous le dites c’est bien vous qui utilisez les termes "visite de sécurité" et "inspection de sécurité" en vous justifiant: "ce sont après tout des visites d'experts de l'exploitant et de l'ASN de la centrale", c’est une interprétation de ce qui est écrit. Je vous ai transmis une fiche de stage sur les "visites de sécurité", rien ne vous empêche de vous inscrire à ce genre de stage (il y a d’autres organismes de formation). De même je n’ai pas encore trouvé de référence au terme "divers tests de sécurité" sur le site de l’ASN. Essayez de visiter une centrale nucléaire ou de faire un stage sur un arrêt de tranche chez EDF ou ASN (ou leurs sous traitants), ou à l’international, vous comprendrez mieux. D’ici là je pense cependant qu’on peut en rester pour l’instant sur la dernière version de ce paragraphe de l’article. Cdlt. --Thepat (discuter) 28 août 2020 à 03:36 (CEST)[répondre]

Tendances[modifier le code]

--MathieuMa (discuter) 31 août 2021 à 14:12 (CEST) Bonjour, je me demande ce que fait le paragraphe actuel "tendance" qui parle de manière plus qu'anecdotique du facteur de charge de l'éolien (la progression est dû à son déploiement en mer en grande partie - le document cité n'en parle pas plus que ça) — pour surtout aborder le côte financier qui, forcément, ne prend pas en compte ce que ça implique d'autre. Il n'y a aucune tendance particulière en cours sur l'éolien, en tout cas pas plus que les autres techniques de production d'énergie (auquel cas il faudrait faire un panorama : expliquer la baisse du nucléaire pendant les phases de vérification, expliquer les conséquences de sécheresses sur les installations thermiques / hydro / nucléaires, expliquer les amélioration sur la techno solaire … ) Je serais d'avis de supprimer ce passage, qui est sans rapport avec la thématique en l'état.[répondre]

bonjour MathieuMa, vous avez raison, cette section est hors sujet, je l'ai donc supprimée. Merci de l'avoir signalé.--Jpjanuel (discuter) 31 août 2021 à 18:58 (CEST)[répondre]