Discussion:Docker

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

Pb de définition[modifier le code]

J'ai supprimé le texte suivant :
"Les dockers s'occupent aussi de l'amarrage des navires."
Qui me semble être une erreur, le terme exact en français est lamaneurs. Voir Lamanage - lamaneur - amarrage.
Le terme anglais est "mooring man"".
J'ai également modifié les termes "atachés" par "saisis" (saisissage).
Klipper 5 décembre 2005 à 13:09 (CET)[répondre]

Euh, je ne suis pas d'accord ; c'est peut-être le cas en France, mais pas en Angleterre par exemple, où on distingue les lamaneurs (qui sont sur les bateaux de lamanage) et les dockers qui font le boulot à terre, y compris par exemple porter les lignes sur les bittes. Un parapgraphe pour montrer ces différences serait intéressant. le Korrigan bla 5 décembre 2005 à 16:41 (CET)[répondre]

Hello, étonné car je n'ai jamais entendu ni vu çà ! Tu es sûr que ce n'est pas du local et en raison d'un petit port ? parce que le terme mooring men est employé partout dans le monde, en raison des dangers de ce métier, ils forment du personnel spécialisé à ce travail. a+ Klipper 5 décembre 2005 à 18:38 (CET)[répondre]

Plus exactement, la situation à Southampton (et en général dans les ports gérés par Associated British Ports) : les lamaneurs bossent pour ABP (port), sur leurs bateaux, et récupèrent les lignes d'amarrage. Ils les filent ensuite aux dockers qui sont sur le quai, qui eux bossent pour la compagnie qui s'occupe de bateau (Southampton Cargo Handling dans mon cas). Bien sûr, les gars qui font ça sont formés, comme tu dis il y a des dangers spécifiques.
Je crois, mais je peux rapidement le confirmer, qu'à Rotterdam il y a un peu le même système. Ca s'applique surtout pour les navires où des dockers vont bosser ensuite (Ro-ro, croisière, PCs) et pas du tout pour les pétroliers, vraquiers... Korrigan 5 décembre 2005 à 19:20 (CET)[répondre]

OK, bon il faudra faire la différence entre la France et le reste, parce qu'en france çà ne colle pas comme celà, ou à moins comme tu le dis pour une arrivée de Ferry sur un quai presque 'privé' ou il passe tous les jours et à la limite ce sont de employés de la boite de navigation. Et puis, les lamaneurs s'ils voient çà sur wiki ils vont saute au plafond ! a+ 5 décembre 2005 à 19:25 (CET)

J'ai rajouté un paragraphe pour arrondir les angles. Klipper 7 décembre 2005 à 20:57 (CET)[répondre]

Merci, la phrase est très bien ! le Korrigan bla 9 décembre 2005 à 18:43 (CET)[répondre]

Bjr, quelqu'un connaitrait-il le sujet des crewmen, dockers africains embarqués temporairement par le passé lors des voyages sur la côte d'Afrique, surtout je croies pour le chargement de billes de bois ? Il serait intéressant de rajouter un paragraphe à cet article. Klipper 9 décembre 2005 à 10:17 (CET)[répondre]

Aucune info, mais je vais essayer de me documenter... le Korrigan bla 9 décembre 2005 à 18:43 (CET)[répondre]
J'ai retrouvé dans le fin fond de ma neurone de droite, celà s 'écrit Kroomen et pas crewmen, of course !

j essaie de faire un pti pti truc 30 avril 2006 à 10:50 (CEST)

Salut, j'ai navigué une fois avec des kroos, je vais voir ce dont je me souviens... --Yellow23 (d) 24 décembre 2010 à 18:58 (CET)[répondre]

Témoignage[modifier le code]

Lors d'embarquement sur un navire SNO dans les années 70, j'ai connu les crewmen, embarqués en Cote-d'Ivoire sur la première rade, ils étaient une cinqantaine, constitués en trois équipes hiérarchisés et commandées par un "grand Cacatois", secondé par un "petit cacatois" et un "perroquet", reminiscence de la vie sur les voiliers hauturiers. Parmi eux des spécialistes, pilotes des chaloupes, grutiers, cuisinier, aide-cuisinier, etc... Leur rôle constituait à amenés les billes de bois flottées et stockées dans des parcs au navire, à les élingués par des cables d'acier munis de crocs ou de grandes "tenailles" et à les hisser et amarrer à bord. Travail dangereux avec accidents fréquents d'hommes coincés après leur chute à la mer entre les billes. Mais dextérité et agilité extraordinaire par leurs acrobaties sur les billes de cipo, acajou, iroko etc. Ils delmeuraient à bord pendant toute la tournée sur la COA du navire (Cote Ivoire, Dahomey, Benin, Cameroun, Congo etc... Anecdote, certains embarquaient pour recevoir des soins médicaux et, élève-Radio, j'ai eu pour mission les injections anti syphillitiques systématiques pour tous les crewmans, à la chaîne. Ils en étaient ravis. pat.retourne(chez)libertysurf(point)fr

Merci pour cet intéressan témoignage. N'hésitez pas à compléter l'article vous-même ! le Korrigan bla 19 janvier 2006 à 13:49 (CET)[répondre]

Autre terme - débardeur[modifier le code]

Au Québec on utilise le terme débardeurs au lieu de dockers. Ce serait peut-etre bon de le précisé. INFO : http://jobfutures.ca/cnp/745p1.shtml

Merci pour la précision et le lien, c'est inclus. N'hésitez pas à corriger l'article vous-même ! le Korrigan bla 19 janvier 2006 à 17:44 (CET)[répondre]

Réécriture[modifier le code]

Cet article comporte un certain nombre d'imprécisions et d'oublis. Dans le cadre de sa réécriture, il serait intéressant de noter clairement :

  • que dockers, grutiers et stevedores sont trois corporations DIFFERENTES que que l'on confond souvent les unes avec les autres
  • les dockers sont, selon les cas, des groupements indépendants qui louent une main d'oeuvre aux stevedores pour les opérations portuaires, ou bien directement des salariés des ces mêmes stevedores.
  • les grutiers, quant à eux, sont des salariés des ports autonomes (ou ports gérés par les CCI), et sont "loués" aux stevedores en même temps que portiques & grues pour les opérations de manutention (port).
  • le rôle des grutiers est donc strictement de conduire les grues, les dockers interviennent simultanément, en cale et/ou à quai. Les deux professions se complètent. Le stevedore, lui, emploient grutiers & dockers, et coordonne la manutention dont il a la responsabilité.

Il existe plusieurs types de dockers :

  • le calier : travaille en cale comme son nom l'indique (place les élingues autour des grumes, conduit un chouler pour concasser les vracs avant déchargement, etc)
  • le faiseur de signe : à quai, fait l'interface entre le grutier et le calier, le premier ne voyant pas forcément le second (aide à la manutention, prévient les accidents)
  • le cariste : conduit les chariots élévateurs pour approcher ou évacuer la marchandise (conteneurs par exemple) du bord à quai
  • le contre-maître

--Jibi44 2 mars 2006 à 11:52 (CET)[répondre]

Ouh la la ! Je suis en train d'y travailler, plus exactement de collecter des sources, des photos et tout ça en brouillno sur mon ordi. Je sais bien qu'il manque plein de choses, mais ça va venir :-)
Pour le coup des stevedores, il va falloir faire gaffe au franco-centrisme (ici c'est complètement différent par exemple), il n'y a pas de raison qu'on palre + de la France. Les différents types, les différences grutiers / dockers / etc. vont venir, promis ! Je pense avoir du temps ce WE. Ton expérience compensera utilement mon anglo-centrisme ;-) le Korrigan bla 2 mars 2006 à 13:29 (CET)[répondre]

Je crois que tu devrais souligner que le métier de docker est fortement menacé, il existe une pression pour le "libéraliser" et le transformer comme c'est le cas sur les ports de fleuves où l'on fait appel à des manutentionnaires dont les équipes sont en partie composées d'intérimaires non qualifiés.--Lundeux 3 mars 2006 à 02:04 (CET)[répondre]


Bonjour ! Je suis moi-même docker au Havre. Je confirme que les grutiers sont une corporation différente de la nôtre et qu'il serait nécessaire de le préciser dans l'article. Nicolas Sarkozy avait d'ailleurs fait une intervention à ce propos en s'étonnant que "la manutention horizontale" et "la manutention verticale" soit gérée par des entités différentes (je peux retrouver les liens si vous pensez que c'est intéressant). Bon nombre de média ont ainsi fait l'amalgame ces derniers mois durant les conflits très durs sur la pénibilité. Il faut leur accorder que le flou est entretenu parfois au plus haut niveau : voir le rapport de la cours des comptes sur le port de Marseille qui ne contient que quelques paragraphes qui concernent directement les dockers mais qui a servi de base à des attaques contre eux parce qu'il précisait mal de quelle catégorie de salariés il parlait à chaque section. Je me tiens à votre disposition si vous pensez que je peux aider.

Les lamaneurs sont également une profession tout à fait différente (dans l'article, on parle des dockers-lamaneurs au Royaume-Uni. C'est une situation unique pour ce que j'en sais (du moins en Europe, seul périmètre où je prétends avoir quelques connaissances). Les lamaneurs sont, en France, organisés en coopératives et, donc, non salariés des entreprises de manutention portuaire. --Hacheff (d) 13 avril 2011 à 10:56 (CEST)[répondre]