Discussion:Celluloïd

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"Il est utilisé dans la décoration des instruments de musique et dans l'araesous comme un faux nacre."

Il doit y avoir une erreur. J'ai cherché araesous et je n'ai rien trouvé. En plus je ne vois pas quelle faute de frappe pourrait donner ce mot !



Y a t-il une formule pour le celluloïde ?




Est-ce que la mention d'un dessin animé plutôt confidentiel (itaf) se justifie dans un article aussi général?

Clash

celluloïd[modifier le code]

La date d'invention précoce indiquée dans l'article (en 1856) n'est hélas pas documentée.

J'ai cependant l'intuition ("de collectionneur") que ses caractéristiques dimensionnelles et son aspect et le matériau dont elle est faite douivent permettre de la "DATER" historiquement avec une relative précision....

En effet, je possède depuis quelques mois une petite carte (9,3cm X 5,5cm) "publicitaire" un peu gondolée, qui ressemble fortement à ce que les collectionneurs (surtout en Belgique ou en Allemagne) appelleraient une "carte-porcelaine" ou "carte-émail" (enamel card).

Elle est faite dans une matière assez mince (qq dixièmes de mm d'épaisseur) et semi-rigide (souple mais sans doute brisable comme certaines cartes postales "fantaisie" du début du XXème siècle).

Au milieu du XIXème siècle, et selon l'inscription qu'elle porte, elle a du servir de "carte de représentant" commerciale pour un fournisseur et négociant champenois de Vins de Champagne, appelé GEMINEL-COCHOIX, dont l'adresse est à Ay (Marne).

Elle semble teintée dans la masse, semi-transparente et couleur lie-de-vin.

Elle est revêtue superficiellement, sur le dessus de sa face lisible, d'écritures (raison sociale et secteur d'activités, profession, commune et département d'implantation) et de décorations (frise de pampres et feuille-de-vigne finement dessinée sur plus de trois côtés) de couleur dorée, dont l'aspect est très semblable à celui d'une impression lithographique.

Le "style" et la "facture" sont en tous points ceux des cartes-porcelaines qui furent très à la mode dans certains pays européens, au cours d'une bonne vingtaine d'années (entre 1845 et 1865 environ)

Elle porte enfin les restes à moitié effacés d'une "signature" sur le bas du côté inférieur, comme on le trouve souvent pour les cartes-porcelaines confectionnées vers 1850-1860 (surtout en Belgique et aussi en France, Pays-Bas, Allemagne, Grande-Bretagne).

Hélas le contenu de cet indice tronqué et très incomplet n'est pas déchiffrable...

Ce qui est dommage, car il nous révèlerait sans doute l'identité patronymique et la ville d'implantation d'un atelier de lithographie déjà répertorié pour d'autres "travaux de ville" (Epernay, R(h)eims, Chalons,... ou ville de Belgique ???). 2A01:E0A:1AA:FF50:61EC:DD7:C525:782A (discuter) 26 septembre 2022 à 10:16 (CEST)[répondre]