Discussion:Carl Schenstrøm

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Le Dieu des théosophes[modifier le code]

III. Méthode Théosophique

De la méthode de démonstration de la Preuve

La poétique est le summum de la rhétorique et la démonstration en est sa base. A quoi bon être poète si l’on dit n’importe quoi ?...

Étymologiquement, la philosophie signifie l’amour de la Sagesse. Le but de tout philosophe est de rechercher la Vérité afin de connaitre le bonheur véritable à travers le rapprochement de la Science et l’éloignement de l’ignorance. Le philosophe cherche à dissiper l’erreur afin de faire triompher le Vrai. Conformément à l’allégorie de la Caverne de Platon, l’Homme est face à une fausse réalité et se doit de l’appréhender à travers l’exercice du questionnement et du dialogue afin de découvrir la Vérité qui se trouve cachée. En dehors de ce qui est évident (comme l’eau mouille ou le feu brule) le philosophe dissèque la réalité à l’aide d’outils de la logique afin de cerner le vrai. Le faux est une pauvreté et le vrai une richesse, en toute justice. On reconnait le vrai à sa qualité et le faux à son défaut La vertu du Vrai est qu’il est démontrable. Et toute démonstration délivre une science qui, lorsque la démonstration répond aux normes nécessaires de l’art démonstratif, produit une vérité scientifique immuable et éternelle. Immuable et éternelle car la vérité répond aux critères qui se doivent d’être éternelle et immuable. En effet, lorsqu’on dit qu’une chose est vraie on dit que cette chose a été vraie hier, est vraie aujourd’hui et sera toujours vraie demain. Par exemple lorsqu’on témoigne de la pluie en un lieu et temps donnés, on témoigne d’une vérité qui ne changera plus jamais.

Lorsqu’un enfant nait à une date et lieu donné, cette identité ne changera jamais en réalité, même si on falsifie sa carte d’identité. Et, il y a autant d’exemples illustratifs que d’évènements factuels. 

Ici j’ai pris comme source de preuves un témoignage mais par contre lors d’une enquête de police ou lors du plaidoyer d’un avocat, les acteurs cherchent à démontrer les faits et cherchent à établir la preuve formelle voire persuader le juge de l’innocence ou de la culpabilité de la personne en question, ou de la réalité du fait discutée.

Il va sans dire que la démonstration est le moyen le plus abouti d’établir une preuve car nul ne peut la nier sous réserve de disposer de tous ses moyens intellectuels et de sa pleine raison.

En effet on peut mentir lors d’un témoignage mais la démonstration ne peut en aucun cas mentir. Ainsi un faux témoignage peut induire en erreur, pour éviter cet écueil, le philosophe cherche toujours à démontrer les propos qu’il avance, sous réserve qu’il parle à un auditoire intellectuellement apte à appréhender ses propos. Une démonstration cherche à établir une preuve et une preuve cherche à établir une Vérité. La vérité n’est pas une opinion ou une croyance mais un fait immuable qui ne peut en aucun cas être remis en cause soit par la croyance soit par l’opinion, qui eux dépendent plus de l’émotion du sujet divulguant sa croyance ou son opinion.

Dans le cas de l’avis d’un expert, si celui-ci ne prouve pas son propos l’opinion n’est autre qu’une conjecture qui convainc selon le degré de probité de l’expert. 

La Vérité, s’opposant au faux et étant éternelle et immuable, se doit de respecter certaines conditions raisonnables qui lors du questionnement sont évidentes. Pour toute proposition vraie il existe son contraire c’est l’antithèse, qui montre qu’il existe un faux auquel vient s’opposer le Vrai. Une proposition dite Vraie doit le rester sinon elle est fausse. Car le Vrai est vrai et n’est pas faux, c’est le principe de non contradiction. Le paradoxe quant à lui, s’oppose à la vérité dans la mesure où il peut être récusé et se construit qu’à partir d’un faux semblant vrai. Cela revient à jouer avec les mots afin de donner à un élément faux les apparences du vrai. Ici similitude ne doit pas être confondu avec analogie mais doit être considéré comme une vérité qui ne l’est qu’en apparence, et présente lors de l’interrogation des vices cachés. Ainsi dire qu’il n’y a pas de vérité ne peut être considéré comme vrai. La vérité existe et elle est à chaque chose unique et une.

Soit il y a être soit il n’y a pas être.

Dans la démonstration que je me suis efforcé de faire de manière simple mais rigoureuse j’utilise le tiers exclu. Ainsi lorsque je rédige la preuve ontologique, je pose qu’il existe trois propositions mutuellement exclusives et exhaustives :


• Il n’existe aucun Dieu • Il existe un Dieu unique • Il existe plus d’un Dieu (et le nombre n’importe pas)

En montrant qu’une thèse est absurde on montre que son contraire est vrai. Ainsi pour prouver qu’il existe une divinité unique il suffit, en suivant le problème tel qu’il est posé, de montrer que la thèse qu’il n’existe aucun Dieu est absurde et de montrer que la thèse qu’il existe plus d’un Dieu est absurde.

Afin de montrer que la thèse athée est absurde il faut démontrer qu’il existe au moins un Créateur. Pour cela il faut mettre en évidence qu’il existe une création. Afin de mettre en évidence la création il suffit de démontrer que la non création est elle-même absurde en montrant que le hasard n’existe pas et n’est qu’une vue de l’esprit. Je définis donc le hasard et je le combats avec assez de succès. Ensuite je montre que dans la thèse polythéiste plusieurs contradictions émergent montrant rigoureusement que cette thèse est fallacieuse et dépend plus d’une croyance sans fondement que d’une science véritable ; je démontre donc irréfutablement que cette pensée est absurde et pleine de contradictions, ce qui suffit pour montrer que cette idéologie est pernicieuse et fausse. Ainsi selon la logique du tiers exclu, et tel que le problème est posé, en montrant que la thèse du non Dieu est fausse et la thèse de plusieurs Dieux est fausse ; il en résulte naturellement la déduction de la preuve ontologique. J’ai volontairement voulu réaliser une démonstration qui soit le plus simple possible afin de pouvoir éclairer les esprits qui doutent tout en possédant un minimum d’esprit critique que la science de Dieu est vraie et qu’elle dépasse la seule croyance. En somme, on peut savoir Dieu et la foi devient alors un degré d’attachement, certes inébranlable à Dieu qui rapproche le fidèle de Dieu variablement selon la foi elle-même


IV. La Preuve divine d'Allah, un Manifeste Métaphysique par excellence


Aimer sans la Vérité n’est pas aimer, la vérité se décline dans une science et la science s’expose par la preuve et la preuve est naturellement démontrable.

Les Hommes vivent dans un ordre qui est régi par la relativité générale. Mais lors de la Rencontre avec Dieu c'est la physique quantique qui régit la rencontre d'où la

non séparabilité, ainsi la théorie est à la fois non locale et locale puisque le divin est unique dans l’Un alors que l'Homme est Unique dans le multiple. Ainsi la physique quantique et la physique  classique sont  unies dans la relation unique entre Allah et son serviteur.

La science révélée donne le cadre à la science théorique illimitée qui nourrit la science limitée à l’expérience. Notre pensée est supérieure à notre expérience. La métaphysique, dominée par la divinité, est quantique et la physique, dominé par l'Homme, est classique et obéissant à la théorie de la relativité. Le destin métaphysique détermine le libre arbitre physique. Le bon sens ne trouble pas la raison. La raison pleine, on sème dans l’ordre sans ruine de l’âme et on récolte à juste titre les fruits de son labeur. Perdre l’esprit est tragique. La raison est notre arme. Armez-vous en partageant la Raison pour la chérir.

Toutes les religions ont en commun un lien horizontal qui noue les relations humaines ainsi qu’un lien vertical qui permet la communication avec le Divin. La « religion » de l’athée est la seule qui n’ait aucun lien vertical ou transversal car par définition elle renie le principe de la Divinité. Les religions monothéistes témoignent d’une divinité unique, et enfin on trouve aussi des partisans du polythéisme qui invoquent un panthéon de divinités, parfois personnifiée par des idoles. Comprenons bien une chose il n’y a pas de quatrième voie ! Autrement dit ces trois positions existantes sont exhaustives par rapport à l’idée de la divinité. Une seule proposition est vraie à l’exclusion des deux autres.

•         L’athéisme édicte comme principe fondateur de toute pensée que la divinité est une idée fausse, la divinité serait donc une chimère dont souffriraient les croyants. Il n’y a donc aucune divinité pour l’athée.

• Le monothéisme édicte comme principe fondateur l’existence d’une divinité unique. • Le polythéisme édicte quant à lui le principe fondateur de l’existence de plusieurs divinités quelque soit le nombre des dites divinités.


Il n’y a pas de quatrième voie ces trois positions sont mutuellement exclusives, et dans l’exhaustivité seule une tient pour garant la Vérité. Avancer qu’il existe un quatrième cas sera totalement absurde.

Peut-on dire qu’il n’y a aucune divinité, l’athée aurait-il raison ? Renier la divinité implique de dire que toute chose qui est portée à la connaissance n’est pas créée, et par conséquent serait issue du hasard. En effet il n’y a aucune divinité il n’y a donc, de facto, aucun Créateur. Toute chose est le produit du dit hasard. Donnons une définition au hasard qui puisse inclure toute perception du hasard et conviendrait à cet énoncé :

Le hasard est une suite d’événements n’ayant ni origine ni fin et qui ne sont pas liés entre eux par une quelconque logique ; le hasard ne saurait être expliqué par les moyens de la raison.

Pouvez-vous donner une meilleure définition ?

Si on trouve un début à un événement alors on sait d’où il vient et cette connaissance essuie toute considération qui porte le hasard au rang d’explication. Pareillement si on connaît la fin d’une action, on sait où elle va de ce fait le hasard ne peut être considéré comme la source légitime de l’explication du phénomène observé.


Enfin si un événement suit une loi scientifique (que la logique peut appréhender) ou que la raison peut saisir alors toute considération qui fait du hasard l’explication maîtresse s’essuie face à la capacité intellectuelle de l’Homme. De ce fait le hasard doit se calquer sur la définition encadrée, en cela le hasard serait un phénomène quasi métaphysique qui se manifesterait d’une façon qui échappe complètement à la raison humaine. Le hasard n’a ni origine ni fin et la raison ne peut traiter l’information saisie par le phénomène du hasard. Sinon ce n’est qu’une connaissance incomplète.

On ne peut absolument pas déduire une loi du hasard.

Le hasard existe-t-il ou serait-il qu’une manifestation d’une ignorance latente ?

Examinons le hasard, recherchons le dans l’Homme, dans la Nature et enfin dans le Cosmos. Si le hasard existe, ce dernier se trouve forcément dans l’une des catégories précédentes.

1. Le hasard face à l’Homme.

L’Homme vit et meurt, ainsi tout homme à un début et une fin. Et les bébés n’apparaissent nullement par le fruit du hasard, les règles de reproduction et de conception sont connues depuis la nuit des temps, si connues que l’on peut y déroger à travers la contraception. L’Homme vient de ce qu’il connait : une eau éjaculée. Et les étapes qui suivent sont méthodiquement reproduites pour chaque nouveau né, quelque soit son image. Aussi, la morphologie de l’humain montre que ce dernier est limité. Dans les mesures anatomiques de l’Homme on retrouve régulièrement le nombre d’or, un nombre qui est synonyme de perfection, de beauté et d’harmonie. Pourquoi n’y a-t-il jamais de hasard en cela ?

L’Homme a – t- il été crée à partir de rien ou est il le créateur ?

D’autre part la raison humaine est une réalité partagée par la grande majorité des êtres humains. Le principe de la raison permet à l’homme de réfléchir, d’acquérir des connaissances et donc de dissiper toute manifestation qui pourrait être confondues avec l’erreur et la transformer en science, autant que faire se peut. A l’extrême certains Hommes font preuve de folie, mais les manifestations de la folie sont énoncées par la science et la science est issue du travail de la raison. Par conséquent on ne peut pas témoigner raisonnablement que le hasard a produit l’Homme car tout en l’Homme est ordonné et raisonnable. C'est-à-dire tout l’opposé du hasard.

2. Le hasard face à la Nature

De la faune et de la flore. La faune et la flore sont les composantes essentielles de toute vie dans la nature, ceux sont les constituants vivants qui habitent sur Terre. Tous deux peuvent tomber malades et être soignés par des moyens médicaux. Il y a donc une loi médicale qui régit ces vies sur Terre. Au-delà, de la médecine, d’autres domaines scientifiques peuvent interférer avec ces derniers. On peut citer la génétique qui peut changer la constitution de ces vies et les rendre plus forts face à certains dangers ou altérer leur apparence « naturelle ». On peut aussi citer les habitudes alimentaires de la faune et de la flore qui sont une discipline scientifique. Par exemple les plantes ont besoin d’eau et de soleil pour croître et leur croissance est prédéterminée. Il en va de même pour la faune dont les habitudes alimentaires sont différentes, selon qu’on observe un carnivore ou un herbivore. Ainsi que l’Homme qui est soumis à toutes ces lois scientifiques, car elles le caractérisent, l’identifient et le déterminent, permettant de le différencier de la faune et de la flore sauvage. Aussi, l’Homme trouve dans la Terre toutes les ressources nécessaires à sa vie, quelque soit le degré de civilisation auquel il aspire, qu’elle soit primitive, moderne, ou technologiquement avancée. La Création fait preuve de plus d’intelligence et de maitrise que l’Homme regardez comment on commence à vouloir l’imiter ! C’est le bio mimétisme

         De la Terre

La Terre elle aussi est soumise à différentes lois qui la caractérisent et la font vivre. La Terre a une structure propre, elle est nivelée sur plusieurs couches chacune ayant une fonction propre. Et la magnétosphère protège la Terre des irradiations du Soleil. La Terre se caractérise par d’autres lois. La géologie est une, on a récemment découvert que les montagnes étaient ancrées dans le sol afin de maintenir l’écorce fermée comme si les montagnes cousaient la Terre, mais elles jouent plus concrètement le rôle de piquets. On peut même calculer l’âge de la roche et connaitre les étapes historiques de sa formation. Sans les montagnes, la terre serait partie en éclats et n'aurait pas eu cette écorce terrestre propice à la vie. La pluviométrie dépend des océans dont l’eau est vaporisée et absorbée par les nuages afin d’être disséminée vers d’autres régions. Et tout cela selon un calcul que viennent de réaliser les spécialistes, du Ciel la Terre permet de descendre la pluie selon une mesure et de façon ordonnée.

Du Ciel Les manifestations du Ciel bien que difficiles à prévoir restent ancrés d’une science qui permet de les comprendre et de les analyser. On peut citer les phénomènes pluviométriques, ainsi que les tempêtes dont les naissances peuvent être entendues ainsi que leur disparition. Les scientifiques n’ont-ils pas alerté les populations qui ont vu « Katrina » détruire une partie de leurs biens ? Si.

Par conséquent, et loin d’avoir fait un exposé détaillé de tous les phénomènes naturelles, j’ai tout même réussi à mettre la lumière sur le caractère intelligible de ces phénomènes, et ainsi j’ai montré l’inexistence du hasard dans la Nature.

Aurions-nous pu construire, avancer dans la civilisation bâtie entre Terre et Ciel si la Nature faisait preuve de hasard dans ses manifestations ? Aurions-nous pu acquérir des connaissances sur la Nature si le hasard régnait dans la Nature ? Bien sur que non !


3. Le hasard face au Cosmos

L’univers a de tout temps fasciné les Hommes. Ils y trouvèrent une mécanique routinière qui les rassura quant à leur vie sur Terre.

En effet du fait de la rotation de la Terre on voit les étoiles tourner dans un sens inexorable alors qu’en réalité elles ne changent pas de place. Ces « mouvements » célestes annonçaient tantôt des célébrations, changement de saison, ou le moment propice pour des événements importants. En effet le Cosmos connaît une certaine régularité et présente certains enseignements. D’une part, l’orbite des planètes qui malgré l’immensité du Cosmos ne dévie nullement de leur route, si ce n’est par l’attraction d’un astre de taille supérieur ou sous l’effet de la loi de relativité. D’ailleurs c’est à travers des observations similaires que certaines planètes ont été découvertes. La position du Soleil par rapport à la Terre est si précise que tout changement ne serait ce que minime (au niveau des grandeurs humaines) pourrait brûler la Terre ou la jeter dans le grand froid. Depuis quand le hasard se fait-il aussi précis ? Il relève plutôt de notre part d’ignorance … L’Univers est en expansion d’après les observations de Hubble, car les étoiles s’éloignent les unes des autres. Il a donc un commencement. Il a certainement une fin comme l’a démontré Stephen Hawking et ceci dans un trou noir, d’abord. Ceci étant l’Univers avance au diapason, les lois physiques sont là pour le prouver. Par conséquent le hasard n’a aucune place dans ce que l’Homme connaît. Il n’y a nullement de hasard, dans l’Homme, ni dans la Nature ni dans le Cosmos.

	Les avancés scientifiques sont là pour étayer continuellement cet énoncé.

D’autre part, si le hasard avait produit un quelconque élément de ceux sus cités ou si le hasard était intervenu dans une quelconque manifestation soit de l’Homme, soit de la Nature soit du Cosmos, certaines traces auraient été décelées. Or toutes les catégories mentionnées sont visiblement parfaites. Les mathématiques calculent les aléas mais ce n’est que conjecturer sur l’incertitude, jusqu'à ce que le phénomène soit stipulé sous forme de loi certaine.


On peut rétorquer que parfois certains éléments ne font pas preuve d’autant de perfection que les autres, quand bien même des anomalies persisteraient pour contredire ce discours, elles peuvent être classées dans une sous catégorie intelligible par la raison. Mais si la raison ne suffit pas à l’expliquer, cela serait, suite à la démonstration, qu’une preuve de l’ignorance humaine, latente à tout homme. Si l’homme savait tout il n’aurait nullement besoin de chercher à savoir. Mais induire le hasard comme palliatif à l’ignorance demeure un comportement d’une grande paresse intellectuelle pour celui qui a lu jusqu’ici. Aussi je tiens à ajouter qu’en réalité la chose que l’on appelle hasard est un événement observable qui échappe à notre entendement qui reste limitée. Mais ce que l’on peut dire c’est que ce "hasard" est pourvu d'une cause qui reste à déterminer afin d’acquérir plus de science et dissiper le brouillard de l'ignorance sans faire preuve d’aucun orgueil. Quiconque renie cela doit prouver l’existence du hasard afin de discréditer ce discours mais c’est fondamentalement l’ignorance, je le rappelle, qui permet à la personne d'invoquer le hasard. Non ? Bien sur que si ! Le hasard est une superstition qui n’a aucune validité scientifique. Comme il a été minutieusement montré ci-dessus, le hasard s’il avait existé ne permettrait nullement l’acquisition de science ni même l’énonciation de Lois fussent-elles scientifiques ou non. Alors il faut reconnaître que l’univers et tout ce qu’il comporte est régi par une loi ou plusieurs. Le hasard est donc une fausse explication que nul ne peut prouver car la création est visible et le créateur est caché. Les cieux et la terre ont-ils été crée de rien ou bien est ce l’Homme le Créateur ? Mais non ! Les Cieux et la Terre sont une plus grande création que l’Homme, mais peu le savent. C’est pourquoi dans l’interrogation sur ces derniers on peut tomber sur des conclusions invraisemblables mais en vérité cela ne témoigne que de notre faible connaissance face à l’immensité. Face à l’immensité on se perd en conjecture. Mais la théorie de la connaissance affirme avec non contradiction et certitude que l’innovation pure est impossible. On ne peut sortir réellement une chose du vide. La création pure ne nous appartient pas, en effet on ne peut imaginer une chose qui n’ait des bases sensibles dans notre monde.

Donc l’idée de la divinité ne peut venir que de Dieu lui-même. Inventer Dieu sans le prouver est un faux, et les faux disparaissent dissouts dans le vrai.

Prouver Dieu reste car les paroles s’envolent et les écrits restent.

On ne peut renier la Loi qui dissout le hasard au rang des absurdités ! 

Avoir foi en le hasard revient à s’aveugler de la vérité évidente.

Aussi lorsqu’une personne ne témoigne pas de la divinité, la nature à travers les mécanismes de son fonctionnement puissants et forts reste de facto un témoin qui témoigne que l’athée dit faux. Et cela tout le temps. Par conséquent le hasard n’existe pas. Il n’y a de hasard que le destin. Le destin est voulu par Dieu. 

La foi en le destin essuie nécessairement l’obscurité et l’injustice du hasard. La reconnaissance de son ignorance est la plus grande des sciences de la créature, la foi dépasse scientifiquement la science. Et nulle justice lorsque le hasard est invoqué.

Cela revient du devoir de responsabilité ! 

Qui saurait se justifier par le hasard devant une Cour de Justice ?

Qui saurait y répondre favorablement si ce n’est l’Homme injuste ? 

La Justice est vérité et l’injustice un faux, un mensonge. Qui témoignerait du contraire, si non le faible d’esprit ? La Justice n’enveloppe t elle pas l’injustice ? Quiconque le sait qu’il agisse en conséquence.

Car le Divin est vérité.  Dans les cieux et la terre ainsi que dans l’Homme il y a des signes pour ceux qui raisonnent. Par exemple l’alternance du Jour et de la Nuit.
En effet les Cieux et la Terre ont été crées avec la Vérité car la Nature est rigoureusement cohérente. Et il est évident de voir que si les Cieux et la Terre étaient conformes aux passions des Hommes ils seraient corrompus et non parfaits.

Donc, par l’absurde, et à travers l’analyse simple et ordonnée de la Création on arrive à prouver la présence du Créateur qui a créé selon une Loi, le Créateur est donc aussi Législateur. Démontrer que le hasard existe nécessite d’étayer une Loi ce qui discrédite de facto l’existence du hasard dans la contradiction évidente qui se renferme dans un cercle vicieux. Dites je ne sais pas plutôt que d’invoquer futilement le hasard par pédanterie scientiste. N’avez-vous pas calculé que la probabilité que le hasard soit à l’origine de l’Univers est faible, alors que celle que le Dieu Législateur en soit à l’origine est supérieure selon les probabilités conditionnelles, et Dieu les regards ne l’atteignent pas. Sinon cela aurait été une certitude expérimentale ! La déité use de son pouvoir vu la création. Nul ne peut renier la création, donc qui pourrait renier le créateur ? Le faire c’est qu’une affaire de mauvaise foi je répète. (La vraie question est de savoir s’il en existe plusieurs ou un unique) En effet la nature domine l'Homme et est une image de la divinité qui n'est connaissable qu'à travers la nature et la raison fait partie de la nature. A travers la science de la nature et son manifeste relativement éloquent on ne peut dire qu’il n’y ait aucune force supérieure. Qui n’a jamais vu un éclair ou entendu le tonnerre ? Ne sont ils pas eux aussi un manifeste divin, et l’alternance du jour et de la nuit voilà des signes pour ceux qui réfléchissent. Le soleil est le signe du Jour et la Lune le signe de la nuit. Ceux sont des signes explicites pour les doués d’intelligence. Donc qui dit présence de force supérieure dit forcément présence d'au moins une divinité. Ainsi on démontre assez facilement que l'athéisme ne tient pas. Ainsi, on ne stipule pas que la nature est divinité mais on ne peut pas dire pour autant qu’elle nous en éloigne. Par conséquent il ne demeure que deux groupes où l’un est vrai et l’autre est faux exclusivement, sinon on est dans le faux, en toute logique. Alors il ne peut demeurer qu’un camp qui ait pour soutien la Vérité. Celui qui cherche à prouver le hasard tombera nécessairement sur des contradictions qui feront que sa prétendue démonstration soit fallacieuse et captieuse. Il en va ainsi car tout est déterminé par une loi qu’elle soit connue ou inconnue.

Ainsi va le progrès scientifique.

Toutes les lois scientifiques tendent à indiquer la présence de Dieu, c’est le paradigme dans lequel se trouvent les scientifiques qui les empêchent d’invoquer Dieu. On ne peut pas voir le Soleil signe de puissance comment pourrait on voir son créateur. Apprenons maintenant à connaître cette réalité. La Preuve de Dieu vient de Dieu.

D’après, l’analyse on sait que cette réalité  est Vraie et Vivante et Elle est Omnisciente et Omnipotente.


• D'une part la vie vient de la vie, on n'extraie aucune vie par la mort, ceci d'un point de vue empirique c’est la biogénèse. La science biologique nous explique que la vie provient de la vie. Alors ce Créateur est forcément vivant, par la force des choses. • Deuxièmement vu les capacités que le monde naturel détient cela témoigne d'une omnipotence puisque l'on décrit un tout connaissable. Alors ce Créateur quel qu'il soit est forcément omnipotent. • Puisque la science peut décrire toute chose alors toute chose décrit une science. Alors ce Créateur omnipotent est forcément omniscient. • Enfin, de par l'absurdité du hasard on peut dire que cette réalité n’a ni début ni fin et réalise des actions logiques. Dieu est infini et il est cohérent c'est-à-dire qu’il fait preuve de sagesse et il est eternel.

En somme, l'ensemble de ces quatre énonces fondamentaux prouvent la validité du théisme. On a élevé le hasard au rang de réalité Ultime et on a abaissé Dieu au rang d’absurdité. On prétendait Dieu sans Preuve et le hasard reçut sa couronne. Or nul hasard ; en dehors de Dieu tout est faux. Le hasard est un brouillard qui sépare le Dieu de sa créature ignorante jusqu'à dissipation du brouillard et connaissance de la Loi. Car on sait que la Loi est vérité.

Ou aurait-il un associé ?

Le déisme stipule l'existence d'une, ou plusieurs divinités, qui soit éternelle, omnipotente, omnisciente, douée de la capacité de créer un ensemble accessible par la science et que son  être est vraie c'est à dire non fictif, et vivante.

On ne peut le connaître qu’a travers la vérité alors caractérisons la vérité pour mieux la connaître. Selon le principe de non contradiction. On a : A=A et A différent de non (A) Donc la vérité est Une et Unique.

Ainsi pour tout objet de connaissance on ne peut le connaître qu’à travers ce qu’il est, et tout objet de connaissance est unique.

Du Polythéisme : Dieu aurait- il un associé ?

Le polythéisme consiste à dire qu’il a plusieurs divinités égales en puissance en science, en capacité, en douceur, en bonté, en équité, et qu’ils soient premiers et derniers entre eux et pouvant créer du néant, et également infini dans leur capacité et éternels et cela simultanément. Par définition le dieu est aussi celui envers qui le culte est rendu dans l’obéissance et la liturgie…

(N.B A Dieu les plus meilleurs noms, les plus beaux forcément de par sa supériorité transcendante)

Chapitre 1 : l’inégalité Si les divinités ne sont pas égales entre elles alors la vraie divinité reste et demeure la plus puissante, Le Maître du Trône de la déité, donc Dieu du Trône Sublime de fait. Si les divinités sont inégales alors elles sont classées hiérarchiquement, alors la divinité la plus puissante ne fait que partager sa puissance avec celles en qui elle a le plus confiance ; qui à ce niveau de pouvoir nécessite d'obéir en tout et de désobéir en rien. La quête du pouvoir est vue de son exercice. Son exercice est de fait. Le pouvoir est parfait.

Ce partage de puissance rend les subordonnées honorables par réputation d'où l'ornement du titre de divinité qui en réalité ne leur appartient pas. 

Ces êtres inferieurs détiennent un haut rang dans la Souveraineté de la divinité. Toutes les aptitudes des êtres inferieurs ne seraient que le produit des dons de la vraie divinité. Il y aurait donc une divinité en essence des subordonnées qui se rapprocheraient de la divinité en puissance.

Les attributs des subordonnés seraient une substance.

Dans le cas où les divinités seraient inégales c’est que la plus puissante ne partage pas tout avec les subordonnées, tout ce que les autres ont acquis n'est que le produit du don divin. C'est le non partage d'un seul élément qui distinguerait la divinité des êtres inférieurs. Ils ne partagent pas la même Vie. Il suffit dans cette analyse que la vraie divinité ne partage pas sa Vie avec les êtres inférieurs pour que la subordination ait lieu causant le lien de « hiérarchie » manifeste et absolu. La transcendance est réelle.

Le Dieu Suprême est incréé et ceux qui s’en rapprochent sont crées tout comme ceux qui s’y éloignent. Et face à Lui, qui n’avance pas recule forcément.

En effet il suffit que la même vie ne soit pas partagée pour distinguer la divinité de sa création rapprochée. On dit « rapprochée » car on croit au multiple plutôt qu’à l’Un. Si les divinités ne partagent pas la même vie entre elles cela implique que la divinité a créé les inférieurs (toute créature) qui ont absorbé le don divin au point de créer la confusion. Or, une vie différente implique une relation de Créateur à créatures, sinon ils jouissent de la même vie et sont égaux. Or ils sont inégaux, il n’y a aucune égalité entre les « dieux ». Le pouvoir divin est parfait. Le pouvoir de la créature est en quête de perfection.

Ce qui résulte de cette analyse est la présence d'une divinité unique qui est divine en essence et des créatures qui lui tendent et s'en approchent en puissance à travers une substance, sans jamais l’égaler.

Cette analyse est confortée par le fait que quiconque jouit de la vie pourrait prétendre à la divinité mais la prétention ne constitue pas une preuve ! Mais pourrait semer la confusion dans le cœur des gens. La vie ne donne pas le droit de s’arroger le titre de divinité. Un être vivant animé de la pensée de Dieu ne peut, en aucun cas, être porteur du titre de divinité à cause de son sentiment, qu’il soit visible ou invisible. L’exemple de Pharaon qui se prétendait Dieu le plus Suprême est un exemple éloquent. Comme on le sait Pharaon avait tort et fut noyé. L’autopsie l’atteste.

Dieu donne la vie et la mort, et Dieu est innocent.
Dieu fait descendre la pluie et fend le noyau laissant en l’occurrence pousser la végétation.  Il donne la nourriture alors qu’il n’a pas besoin de manger, il pourvoit aux biens des Hommes et vue la création il est Riche et Glorieux au-delà du besoin.

Dieu est Souverain de facto. Car le vrai Dieu est ici Le Dominateur Suprême : il accorde un délai à chacun mais ne néglige rien. On ne peut effacer sa présence, juste lui être infidèle ce qui relève du libre arbitre nulle contrainte, Dieu en personne n’a jamais contraint personne à lui être fidèle mais il rétribue avec équité à un moment. IL est Celui qui est digne d’être arrogant et avec droit. C’est une chose naturelle un Dieu timide n’est pas Dieu mais le Divin est à juste titre arrogant d’être et de faire. Il crée ex nihilo.

Enfin, il va sans dire que si des divinités multiples existaient elles chercheraient un moyen à accéder au Maitre du Trône, à s’accaparer du Pouvoir ! Or aucun mouvement de ce type ne peut être juridiquement validé.

Le Verbe se dissipe, et la Lumière apparait et inonde.

De par cette analyse de l’inégalité on montre que la divinité est un absolu incréé qui ne souffre d’aucune relativité.


Mais la relativité serait maintenue si et seulement si les divinités sont égales entre elles.



Si les divinités jouissaient de la même vie elles seraient rigoureusement égales entre elles. Les dieux seraient incréés et source de la création. Mais si les divinités sont égales entre elles une autre analyse en découle:


Chapitre 2 : l’égalité

Le multiple s’oppose naturellement à l’Un et vice versa.

Ici on cherche a étudié l’hypothèse de plusieurs dieux égaux entre eux.

On ne saurait retenir une idée fausse et avancer qu’elle nous augmente en science ou vers le progrès, en toute bonne foi.  Il faut au contraire que cette idée soit au moins vrai et qu’elle ait un enjeu supérieur. Donc l’Homme Sain, qui distingue, s’en remet au vrai et délaisse l’absurde, le  faux et  donc aussi le mensonge.

Préambule

Ces divinités qui sont égales ne connaissent leur égalité qu’à travers un étalon de mesure qui leur est commun sinon elles ne se connaissent pas entre elles. Comment ont-elles choisi cet étalon de mesure ? Pour qu’il soit juste il faut qu’il vienne d’un agent qui ne fasse pas partie du groupe. L’étalon de mesure est issu d’un être absolu et cet être est forcement unique et Un comme on l’a vu.

L’idée de la multiplication des divinités est négligeable face à celle de l’absolu. Car l’absolu est ce qui permet de maintenir en place cette idée de multiplication de divinité, donc il y a de facto une subordination  de tout face à l’absolu. Il n’y a donc vu le premier chapitre un seul Etre incréé. C’est l’Un qui permet le Multiple, dans l’ordre et en toute droiture. Dieu n’est il pas le plus rigoureux ?

D’autre part le moyen de l’étalon montre que les divinités ont besoin d’un élément qui n’est pas d’eux pour se reconnaitre, c’est un signe d’ignorance et de pauvreté. Les divinités ne le sont pas par elles mêmes mais grâce a cet être ineffable qui garantit l’illusion de leur état. Celles élevées en divinités se trompent en prétendant à ce titre et leur réalité est tout aussi fausse.

Si l’étalon qui garantit leur égalité vient d’eux alors il y a une partialité qui implique que ces dernières ne sont pas égales entre elles car l’inventeur de l’étalon est premier donc il y a une hiérarchie.
Si elles ont eu l’idée toute en même temps alors ces divinités font UN en vérité sinon elles sont dépendantes les unes des autres et aucune liberté ne leur est permise. 

La nécessité d’utiliser un étalon montre que leur condition de divinité est subordonnée à un élément non divin en essence mais divin en substance donc il y a une illusion de la condition qui est maintenue par une mesure. Sans cet étalon qui permet d’égaliser les divinités la réalité de leur égalité est arbitraire et finalement elles n’en ont pas connaissance elles mêmes. Or qui dit mesure dit finitude et la finitude s’oppose a l’idée de l’infini. Aussi, il va sans dire que des divinités injustes n’auraient pas crée une nature pleine d’harmonie et d’ordre, alors qu’elles en sont incapables elles mêmes sinon a travers un artifice. La condition plurielle de divinités est issue d’une pensée magique qui n’est qu’une réalité travestie. Sans l’outil qui permet de garder ce statut privilégié les divinités seraient dénudées de pouvoir, elles disposent donc d’une technologie qui garantit leur statut. Cette technologie a été acquise et donc est issu d’un don Divin qui est lui-même Un et Unique.

La nature est le signe de la création et cette création est ordonnée et donc le créateur maitrise l’ordre, apparemment sans peine. Les divinités qui ne le deviennent que par un outil  montre que la réalité des  divinités est contradictoire : elles sont divinités et elles ne le sont pas en même temps, cela montre selon le bon sens que la condition plurielle des divinités est une absurdité. 

Ce que montre la condition plurielle des divinités est que cette réalité est un devenir et non un Etre. Ceux des êtres avancés mais limités dans leur quête par un être unique qui est infini, absolu et qui n’a pas besoin de devenir car son Être propre est autosuffisant, le Premier et le Dernier .La vraie divinité est un Etre et ses créatures sont en devenir, de fait. Si advient une civilisation plus avancée que celle qui peuple la terre et que cette civilisation avancée rencontre les terriens la première réaction face à la stupéfaction de leur existence seraient de décrier la pluralité des divinités. Mais ils ne seraient que la projection du propre devenir de l’humanité. Et leur nature créée apparaitrait naturellement une fois que l’humanité se mettra à s’interroger sur leur nature.

	 Si cette idée est vraie alors on devrait trouver des contradictions dans les implications de l’hypothèse  de la condition plurielle  et égales des divinités. 

La vérité est ce qui détourne du faux et le faux est voué à disparaitre face a la vérité. Vérifions … !

RAPPEL La Vérité se suffit comme témoin et elle est cohérente entre elle.


Article1 : La non reconnaissance mutuelle S’ils s’ignorent entre eux alors ils manquent cruellement de science en tout état de cause, notre étude s’arrête de facto. Il n'y a donc pas de polythéisme. Car l’homme est conscient de son semblable alors il ne peut y avoir un groupe de plus grand savant qui s’ignorent entre eux, alors qu’ils sont pareils. L'homme, étant plus petit que les divinités que l'on cherche, ne peut avoir plus de science que ceux qui sont supérieurs à lui. Se croiraient-elles seules alors que leur création sait qu’ils sont plusieurs ? Croyance sans science est science sans conscience. Science sans conscience n’est que ruine de l’âme. Il y a une contradiction qui montre que la multiplicité est fausse. Sans Un aucun Multiple ! Les divinités ne sont pas semblables aux hommes selon le principe de non contradiction, en vérité, sinon il y a mensonge et manipulation. Le langage est explicite. La narration des dites divinités n’est pas démontrée mais est issue d’une mythologie, le mensonge est parent de la parjure, crime évident…

Article2 : Coexistence et neutralisation. S’ils se connaissent entre eux alors il y a des rapports sociaux et un code de conduite respecté et exécuté, ils sont sous le joug de la contrainte. L’étalon de mesure les maintient dans une situation contraignante. Il en est ainsi qu’ils soient finis ou infinis, et quelle pire calamité pour un être infini que d’être dérobé de sa liberté naturelle, elle devient finie dans la loi. Avoir foi en l’infini ne suffit pas pour l’être, mais ouvre la voie au devenir. Un devenir indéfini limité par un Etre infini. Dans la prétention de leur infinitude elles sont prisonnières d’une réalité transcendantale qui freine leurs ambitions et cette réalité transcendante est forcément infinie. Derrière le multiple se cache l’Un. En effet l’union fait la force mais qu’est ce qui peut lier sinon une cause plus grande ? Cette cause plus grande n’est autre que Dieu, l’Un : la Vérité qui est unique.

	2.1. Le Joug de la Loi

Le code qu’ils respectent est synonyme que le législateur n’est pas leur égal car il a dépassé la mêlée, aussi il a été premier en cette action, accordant de facto la succession aux autres. Il n’y a pas d’indépendance face au destin et ils ne sont pas libres, donc ne sont pas maitres sur eux-mêmes. Ils ne sont pas omnipotents, ils n’ont pas pouvoir sur toute chose. Ainsi on remarque la bonne entente. Donc il n’y a nul doute que ces êtres, sont sous le lien multilatéral d’une Loi. Si un individu parmi le groupe voulait faire un acte isolé qui lui donnerait l’autorisation de quitter le groupe ? Celui qui a permis leur rencontre au départ naturellement. S’il ne pense pas par lui-même comment pourrait-il être une divinité, il est contrôlé par une force encore plus grande. Si toutes les divinités s’étaient mis d accord, alors pour que la condition plurielle des divinités soit vraie il faut nécessairement que tous aient exprimé l’intention de s’unir. Aucune expression de cette union si ce n’est l’imaginaire de l’Homme désabusé, injuste envers l’idée de l’UN, donc injuste envers lui-même. Mais qu’est ce qui a empêché les divinités de s’unir avant ? Le changement d’état montre que les divinités ne sont pas une vérité immuable et donc ne peuvent pas être élevées au rang de divinité. Seul celui qui reste mérite la demeure, les absents n’ont-ils pas toujours tort ? Les divinités seraient donc une chose de la nature elle-même et donc ne seraient pas des divinités, ils ne sont que l’expression d’un législateur supérieur qui ne ressemble pas a ce qu’il a crée. (cf. Chapitre 1 l’inégalité)

L’union des divinités montrent qu’elles ont besoin d’un ordre pour vivre, cet ordre est le produit d’une concertation ce qui implique que la vérité qui les anime a été découverte. Cette vérité est le signe de l’Un la vraie divinité omnisciente.

Si les divinités se mettent d’ accord : le principe qui leur était inconnu avant qu’ils ne s’allient, cette vérité qui a été découverte par les divinités montre qu’il existe un principe supérieur à eux-mêmes. Si elles ne se mettent pas d’accord alors allez à l’article 3.

Ainsi, ce principe est nécessairement un et unique sinon une spirale abyssale s’ouvre et cette spirale abyssale est contraire à l’ordre établi qui ne l’est pas. Voyez- vous la spirale ? Qui y tombe ne peut se vanter d’aucune prétention divine selon la conscience de l’Homme qui y échappe…

Cette spirale abyssale est le produit de la vraie divinité qui emprisonne les fauteurs de trouble selon le lien social intrinsèque à sa créature la plus aboutie : l’Homme. Qui voudrait se voir enfermer avec les Titans comme vaincus par leur parent Zeus, horrible châtiment à méditer. Et de toute chose Dieu est capable, souvenez vous.

Notons bien une chose : Ordem ab Chaos Si les dits dieux se sont repentis d’un chaos primordial auquel a succédé un écosystème dont l’ordre est harmonieux, alors ce nouvel Etat implique qu’ils n’en avaient pas connaissance avant. La découverte de cette idée implique que cette « Vérité » (car les Cieux et la Terre sont formellement crée avec la Vérité, vu le progrès scientifique) n’émane pas des dits Dieux mais leur a été suggéré par une Être subtil, qui lui est incréé alors qu’eux sont crées. Cette idée ne trouve pas son origine dans le multiple mais dans l’Un.

L’étalon est l’inspiration divine qui guide les receveurs pour la fondation d’un monde meilleur. De qui d’autre que Dieu viendrait une bonne idée ?

L’ordre naturel provient d’un ordonnateur, si les divinités s’inscrivent dans cette logique alors elles ne sont pas ordonnatrices mais sont elles- mêmes ordonnées ce qui montre qu’il existe un principe premier et universel qui les lierait, et ce principe n’est pas eux mêmes car il est par déduction : Un et Unique. Ce qui détruit la condition plurielle de divinités. Si les divinités ne produisent pas d’ordre naturel alors les cieux et la terre seraient forcément une création corrompue or les cieux et la terre sont faits avec une réelle perfection. Donc le principe d’un ordre naturel est issu d’un Dieu unique et il est Un, de facto.

Entre imagination fertile et mythologie il y a le vertueux qui cherche à travers la bonne foi et la raison et le pervers qui cherche à s’y opposer par arrogance.

Si elles ne s’inscrivent pas dans cette vérité, alors la vérité et son contraire coexisteraient et nulle science ne pourrait émaner. Pouvez-vous dire être et ne pas être simultanément ? Le dire est naturellement faux, de toute évidence ! Si c’est un groupe alors on revient au chapitre 1 qui traite de l’inégalité.

Et donc, c’est un seul individu. Ne donnez pas d’associé à Dieu c’est une terrible injustice que vous faites à vous-mêmes et par ricochet à autrui, l’associé en question. Mais comment, alors qu’ils sont égaux peut juste un seul avoir l’idée de concevoir divinement ce que tous auraient dû avoir réalisé en même temps. (Ils ne doivent faire qu'un pour cela or l'Un s'oppose au multiple). Il ne peut y avoir asymétrie de l’information puisqu’ils sont égaux entre eux. Mais puisqu’ils se connaissent tous, alors il ne peut avoir qu’y une source ex –concile

Si l’union des divinités a toujours été, alors le ciment de leur relation est une vérité dont elles dépendent par conséquent elles ne sont pas maitresses d’elles mêmes, car leur pérennité implique le respect d’un ordre, et dont le non respect implique leur destruction, elles ne sont pas immortelles alors, mais nourries continuellement. Les divinités s’en remettent à une vérité supérieure pour exister, cette vérité est éternelle et transcendantale à leurs conditions et montre leur faiblesse et leur instabilité intrinsèque. Il existe un élément qui n’est pas du ressort des divinités qui permet aux divinités de survivre, cet élément provient naturellement de Dieu l’Unique qui montre que Lui seul est Divinité. C’est l’Un l’Inébranlable. Il promet l’immortalité et donne la longue vie. Le Dieu donne la Vie et il donne la Mort. Le non conflit implique rigoureusement un confinement et une impossibilité de jouissance de la liberté absolue. La Justice transcende le groupe qui obéit à la sentence judiciaire : Dieu Un et unique est Justice et il contrôle le groupe des dites divinités qui, en prison, ne peuvent l’être que si Le Juge Le Puissant les y condamne. Subir le joug de ce dernier implique que le titre de divinité accordée à chacun des membres est une usurpation et ce confinement en est la punition, c’est un fait de Puissance de la vraie divinité qui marque un espace transcendantale entre elle et sa création intelligente ou pas. Prétendre être dieu face au vrai Dieu mène à la désillusion, on le sait tous. D’où la punition, vivre honni et blâmé coincé dans son délire dont il faut se défaire et se libérer . En effet celui qui n’est pas libre est forcement dans une prison. Ces prétendues divinités devraient, dans ces difficultés, se détester elles-mêmes et entre elles, mais la haine qu’elles se portent est négligeable par rapport à celle que Dieu leur porte. Lorsque Dieu retire son Amour c’est la pire haine qui soit. Mais en vérité Dieu est Amour et Nul ne saurait rivaliser avec Lui en Arrogance et Grandeur. C’est l’éclatante vérité ! En effet à Dieu les plus beaux noms, les meilleurs noms. Donc le divin est égal à lui-même il est invariable et inébranlable dans son unicité. Il est le seul Etre qui soit tout autre créature est en devenir et/ou en voie de disparition. En d'autres termes le fait que les divinités se connaissent entraînent une façon de se comporter entre elles, qui dit manière dit façon de faire qui dit façon de faire dit Loi, c’est un principe algorithmique, science utile à la droiture. L’ordre descend d’en haut. Qui dit obéissance à une loi multilatérale qui restreint la liberté dit donc ouverture pour la privation, donc dégradation de la condition divine donc dit inexistence de la condition plurielle de divinités car ces dernières s'érodent avec mon écriture, ou cette lecture. L’ordre du Souverain est Loi souveraine.

L’obéissance est signe d’impuissance et implique un degré de liberté digne d’une Créature et qui saurait exaucer si ce n’est le riche le glorieux, qui donne sans compter dont les biens ne sont diminués en rien et ne sont augmenté en rien par aucun, si ce n’est lui-même. Si riche et si suffisant qu’il n’a même pas besoin d’un associé, par contre l’Homme ou le diable qui se prendrait pour divinité a un besoin latent, gouffre béant, n’est-il pas ? L’erreur est humaine, la persévérance est diabolique. La destination des diables est les tourments du pire infernal, celui là même préparé par les rebelles au divin qui souhaitent y tourmenter l’innocent et que ces mêmes rebelles démentent alors que l’innocent reconnait de facto. La damnation n’est elle pas la rétribution de l’infidèle ? La Justice déclare que l’on a ce que l’on mérite en punition, ce pour lequel on est responsable, naturellement.

2.2 Le Besoin de reconnaissance Cela démontre un souci de respectabilité ce qui implique une nécessité de confirmation de son statut par autrui. C'est à dire que les divinités pour exister doivent être reconnues par leur semblable et donc demeurent incapables de vivre par elles- mêmes. C'est une preuve d'incapacité. Le Riche n’a aucun besoin. L'incapacité démontre la non divinité. Si c’est pour élever un usurpateur au rang de divinité cela ne témoigne que de ma propre sottise et de mon caractère inférieur.

Le vrai est vrai et il n’est pas faux.  Un besogneux n’est en rien divinité : en vertu du luxe radieux  divin.  Il est vertueux de dire la vérité et il est sage de distinguer le vrai du faux. Le sage n’est pas arrogant car il est sage mais l’arrogant sans droit le croit ainsi car il est sot, de ne pas faire le même effort de réflexion. Cela va de soi.


2.2.3 Retour à la mythologie issue de la narration et non de la démonstration. Le respect ou obéissance implique que l’on revient à l’article 1. Ce qui démontre la fausseté du polythéisme. Aussi le frein à la liberté montre l’impuissance et l'impossibilité de commander et de légiférer si ce n’est relativement mais Dieu est absolu. Dieu sait et entend alors que les associés que l’on prétend à Dieu ne sauraient vous répondre ils ne sauraient entendre eux-mêmes.

Article 3. Chaos

Ces êtres n’obéissent à aucune loi qu’elle soit stipulée ou non.

3.1 Jouissance totale de la liberté absolue, dans la conscience. 

3.1.1 Du jeu qui fait naitre le conflit. S’il y a pleine jouissance de la conscience, alors la liberté commune entraînera inéluctablement un conflit, entre les divinités et par ricochet à leurs partisans. Puisque les hommes lorsqu'ils n'obéissent a aucune Loi touchent autrui, il en va de même pour les divinités qui les auraient créés. Elles toucheront les biens et les personnes des autres divinités par le simple fait de la coexistence, car dans leur puissance et leur due gloire ainsi que sagesse infinies elles chercheront des sources de plaisir dignes de leurs rang. Ou vont-elles rabaisser leur niveau à l’humain ? Et en quoi ceux là seraient divins ? Chimère de l’homme mène à la noyade en somme, avec ou sans spirale, cela revient du bon vouloir du divin. Tout comme l'Homme mur trouve son plaisir avec son semblable et non avec son inferieur. Et les divinités n’ont théoriquement aucun supérieur puisqu’elles sont supposées égales entre elles.

En effet ne pas respecter le code de conduite mène inéluctablement à un conflit. Puisque les divinités n’ont pas de règles entre elles ; elles agiraient dans le chaos et donc l’injustice. Ainsi que signifie invoquer la justice et l’ordre si ce n’est faire disparaitre le faux pour faire triompher le vrai ?

Et Dieu n’est pas injuste par contre ceux qui donnent des associés à Dieu commettent là une énorme injustice. La Divinité est Justice et elle est Liberté.
Une divinité injuste ne va-t-elle pas mourir justement ? Si en vérité. Or la Justice vit en l’homme qui en a besoin et cette Justice ne meurt pas donc il n’y a point de divinité multiple si ce n’est l’Un perçu par les créatures à mesure de leur création. La Justice condamne toujours l’injustice, quelque soit la profession de foi. 

3.1.2 Du conflit vers l’impuissance. Le conflit entraîne un risque et tout risque est un rabaissement de la puissance car la capacité à contracter s'évanouit, on ne peut pas faire la guerre et gérer ces affaires, on risque de mourir se faisant. Ces êtres vont se détruire eux-mêmes afin de se réapproprier ce qui leur appartient ou à autrui, et/ou revenir à leur niveau de puissance primordial ; ils sont dans cette condition en état de déséquilibre, c’est un signe de faiblesse. Et ils ne connaissent pas la paix et ils ne sont pas maître de la force, ils sont soumis, et donc ils ne sont pas libres, La Justice les transcende dans la mesure où la naissance même du conflit rend caduc l’idée de multiplicité des divinités car elles ne connaissent pas l’issue de la bataille ce qui est un signe d’ignorance.

Une divinité qui n’est pas Paix et Salut n’est que tourments et tourments du diable. Auriez- vous oublié le diable ? Le diable ne vous pense qu’à votre perte, il souhaite vous transmettre sa malédiction afin que vous la partagiez et vendiez votre félicité pour pire. Le diable est un ennemi déclaré à l’Homme, et l’autruche qui cache son visage dans la terre n’empêche en rien le lion qui rôde. Ou préférez-vous la meute ? 

Je prends refuge auprès du Miséricordieux contre le diable banni et honni, voué à l’ostracisme, hors de la miséricorde de Dieu le Souverain le Saint.

Et je prends refuge auprès de Dieu contre l’injuste qui prend le diable pour allié et le sert dans l’infidélité. Dieu guide vers la félicité et le diable accompagne l’égaré en enfer. L’existence terrestre est une épreuve afin de choisir son bonheur, justement en toute liberté.
Donc par cette analyse on peut tirer aussi que le conflit est un signe d’ignorance entre les parties et ignorance de soi. Donc de par le conflit il n’y a pas une condition de multiplicité de divinités, c’est une autre réalité qui est mal perçue.

3.1.3 Un conflit limité dans le temps qui fait revenir à un état d’entente.

Cela implique que l’entrée dans le conflit étaye considérablement l’ignorance des belligérants quant à l’issue de la bataille. Sinon la bataille n’aurait pas eu lieu au départ. Sinon cela démontre l’incapacité sur soi.

Le retour à l’état d’entente implique le retour à l’article 1.

3.1.4 Un conflit éternel

L’éternité du conflit implique la permanence du conflit et de la guerre. La conséquence immédiate est l’impossibilité de la création car le temps est absent, vu la nécessité de survie. Donc aucun ne peut donner la vie ni la mort à la création, en effet ils sont incapables de donner à eux-mêmes.

Donc l’obéissance à cette Loi de la guerre montre la domination des divinités par la contrainte et leur fin inéluctable dans leur guerre. Or la permanence du monde d’après son existence montre que le conflit n’existe pas. Ici la multiplicité des divinités empêche les divinités de vivre et mène, in fine, à leur destruction totale. Or la permanence du monde démontre continuellement le contraire. Ne vous ai-je pas dit que Dieu maintient les cieux et la terre sans peine : Voilà c’est la preuve que oui. La vie ne s’arrête pas et les divinités nous ont jamais demandé de choisir entre elles pour les départager ou le monde serait divisé or le monde est un.

La réalité du monde qui se base sur autre chose que le polythéisme montre qu’il n’existe qu’un unique régent et souverain.

Autrement dit si il n'existe aucune Loi transcendantale à leurs conditions alors chacune d'entre elles s'en iraient avec ce qu’elles auraient créés, c'est sage, on revient alors à l’analyse en cas d’inégalité. Dans le cas de l’égalité on se rend compte que cette situation est absurde et aucune manifestation de la multiplicité des divinités ne s’est jamais manifestée dans le temps. Il faudrait qu’au moins deux divinités se soient manifestées et de façon contradictoire simultanément dans le monde pour que le témoignage soit possible et cela pour chaque Homme.

Or aucune génération d’Hommes n’a vu ne serait-ce qu’une divinité donc il n’en existe pas plusieurs.

Sinon il faudrait un livre qui ne soit pas faux et qui soit un manifeste explicite de la condition multiple de la divinité. Ce livre doit tenir face a la critique et garder toute sa validité, autrement dit il doit constituer une preuve juridique. C'est à dire que ce livre doit intégrer des syllogismes et non des sophismes, sinon c'est un mensonge qui est forgé. .Or ce type de livre n'existe pas. Donc naturellement tout aurait été dans la division, or les mathématiques nous confirment que le tout n'est pas divisé mais uni (notion de tout), de ce fait ces êtres qui nous dépassent sont eux- mêmes dépassé par un être unique qui les gère eux et nous gère nous ainsi que tout ce qui existe, Seul. Et cet Être est Vérité. En effet le multiple vient d'être étudié. Tout ce qui est inferieur à cette divinité unique est philosophiquement parlant (logiquement) voué à disparaître car les inférieurs ne partagent pas la même vie. Et cet Être est éternel et permanent. Et tout est inférieur à cette divinité. Par la divinité ! Quiconque se déclare au moins égal à la divinité qu’il invoque la mort ou la malédiction du miséricordieux et gentil. S’il est du nombre des véridiques et qu’il se montre apte à échapper au destin. Un destin duquel il n’y a aucun hasard, ni impatience.

3.2 Jouissance totale de la liberté absolue, dans l’ inconscience …. S’il y a inconscience alors il y a de fait incapacité, et donc non divinité ! La chose qui ne connait pas la conscience ne peut rien faire et est dominée par les êtres qui en sont doués.


Le Verbe se dissipe, et la Lumière apparait et inonde. Il n’y a de Force ni de Puissance qu’en Dieu.


La science dit et la sagesse donne un sens. La science nourrit l’âme mais la sagesse lui donne un goût. La science sculpte l’âme mais sans sagesse, la conscience s’éteint tel un objet inanimé. Pourquoi parler pour ne rien dire ? C’est comme accueillir son hôte par des mets et breuvages fades et insipides en prétendant l’honorer de mets agréables et bons, afin de montrer aux convives réunis autour de la table que le maître de cérémonie égale ses hôtes. L’eau salée se distingue de l’eau douce. Visiblement le meilleur et le moins bon ne se mélange pas. L’ignorant ne saurait ponctionner à cette source, tout comme on le reconnait pas comme puits de science. Le verbe divin est divin et inépuisable. Sa science est une eau et sa sagesse filtre le flux et laisse l’eau douce. L’eau douce pour l’Homme est la source de Vie, celui qui abreuve d’une eau tarie ne saurait se prévaloir de la maitrise de la Santé. Qui appeler à l’aide sinon le Vivant ! Qui secourt si ce n’est Celui qui ne meurt pas ? Un menteur ne prouve en rien que Dieu ait un associé ! Quand bien même il en soit convaincu. Celui qui renie la possibilité du mensonge s’avoue incapable d’assumer la responsabilité. Celui qui n’assume pas la responsabilité s’écrase devant la Justice, comme la mythologie est écrasée sous le Poids immuable de la Vérité. Pensez à Dieu, car la pensée émane de Dieu, donner un associer et vous fendez votre esprit. Et face à l’imposteur, Dieu dit « fi ». Avec qui veut-il rivaliser ? Regarde autour, on est cerné. Ou crois-tu aller ? Dans la tombe tu dois être enterré. Voilà l’indéniable réalité et au Vivant qui ne meurt pas tu seras ramené. La vérité est libre alors que le piège est dans la réalité. Nul ne peut y échapper. A malin, malin et demi, or face à Dieu il n’y a aucun arrogant digne de Lui. . N’a-t-il pas exaucé ? La science consiste à dire la parole comme si c’était nombre et non pas mettre un nombre sur la parole. La dynamique de toute chose prend son essence en Dieu il est le Sublime, l’l’Incommensurable qui produit l’unité sans cette unité il n y aurait aucune continuité et la flèche n’atteindrait jamais sa cible. Lorsque l’on étudie le mouvement de la flèche on se rend compte qu’elle comporte une part d’infini. Cet infini est incommensurable pourtant la flèche (voire paradoxe de Zénon) arrive à une destination : Dieu fixe l’unité par un acte "infini". Le mouvement est le signe de la participation de Dieu aux choses il est celui qui lie les actions entre elles et on ne peut le voir, seule l’idée nous unit a lui. Invisible comme le temps qui passe.


Dieu commence et il continue en effet. Dieu a dit «  J’étais un Trésor caché alors pour Me faire connaitre J’ai crée ». Le destin est tel que l’homme n’a pour seul objectif que de servir ALLAH, pour cela la stratégie véritable est la connaissance de son Dieu (Rab). La vérité est bonne et agréable, sortir du mensonge est un travail pénible et douloureux. La servitude est la déification d’Allah qui au préalable est le Dieu abstrait, l’adoration est matérielle, réelle, toujours. Ne donnez point d’associé à Dieu c’est un crime de lèse divinité. Preuve à l’appui.

Je me range et rallie donc à ALLAH, Ses Anges, Ses Messagers (sans faire de distinction entre eux) à Ses Livres révélées, je crois en le destin bon ou mauvais et en le Jour Dernier. Telle est ma profession de foi.


V. Droit de la Preuve

Le bon sens ne mène qu’à Dieu. C’est Allah, le Dieu. Aucun associé. J’ai réussi à ôter la divinité à toutes les divinités sauf Allah, il y a des fausses divinités et une unique vraie divinité. Dieu est la cause première et nécessaire. Dieu est nécessairement incréé et il est vrai et unique donc il est le Seul Incréé, car il ne partage pas sa vie. Le pouvoir divin est parfait. Le pouvoir de la créature est en quête de perfection et passe par un standard dit angélique afin de transcender sa condition d’Hommes.

	Cette preuve de Dieu a un fondement juridique et couronne la royauté divine dans le droit positif, ainsi Dieu ne saurait être exclu du droit positif dont il est le Souverain.

Mon droit en tant qu’auteur de la preuve est moindre par rapport au droit divin qui reprend ses lettres de noblesses à travers ce traité qui fait office de lettres de créances, ainsi on peut me considérer tel un ambassadeur du Dieu Roi. Sauriez- vous renier cette preuve sans droit ? Sauriez-vous me renier sans renier cette preuve ? Et en quoi seriez-vous plus légitime que moi? A travers quelle preuve ? Existe-t-il une preuve supérieure à celle de Dieu ? Non car nul n’est supérieur à Dieu ! Vous ne pourrez apporter une preuve supérieure à celle de droit divin ? Cette preuve est valable en droit positif, car c’est une preuve ! Le droit de l’Homme est soumis au droit divin, ce n’est pas un retour en arrière mais au vrai droit. Sans superstition ni faux semblant, avez-vous un meilleur garant que Dieu lui-même ? Qui saurait vous protéger si ce n’est celui qui protège et qui n’a pas besoin de protecteur, et qui met tout le monde à égalité. La vie et les biens du musulman sont sacrés, car sacralisés par Dieu lui-même ! Qui saurait donner un caractère sacré si ce n’est Dieu le Saint Souverain. Dire son désaccord ne suffit pas pour avoir gain de cause. Le dialogue requiert l’intelligence et la raison l’emporte par la preuve, et non l’abus. Puisque Dieu est Vrai alors Il est Un et Unique, on prend conscience que Dieu est le plus Grand, qu’il il n’a ni famille, ni compagnon ni enfant ni parent ne mange pas ne dort pas, ne fatigue pas. Car Dieu ne ressemble pas à sa créature, il est unique, comme vu dans l’inégalité. Dieu a donné origine à toute chose, ainsi que la capacité de se régénérer et à se reproduire ainsi que sa fin. Nous sommes uniques dans le multiple et Allah est unique en l’Un. A Allah les plus beaux noms.

Il est une vérité au dessus de toute réalité, et toute réalité trouve son existence par la puissance créatrice de Dieu. Dieu est vraiment rédempteur et lui seul pardonne. Et il est  celui en vérité qui punit le crime ! Placez votre confiance en lui, ceux qui font confiance la placent en vérité en Lui, dans la conscience ou l’inconscience.
Dieu  ne ressemble à rien, sinon lui-même (Béni et Exalté soit il)  et il n’est pas
dans la création. Donc Dieu est en dehors de l’univers dans un espace/temps qui n’est ni espace ni temps. Ainsi le panthéisme est faux et les frontières de l’univers sont éternité.
Dieu est vérité ! En dehors de la création l’interrogateur se perd en conjecture on croit en l’Un on croit en Allah on sait que tout ce qui est en dehors d’Allah est absurde. 

Donc sachez que : IL EST ALLAH L’UN IL EST ALLAH L’ABSOLU /METAPHYSIQUE/TRANSCENDANT IL N’A PAS ETE ENFANTE ; NI A-T-IL ENFANTE

Et NUL NE LUI EST EGAL. 

Il n’appartient pas au tout miséricordieux d’avoir un enfant ! Pour Dieu il suffit de dire soit et la chose est ! Votre Dieu n’est-il pas Dieu ? Quel pire injuste que celui qui forge un mensonge contre Dieu ?! Ne prononcez pas le nom de Dieu en vain ! Si Dieu avait des enfants la descendance divine qui aurait un lien consubstantiel avec Dieu ferait dépérir la création comme en l’absorbant et plus la descendance fleurirait plus la création se corromprait. Car la substance divine intrinsèque à la descendance produirait un chaos dans la création, qui se détruirait à mesure que la descendance s’énumère.




On croit en l’Un et Il suffit. Evidence Claire ! Clarté Lumière Divine Certaine


Cela montre que si des êtres devaient avoir des qualités divines elles seraient forcément inferieures à Dieu. On peut dire que les anges sont ainsi, et les anges sont mortels. La qualité n’est que le produit du Don divin et le don divin revient de la volonté divine qui hérite de tout, car le retour est vers Dieu. Il élève qui il veut et rabaisse qui il vit. Il veut savoir qui sont les endurants dans sa cause et qui tourne le dos. La perfection n’est elle pas qualité ?

Dieu saurait être l’égal de n’importe quelle créature (ici créature  peut se réduire à une pensée ou imagination) sans que cette créature soit l’égale de Dieu. 

On peut penser à Dieu mais notre pensée limitée ne l’atteint pas, en effet notre pensée étant elle-même une création ne saurait dépasser la frontière de la transcendance ni entrer dans le domaine inconnaissable de la métaphysique. .

Le Verbe se dissipe, et  la Lumière  apparait et inonde.

L’égalité ainsi que l’inégalité des divinités a été étudié et leur fausseté ainsi que leur absurdité ont été démontrées. Le multiple s’est dissout face à l’Un. Il demeure l’UN. Donner un associé à Dieu (ALLAH) est un brouillard intellectuel qui cache la domination d’une divinité unique sur des créatures proches car Dieu aime l’union et l’inégalité des divinités est absurde car Dieu donne la vie mais ne partage pas la sienne. On comprend que Dieu est éternel et indivisible. Le vrai est tombé et le faux s’est dissipé et le faux est voué à disparaitre. Le vrai est triomphant. Et la Vérité s’est élevée. Après la création de tout ce que Dieu aura projeté de créer, le fait divin qui confirmera le statut à part entière de Dieu sera la destruction de toute la création.

Il est démontré que l’univers qui a un début aura une fin dont l’heure n’est connue que de Dieu. C’est par ce geste que Dieu confirme  que la création lui est totalement assujettie. 
Allah  revient ainsi au cycle précédent la création où il était seul.
Dans sa souveraineté totale il est seul à profiter de la vie. 

Le monde souterrain dans lequel nous vivons est crée pour permettre de connaitre Dieu. La vie et la mort sont des créations de Dieu, pour nous mettre à l’épreuve. Le monde de l’au-delà est crée pour permettre de vivre et de jouir des fruits de l’adoration et de se rapprocher physiologiquement du divin, selon un chemin unique à chaque serviteur. Dieu n’a pas une source unique… Chaque souffle rapproche de la mort ! La mort est la porte d’entrée à l’au-delà.

Ainsi on peut également savoir que :

Allah il n’y a de divinité que lui. Le Vivant qui subsiste par Lui-même. Nulle Fatigue ni sommeil ne le touche. A lui appartient tout ce qui se trouve dans les Cieux et sur Terre. Qui saurait intercéder auprès de Lui sans son autorisation ? Il connait leur passé et leur futur. Et ils n’embrassent de la science de Dieu que ce que Dieu leur permet de savoir. Le pouvoir de Dieu dépasse la simple création donc Il étend donc son emprise et assise sur tous les cieux et la terre dont le Trône est plus grand alors que la garde ne lui coute aucune peine. Et il est le Plus élevé l’Incommensurable L’Immense.

Ce verset peut découler naturellement de la démonstration apparue plus haut. Cela confirme que la connaissance de Dieu est innée à l’Homme et que ce n’est pas une fantaisie.

Dieu ne meurt pas, et il est éternel, sa souveraineté sur sa création est manifeste, et il est capable de créer ce qu’il veut. Notre environnement est un exemple. Donc son trône dépasse naturellement la création puisque son pouvoir s’étend sur le visible et l’invisible, le connu et l’inconnu. Puisqu’ il est seul à jouir de la divinité qui pourrait intercéder auprès de Lui sans Sa permission ? Il est plus grand que l’idée de Dieu donc il est de facto le plus élevé l’immense l’Incommensurable. La théologie pour un philosophe est le summum de sa quête, et ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément.

Sans Vérité nulle Justice.

On reconnait Dieu les mains derrière le dos, Il est Pur, Innocent. Tournez vos regards vers vos propres mains et regardez plutôt ce qu’elles ont acquises et ce qu’elles ont laissé.. . Le Verbe se dissipe, et la Lumière apparait et inonde. Ainsi, par les articles sus cités on est apte à reconnaitre par le biais de la démonstration la fausseté du polythéisme. Il n’y a donc pas de polythéisme. En vertu du principe simple du tiers exclu il ne reste en toute innocence que le Monothéisme absolu.

L’islam est la religion de vérité, le vrai système du droit.

Il n’y a de divinité que Dieu. Le Dieu est Allah.

Par le Dieu de la vie et le Dieu de la mort.

Le Vrai Dieu est le Vivant qui ne meurt pas.

Etre légitime c'est apporter sa Preuve. Etre un usurpateur c'est n'en détenir aucune de distinctive et prétendre. La légitimité est ordre, l'usurpation est désordre. L’organisation suit une légitimité d'action. Le mérite retient le talent et donc le potentiel de réussite. Le désordre revient à prier la chance. Et la prière des infidèles n’est qu’aberration. Face à une preuve, le désordre déchante l'organisation s'égare, la hiérarchie se bouscule, et la perte s'accumule. Mais une preuve ne peut ruiner que le débiteur ou le coupable. Donc l'éthique est un guide de l'action. Et la réussite est action. La chance est un surplus, le dû est un revient, le surplus c’est la baraka. Aucun hasard dans la réussite. La laïcité croit défendre le vivre ensemble et accorde la souveraineté au peuple uni sous une constitution. Soit. Mais la philosophie positive dans sa dite « laïcité » considère l'athéisme, le monothéisme et le polythéisme semblables en termes de droit. Or logiquement parlant les trois idéologies ne peuvent être ni simultanément fausses ni simultanément vraies. Il n'y a en vérité qu'une seule idéologie qui soit vraie. En d'autres termes, soit il n’y a aucun dieu soit il y a plusieurs dieux soit il y a en vérité une divinité unique comme vu précédemment.

Démontrer que deux idéologies sont fausses montre que celle qui reste est rigoureusement vraie. Vous avez vu qu’une seule une idéologie (foi) est fondée en vérité. 

Le droit positif avance face aux preuves qui s’expriment pour rentrer dans le cadre de la Justice et libérer le citoyen du crime, qui le guette cherchant à lui porter préjudice. Les ayants droits défendent en attaquant par le fondé de pouvoir qui exerce la violence de façon légitime pour condamner celui qui lèse. Aucun abri dans la Tombe ni face à la Justice qui incombe à l’Innocent. Remettez aux ayants droit ce qui leur revient de droit, la preuve positive de Dieu est nécessairement constituante. Remettez à Allah ce qui lui appartient. En apportant une preuve de Dieu tangible qui soit accessible aux non arabophones, revient à idéologiquement remettre la souveraineté politique à Dieu, de façon certes symbolique mais face à Dieu (à Lui la Majesté et la Puissance), la relation est symbolique, de fait. Oui une preuve de Dieu s'est manifestée, elle est irréfutable et impose à l'Honnête Homme de remettre sa propre souveraineté politique à Dieu et se contenter d'un usufruit. La liberté individuelle s'arrête là où Dieu l’a fixée. Elle ne dépend pas d'un consensus humano humain. Mais d’un don en intercession divin. La preuve juridique en français est universelle et diplomatique. J'ai le bonheur et l'immense honneur de vous annoncer de nouveau que la preuve de Dieu est parfaitement irréfutable et vraie, si vraie que c'est évident.

La question est de savoir si on a assez d'humilité pour se rendre compte que Dieu est Dieu et  que l'homme est sa créature dont le but de sa création est de le servir, 

Voila l'objectif socio politique réel !

Le retour est vers Dieu bon gré mal gré ceci n’est qu’un rappel.

Mais un bout de papier qui dit la vérité n'est pas liquide sur le marché alors il attendra car l'argent ne dort ! L'eau n'a pas raison de la roche par la force de son flux, mais à force de persévérer. Dieu est Patience et il ne néglige rien ! Il sème la Patience dont la clé est la délivrance. Enfin, la charge de la preuve incombe au demandeur, qui lors de sa délivrance se voit en toute justice accorder le droit y afférent à laquelle le droit auquel vous êtes soumis vous somme de répondre, nul doute ni dilemme pour le Juste, la fuite seule issue du coupable. Remettez à Allah ce qui lui appartient.

La légitime ne doit pas craindre de montrer la preuve de sa légitimité; pour quelle raison devrait-il se croire imposteur ?  Seul un manque de grandeur pas de honneur, et  le respect est dû à la Loi.

En vertu de la bonne foi : Il doit se dévoiler au public. L'innocence est l'eau de notre conscience sans eau on agonise dans la soif. Et paix a son âme. Nous sommes à Dieu et Lui nous retournons. Cherchons la FACE de Dieu. Voila une intention intelligente. Qu’est ce que l'audace ? L'audace c'est de finir avec une sacrée évidence

Qui peut fournir cette preuve de Dieu sans Dieu ? La Vraie divinité ! Naturellement.

C'est-à-dire que la  preuve  de  Dieu  vient  de  Dieu  seul.

Les héritiers des Prophètes sont les savants. Ceci est donc officiellement une lettre de créance.

Fiat Lux