Discussion:Breton léonard

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Merci de conserver en archives la version qui a été censurée parce qu'on y trouve des éléments descriptifs du dialecte qui n'apparaissent plus dans la version actuelle et qu'on y apprend quelques brides d'histoire sur le rôle du léonard dans l'évolution de la langue bretonne, ce qui visiblement n'a pas eu l'heure de plaire au censeur. Mais ces désaccords pichocroliens font tout le charme de Wikipedia.

Les propos sur "le léonard" étaient en grande partie hors sujet, et bien loin de la neutralité voulue par Wikipedia, plusieurs erreurs et généralisation émaillaient en outre le propos.

Les opinions toutes personnelles de l'auteur du premier texte — plus du niveau du pamphlet qu'autre chose — n'avaient rien à voir avec la présentation d'un dialecte, ni de son poids dans le breton écrit d'aujourd'hui, même si ce dernier point doit bien entendu être présenté.


- retrait d'une information fausse :

  • Les syllabes accentuées sont souvent allongées même s’il n’y a pas de raison étymologique. Kemener /keˡmeːnɛr/

Ce mot vient de ken + benañ, donc la prononciation est correcte par rapport à l'étymologie. 86.199.40.158 18:00, 8 novembre 2005 (CET)

Le léonard, pas parlé en Léon ?[modifier le code]

Si j'ai bien compris on ne parle pas léonard en Léon sauf à Kastell. C'est nouveau? Shelley Konk 26 mars 2006 à 18:22 (CEST)[répondre]

C'est mal dit. Il faut lire que le découpage traditionnel en 4 dialectes KLTG est peu pertinent, que les formes longues avec les z intervocaliques (et dans une moindre mesure les v intervocaliques aussi) ne sont pas parlées dans tout le Léon mais que sur une aire assez restreinte finalement (évidemment celà peut varier selon le registre et donc selon le contexte). Le reste suit la tendance à faire tomber ces z-la. Pas mal de dialectologues utilisent d'ailleures les isoglosses du devenir de ces z et v intervocaliques pour séparer les dialectes avec des pôles archaisants (par leur vocabulaire) en Léon et en Vannetais (même si les autres régions ont leurs archaïsmes (pas au sens péjoratif) comme le verbe bout alors que d'autres ont recréé un infinitif régulier bezañ à partir de bez) et une vaste zone centrale d'où ont diffusé les innovations linguistiques (enfin jusqu'à ce que le dévelopement économique de certaines villes cotières ne contrebalance la donne au cours des 3-4 derniers siècles). Soig 28 mars 2006 à 21:49 (CEST)[répondre]