Discussion:Alternance codique

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je ne crois pas qu'il y aie de trait d'union entre "alternance" et "codique"


Les 2 phrases "L’alternance-codique ou code-switching est un code-mixing" et "Il faut différencier le code-switching ou "alternance codique" du code mixing" sont contradictoires. Togui 13 avril 2006 à 09:41 (CEST)[répondre]

les travaux de Gumperz démontrent qu'il n'y a pas justement manque de maitrise des langues, mais plutot la démonstration d'une réelle volonté d'alterner, pour changer la situation, instaurer un sentiment pouvant venir des valeurs communes inhérentes à l'origine linguistique Pepan

Effectivement il n'y a pas forcément non maitrise à la base pour l'alternance codique, au contraire, pour le locuteur, le fait d'alterner deux codes dans un discours pourrait montrer qu'il maitrise bien les deux langues en question. C'est le cas par exemple des malgaches qui habitent en France. On peut dire meme que c'est devenu le parler de ces personnes.

Pas seulement les Malgaches. Je crois que c'est le cas de presque tous les étrangers vivant dans un pays de langue différente. J'ai observé personnellement le phénomène chez des Vietnamiens, des Congolais, etc. Rāvən (d) 31 juillet 2009 à 19:18 (CEST)[répondre]

Choix d'exemples : Jabberwocky[modifier le code]

Jabberwocky est il un bon exemple? Carroll n'a pas combiné deux langues dans son poème. Il a simplement inventé des mots anglais. Par exemple, pour lui, brillig voulait dire “vers 16hres”, car c'est à cette heure-là qu'on commence à faire griller (broil, en anglais) la viande du repas du soir. Le verbe galumphing inventé par Carroll pour décrire un mouvement lourd et maladroix est maintenant entré dans l'usage anglais. A titre de comparaison, pensez au Grand Combat, d'Henri Michaux. La non plus, l'auteur n'a pas combiné deux langues, mais simplement crée des mots nouveaux dans la sienne. Dvermeirre (d) 6 avril 2010 à 21:24 (CEST)[répondre]